Bonjour à tous,

 

Je vous écris rapidement pour vous raconter une tranche de vie assez débile finalement. Comme tous les samedis après-midi, je fais mes courses de la semaine, et chose rare, ma moyenne surface habituelle vend quelques jeux vidéo. C'est planqué dans un coin, mais j'ai l'habitude de les trouver à cet endroit. J'avais pris Homefront, sur Xbox 360, un FPS très moyen dans l'optique de le tester pour en faire une chronique pour un jour sans inspiration. Je rentre chez moi de l'autre coté de la rue, je défais le blister, et là...

 

 

Raaaaah !

 

... la boîte est vide ! Enfin pas tout à fait, le livret est présent, mais le DVD est absent. Ce qui m'a mis la puce à l'oreille c'est que le scellé de plastique qui cache l'ouverture de la boîte était défait. Ni une, ni deux, je fonce à nouveau dans ma moyenne surface en gardant mon calme, et avec le blister, la boîte et le ticket de caisse j'explique mon problème. La demoiselle de l'accueil tombe un peu des nues, va voir en rayon, et ne trouve pas d'autre exemplaire d'Homefront et du coup elle me propose de prendre un jeu équivalent. Du coup, je me suis pris Metro 2033 qui a reçu un meilleur accueil critique et l'histoire se termine bien. Du coup je me demande quand même comment le jeu a pu être blisté sans le DVD dedans. Peut être que ceux qui ont emballé le jeu savaient qu'il était moyen et du coup, ils se sont dit qu'il ne fallait pas infliger Homefront aux joueurs. Finalement cette anecdote me fait sourire.

 

Un sourire, c'est pas grand chose

 

Moralité de tout ça, n'hésitez pas à vérifier le contenu de vos achats très rapidement. Dans mon cas, ça a donné quelque chose de positif. Et lors d'éventuelles réclamations, un sourire ne coûte rien et ça permet de négocier sereinement pour essayer de régler le problème là où il n'y a pas de solution prévue (comme c'était le cas ici). Plus généralement, sourire quand on croise quelqu'un, c'est tellement inattendu aujourd'hui que lorsque vous le faites, vous surprenez le monde. Et ça c'est la classe.

 

Je vous dis à très bientôt pour une nouvelle chronique,

 

Vidéoludiquement vôtre,

 

 Utori