A l'aube de mes 40 balais, et oui ça passe vite, j'ai décidé de faire un bilan sur ma vie ( vidéo ludique je vous rassures !)

C'est que je suis né en 1975 c'est à dire presque à la génèse de nos bonnes vieilles consoles, et donc de nos bons vieux jeux, qui illusterons le billet du jour. Je ne ferai pas un article sur documenté à la AHL, mais parlerai simplement des softs qui m'ont marqués et auxquels je joue encore, d'ou le titre "d'humeur du moment". Alors Kikidi Scratosorus ? Qu'il aurait aimé revoir des shoots à la Galaga, des spaces opéras façon arche du captain Blood. Car on dira ce qu'on voudra, mais un jeu non pas seulement à monde ouvert, mais aussi à "cosmos" ouvert il fallait vraiment oser le truc, et le réussir. Même les vieux footballeurs en horribles pixels de la nes etaient directement captivants. Peut être parcequ'à défaut d'avoir de la puissance nous avions de l'imagination. Ainsi inventions nous un univers space opéra au life force le plus moyen ou que nous nous imaginions au stade de France ou à Roland garros pour le ballon rond ou le jeu de tennis du moment. L'identification au personnage existant était très forte, au moins autant qu'aujourd'hui avec des super avatars ultra ciselés. Attention, je ne fais nullement un article anti Ps3, étant bien content de l'avoir sous la main ! Je constate juste qu'il fût un temps ou le travail de l'imaginaire était plus conséquent. Même si ce jour on se trouve de l'empathie pour la jeune Lara. Oui je sais je pars dans tous les sens, mais c'est normal c'est mon blog, et mon humeur si particulière.

Dernièrement j'ai poursuivis mon trip de retro gamer avec deux énormes morceaux : FFVI et VII aujourd'hui datés mais demeurant malgré tout éternels. Ce fameux virage ou les jeux ont gagnés une maturité salutaire. des persos avec une histoire, un destin souvent déchiré qui peut s'achever par la mort d'un d'entre eux. Ainsi Aerith devait elle mourir dans le septième épisode ? On peut se demander aussi si Hamlet devait passer de vie à trépas dans la pièce éponyme. C'est le mécanisme de la tragédie. L'opposition entre deux personnages ils veulent la même chôse ( la une matéria blanche ), un des seux doit mourir. C'est simple mais c'est direct et pour moi plus sain, ou plutôt plus lisible. Mais cela fait pleurer, c'est logique puisque c'est tragique aurait pu dire Horatio. En tous cas Squaresoft avait le truc pour nous rendre spectateur d'une fresque quasi historique. Don et savoir fair un peu perdus ce jour. Mais ne soyons pas injustes il y a encore de l'émotion. La méthode pour l'obtenir est peut être différente et pourrait faire l'objet d'un débat.

Il y eu tous les débuts de Saga, MGS 1, 2 et 3 qui nous ont aussi arrachés des larmes, puis au risque d'être redondant ces jeux de oufs nous offraient une vue critique de la guerre. Il fallait faire avec sa mission et les mensonges de son gouvernement. Bref cela était quasiment de l'actualité en temps réel, car tout le monde ment, aussi et surtout ceux qui font les lois et les occultant pour eux mêmes ! J'ai également re joué à Shadow of the Colossus autre monument où à l'instar d'un Red Dead Redemption nous pouvions passer des heures à cheval pour une immersion dans un monde fichtrement bien réalisé. Vous avez dis savoir faire ? Bon j'ai fais le tour de mon billet d'humeur un peu confus, en espérant juste que vous aurez appréciés ce vagabondage au pays des licenses d'un autre temps.

Je conclus mon élucubrattion par un: Et pour vous ce sera quelle émotion à quelle èpoque ?

sur ce je me fends d'un à bientôt les gens ;)

N'est elle pas merveilleuse ?