On ne le sait peut-être pas et on s'en fout sans doute royalement, à juste titre, mais au nombre de mes (trop nombreux) péchés mignons, la mythique série british Doctor Who occupe une place d'honneur, que ce soit dans mon coeur (ce n'est pas un problème) ou sur mes étagères (ça, par contre...).

L'occasion de faire un petit break  en "hors piste" entre deux collections de jeux laborieusement anotées (ce qui explique le temps indécent que je mets à les poster), pour s'évader en TARDIS d'occasion et découvrir une "collection" (disons plutôt, là encore : un amassage compulsif de trucs random au fil des ans) plus grande à l'intérieur. D'autant que ma moitié (bon, ok. Mon trois-quart), la sémillante PYT-Bibiche, n'aura pas manqué d'apporter ses pierres à l'édifice.

L'occasion également de rendre hommage à un monument de télévision qui, certes, s'essoufle actuellement (après dix saisons consécutives, pouvait-il en être autrement ?) mais dont les mérites ne déméritent pas, et qui a su donner au divertissement populaire ses lettres de noblesse. 

Pour celles et ceux qui se demanderaient de quoi qu'est-ce que ça cause

(mais c'est très marrant aussi, hein.

On ne dirait pas comme ça, mais ça ne se prend pas au sérieux et c'est pour ça que c'est bon)...

 

Woush-woush-woush, on embarque, direction everywhere, anytime.

It won't be safe, it won't be calm, but it will be the trip of a  lifetime.

Will you come with me ?

 

 

 

 * Les DVDs :

 

 Le coffret par lequel tout a commencé. Après avoir longuement hésité à acheter la série "en aveugle", alors qu'elle ne jouissait que d'un petit succès d'estime chez quelques rares initiés la suivant via des moyens occultes (on était encore bien loin de l'effet de mode et des Fez sur la tête), j'ai fini par sauter le pas et par tenter le coup. Bien m'en a pris (encore que mon banquier ne soit pas nécessairement d'accord sur ce point). Pourtant, j'ai trouvé le premier épisode particulièrement calamiteux, grotesque, mal écrit, mal joué, infantile au possible... à une scène prêt (les vrais sauront). J'ai vraiment failli ne pas aller au-delà tellement je l'ai trouvé mauvais. Heureusement que l'épisode 2 était aux antipodes, et m'a encouragé à m'accrocher...

Bon, pas en VF, par contre, parce que les coffrets sans la V.O. sous-titrée, c'est un concept d'un autre temps (oui, j'ai découvert la série en fin de saison 3)...

 

 

Je n'ai pas honte de l'avouer, je ne suis pas fan de l'ancienne série, que j'ai plaisir à regarder (avec une indifférence amusée) mais qui me séduit plus par son bric et son broc que par ses scénarios étirés à n'en plus finir et pas toujours rythmés comme il faudrait.

Oui, je fais mon coming out, je suis fan du "New Who" : son humanisme, son ambivalence, son humour surjoué, sa grandiloquence théâtrale, sa SF en trompe-l'oeil, son cul entre deux chaises...

Ce qui ne m'empêche pas de posséder quelques classiques "par principe", dont ici un coffret regroupant trois aventures antérieures, dont le fameux téléfilm américain qui aura fait couler tant d'encre : malgré un Doctor charismatique au possible et quelques bonnes idées, voire une ou deux belles lignes de dialogue accidentelles, le tout tient de la série Z lambda, réécrivant laborieusement Terminator, avec le Master en guise de T1000 (interprété - si  l'on peut dire - par le frère de Julia Roberts, c'est dire s'il y a du beau linge) et tentant de réinventer la mythologie de fort troublante manière (le Doctor y serait à demi humain...). Rigolo (involontairement), mais c'est bien tout.

 

En grand fan de Douglas Adams qui se respecte, il me fallait également posséder cette aventure mythique qu'il a scénarisée et dont l'action, cerise sur le gateau, se déroule dans notre bon vieux Paris sans Book-Off (:larme:).

