J'ai
l'impression de dire tous les ans la même chose à mes amis fans de Séries TV
mais pour une fois c'est radical : cette saison 7 de Desperate
Housewives
s'améliore d'épisode en épisode. En même temps ce n'était pas
bien dur tant les deux premiers épisodes étaient très mauvais.
Maladroits, pas très drôles, aux situations casse-bonbons et aux histoires qui
se mettent en place de façon très quelconque, les débuts de cette nouvelle année
n'ont pas été bien folichons. Heureusement, cela s'améliore, même si
certains personnages ne sont pas très intéressants.

Sans spoiler (ou si peu), je peux juste vous dire que Gaby (Eva
Longoria)
a l'histoire familiale la plus passionnante de ces huit
épisodes déjà diffusés
. On rentre de plain-pied dans son aventure et
personnellement déjà bien fan du personnage, je suis vraiment ravi de la
tournure dramatique que prennent ces décisions peu réfléchies. Suivie de près
par Bree qui, du jour au lendemain, semble beaucoup perdre de son personnage
ordonné
et fait davantage dans la comédie et l'excentricité. Si les fans
purs et durs pourraient bien crier à la révolte, il n'empêche que cela va très
bien à la rousse du casting.

De l'autre
coté, Lynette et Susan remportent toutes deux le prix des histoires les plus
lourdes du monde
avec des quiproquos inutiles et des scènes d'une longueur
telle qu'on s'endormirait presque devant notre écran. Quand à la nouvelle (mais chut !) elle est aussi la cause de pas mal de lourdeurs
scénaristiques. Des hauts et des bas, donc.

Les
Desperates semblent se lâcher
un tantinet que ce soit dans les situations ou
les dialogues. Même dans cette série et après tant d'années d'existence, on
se surprend encore à être choqué par une phrase ou à rire de bon coeur à une
blague
en se disant "ils ont osé dire cela dans Desperate Housewives ?
Sérieusement ?"
. Et c'est bon signe.

Je vous en
reparle en cours de route !