Oyé oyé les branlos, aussi régulier qu'un FIFA annuel, voici mon Krewaward 2019

Présente-toi à l'assemblée constitutive des membres de la commu' 

Pokémon jaune à tendance électrique vivant en zone très très très humide en pointe bretonne… Après 29 jours consécutifs de pluie, je commence à évoluer en Pokémon aquatique. Je vais finir par retourner à Bourg Palette….Sinon toujours partagé entre les JV, ma Pokemon ‘s Family et le trail.

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Ton jeu de l'année

 Death Stranding à la surprise de moi-même. Vraiment pas fan Kojima, j’avais trouvé les vidéos de présentation du jeu perchées, inutilement compliquées… Bref, rien à cirer. Je m’attendais à un MGS 4.

Et là, les 1ers tests sortent me font lever un sourcil, puis 2, pour finalement me faire frétiller de la queue (de pokémon). Je me fascine moi-même à accrocher à ce jeu, surtout parce que l’activité principale est normalement la secondaire et la plus chiante dans n’importe quel jeu. Ça reste un magnifique et énorme Walking Simulator de livreur avec un excellent level-design et des scènes assez fortes tout au long de l’histoire.

 Ta surprise de l'année 

Days Gone… Excellente surprise. Il n’invente rien, mais le fait bien. Un mixte entre LoU et State of Decay pour le côté survie. On aurait pu s’attendre à des personnages bas du front au vu du contexte biker, il n’en est rien. Ils sont bien écrits, bien doublés, avec tous leur part d’ombre. Par contre, ça tire en longueur sur la dernière partie du jeu. Faire aussi les dernières missions post End pour avoir la « vraie » fin.

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Ta déception de l'année

Outer Wilds parce quand je lis les tests, j’ai envie d’y jouer. Mais à chaque essai, son gameplay me sort du jeu. Et le film Nicky Larson comme prévu.

Le scandal de l'année

 Le matraquage des influenceurs et/ou « journalistes » autour de STADIA et du jeu en streaming. Tous ces prédicateurs qui annonçaient la révolution du JV, soit sans se renseigner sur les problèmes inhérents à cette techno, ou soit par réflexe histoire de ne pas insulter l’avenir. La vidéo test du Ménestrel en est un vrai symbole, avec des commentaires collectors. Ce sera probablement une façon de consommer le JV, mais surement pas la principale.

Le scandal GB de l'année

 Les scandals se sont barrés avec les 2 tauliers sur YT. Sinon pour faire mon « ouin-ouin », on attend toujours la nouvelle version du site, et toujours autant de news inutiles (ciné, Apple, etc…)

L'arnaque de l'année

Tout comme le Beaujolais Nouveau arrive chaque année, la Citizencon débarque au mois de Novembre avec son lot de reports, de démos buguées, de promesses non tenues et rajoutées, de nouveaux vaisseaux vendus à prix d’or. Le tout enrobé dans une béta qui n’en finit pas. Une légende raconte que l’année de la sortie de la Version 1.0 est dans le titre de l’un des deux jeux.

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Le braquage de l'année

 STADIA… Google a réussi à braquer tout le monde lors de sa sortie. C’est un accès anticipé vendu au prix fort de 130 euros. Les jeux sont vendus plein pot sans tenir compte de leur ancienneté. Le rendu graphique et la technique sont trop variables. L'interface est incomplète, les fonctions de base annoncées il y a un an ne sont pas là ou très limitées.

La direction artistique de l'année

 Sans conteste, CONTROL. Bordel, mais quelle DA de malade, avec une histoire toute aussi complexe. Dommage que la technique ne suive pas, du moins sur console. Ça manquait de HDR et d’optimisation sur ma One X.

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La bande-son de l'année

  •  Pour la musique, A Plague Tale
  •  Pour l’ambiance sonore, Resident Evil 2 Remake

La turbo-baffe de l'année

 Death Stranding, autant inattendu qu’addictif.

