Aie aie aie ! Qu'est ce que j'avai adoré ce titre, encore une fois sorti sur la foisonnante Dreamcast. 

De toute façon, et comme le crie régulièrement Julo, la Dreamcast était une console formidable, qui était le support engagé de deux types de jeu : les jeux d'arcade, et les experiences.

Ce fut son atout principal pour les joueurs, et peut être aussi ce qui entraina sa perte.

Reste que pour les jeux d'arcade, c'est sur DC que l'on découvrit Soul Calibur, Virtua Tennis, Crazy Taxi, Sega Rally, etc etc.

Pour ce qui est des experiences, c'est sur DC que l'on pu s'essayer à des jeux au Gameplay ou aux univers foisonnants : Jet Set Radio, Rez ou encore Shenmue. Imaginez le nombre de claques que l'on se prit pendant un ou deux ans, lors des beaux jours de cette console.

 

Jet Set Radio, c'est un jeu qui vous happe par son style, sa classe, sa maniabilité difficile (en roller, on ne peut pas faire de marche arrière ni de pas chassés...) mais qui récompense par de superbes moves lorsqu'un passage est bien reussi. C'est un jeu où l'on ne tue personne, où l'on se contente d'essayer d'éviter les forces de l'ordre, et où l'on tagge des murs, des buildings, en slidant sur des fils électriques toujours plus hauts entre les immeubles. Franchement, c'est complétement halluciné, ça a inventé le cell shading, et on se retrouve à sortir des combos dignes de Street Fighter pour tagger plus vite. 

La suite (Jet Set Radio Future) sortie sur Xbox : plus jolie, des niveaux plus impressionnants, et même un mode multi pour faire quelques courses en Versus. Je n'y ai néanmoins pas retrouvé l'ambiance survoltée du premier opus. What a Shame !

Une grande série aujourd'hui disparue, mais à laquelle il faut rendre hommage