Le développeur de l'année

Hidéo Kojima, j’ai bon là ? C'est la seule blague que j'ai laissé sur Kojima, un certain Tyler Cross m'ayant coiffé au poteau sur la plupart

 Le constructeur de l'année

 Nintendo, mais pas pour le succès de Switch. Mais pour la qualité de sa console. Sans déconner, plus de je joue avec les joycons, moins j’ai envie de jouer en mode portable. Entre le drift, l’usure générale et la fragilité des certains éléments comme la béquille, Nintendo m’avait habitué à mieux.

L'éditeur (hors constructeur) de l'année

 505 Games juste pour Control et Death Stranding

Le bide de l'année qui t'a fait plaisir

 STADIA… En même temps, c’est Phil Harison qui manage le projet. On parle du gars qui a bossé chez Atari, Gaikai et chapeauté les lancements des PS3 et Xbox One.

Le bide de l'année qui a fait du chagrin en toi

 Shenmue 3… Bien que je osef la série. C’est dommage pour les fans de la série qui n’auront probablement pas de Shenmue 4.

L'expérience viscérale de l'année

 Pour changer, Death Stranding. J’ai le même syndrome que pour les jeux Civilization. « Encore un tour » est remplacé par « encore une livraison »

Le troll de l'année

 Fallout 76 et son offre premium 

Ton Top 5 de l'année

Death Stranding (étonnant)
Control
Days Gone
RE 2 remake
A Plague Tale

Retour sur tes attentes de 2019 que tu as formulés lors des Krevawards 2018

KH 3 : Joli, mais incompréhensible

RE 2 Remake : Good Job de la part de Capcom

Remake de Xenoblade Chronicles X : Finalement, on aura un remake de Xenoblade Chronicle.

Death Stranding : Tout est déjà dit, je pense

PS5 & Xbox : A part, la période de sortie, on n’en sait pas plus.... ET si finalement, on connait le design et le nom de la console MS : Une scarlett pour adulte.

La chose inavouable que tu as pourtant faite et concerne le JV

A chaque grosse MAJ de No Man Sky, je repars pour 20/30 heures pour finir par dire « plus jamais »

Tes attentes pour 2020

Niveau JV : FF 7 Remake, Cyberpunk, Watch Dog 3, Xenoblade Chronicle et surement des jeux indés que je ne connais pas encore. Et dernière minute, Personna 5R qui sort en francais, patin bordel de merle !!!!

Niveau BD : j’espère la sortie du tome 4 de Universal War 2

 Pose-toi une question et réponds-y

 

Quoi de plus naturel, au départ, que de s’interroger sur le point de départ ? Cette question n’est-elle pas, par définition, la première de toutes ? Mais qui commence quoi que ce soit en la posant ? La réponse n’est-elle pas considérée comme évidente ? Pourtant, on peut se demander si par point de départ il faut entendre plutôt un fondement, un principe, une rupture instauratrice, un commencement dans les choses et les êtres, un être lui-même, ou encore une proposition. Tout le monde s’accordera en tout cas pour dire qu’il s’agit d’un terme premier. Mais quel sera au juste le terme premier d’une œuvre d’art, d’un processus historique, d’une démarche scientifique ? Faute de critère, qui serait forcément plus premier pour définir le point de départ, comment répondre ?
Peut-être conviendrait-il d’aller voir du côté des sciences, voire des systèmes formels où la rigueur exclut l’errement ? Le cas de l’axiome semble exemplaire : quoi de plus indiscutablement premier que lui ? Ce serait oublier qu’il n’est là que pour justifier. Il ne s’impose qu’après coup. S’il est premier, ce n’est que par rapport à ce qui suit, mais c’est ce qui suit qui permet de le découvrir. Cela revient à conclure que, pour connaître un point de départ, même aussi assuré que l’axiome, il convient au préalable de découvrir de quoi il l’est, ce qui est paradoxal si ce doit être lui qui, en bonne logique, doit faire accéder à tout le reste et le précéder.
Si le terme premier n’est reconnu qu’une fois posé ce par rapport à quoi il l’est, c’est-à-dire à la fin, comment la pensée peut-elle rendre compte de ce qui semble bien être le problème même de son instauration …

Le mot de la fin

 Tout à une fin... Sauf la banane qui en a deux