 

The Second Coming, mini-série de Russell T Davies en deux parties, qui préfigure son futur "New Who" en gestation. On y retrouve déjà toutes les qualités et les obsessions du Seigneur du Temps version "2000", ainsi que quelques visages connus au niveau du cast (l'immense Christopher Eccleston en tête). Si l'image est cheapos au possible, l'écriture en est remarquable, surtout sur un sujet aussi casse-gueule (un prolétaire lambda prétend être le nouveau Christ), pour un message toujours tristement d'actualité (aujourd'hui plus qu'hier mais bien moins que demain).

 

 

 Chat échaudé craignant la version française, j'ai embrayé sur les coffrets en version britaniques, infiniment plus copieux en matière de bonus... Ici, donc, les quatre premières saisons, incluant les fameux épisodes de Noël.

 

 

 

 

 

Deux incursions timides du bon Docteur dans le champ de l'animation : en 3D cell-shadée d'abord, avec un récit nerveux (trop) car découpé en épisodes de cinq minutes, mais plutôt sympathique (même si visuellement atroce). 3D ensuite, niveau cinématique PS2 de début de gen', mais sauvé par l'intrigue sympatoche (à défaut d'être révolutionnaire). Productions petit budget techniquement à la ramasse, elles ont toutefois le mérite d'exister et de prolonger agréablement la balade en compagnie de la dixième incarnation de notre Timelord favori. ça ne se refuse pas.

 

 On continue la balade DVD avec les Spéciaux de la saison 4 (dont l'inoubliable et traumatisant Water of Mars), puis le changement de showrunner en saison 5, avec l'arrivée de Steven Moffat aux commandes et de Matt Smith dans le rôle du 11ème Docteur (coïncidant avec un budget bien plus conséquent et du matos HD, gommant un peu du kitsch emblématique de la série, pour le meilleur et pour le pire).

Saison 5 qui devait être la dernière, et qui reste aujourd'hui encore ma préférée, n'en déplaise aux nombreux haters du bonhomme tant il y a tout donné - au point de manquer de matière pour la suite, c'est ballot.

 

 

Moffat que j'idôlatre, d'ailleurs, qu'on se le tienne pour dit, car c'est un de tous meilleurs scénaristes de son temps et un véritable "esprit supérieur", au sens noble du terme, que j'ai eu la chance de voir en Masterclass lors de sa venue au Comic Con de Paris il y a quelques années de ça. <3

 

 Les saisons 8 et 9, avec l'arrivée du Grumpy Doctor (génial Peter Capaldi), l'épisode spécial du 50ème anniversaire (jouissif) et l'incroyable épisode de Noël avec Nick Frost (un grand, très grand Moffat).

 

 

En attendant la version française d'une saison 10 pour le moment en demi-teinte (à un épisode près, jubilatoire), l'intégrale des 4 saisons de Torchwood, spin-off de l'ère Davies au ton se voulant plus adulte et qui, passé une saison 1 parfois géniale, parfois embarrassante de ridicule, s'enfonce toujours plus profondément dans les affres d'une noirceur désespérée, jusqu'à atteindre des sommets rarement égalés en la matière (mention spéciale à la saison 3). Très décriée pour son "américanisation", la saison 4 est au passage beaucoup moins mauvaise qu'on le raconte, voire carrément enthousiasmante si on fait abstraction des flingues (à vrai dire, c'est une de mes préférées).

 

 

 

 

* CD :

 

Parce que la musique adoucit les voyages dans le temps, les bandes-originales des saisons 1 à 4, ainsi que des Spéciaux de la saison 4 et celle de la saison 5.

Difficile de suivre tant les sorties pleuvent en la matière, mais si vous ne devez en avoir que trois, vraiment, prenez les trois premiers, très au-dessus du lot.

 

 Les BOs des saisons 6 et 7, ainsi que de l'épisode de Noël de la saison 5 (je crois. Je m'y perds moi-même !) et celle du 50ème anniversaire...

 Le triple album de la saison 8, histoire de pouvoir écouter à loisir l'excellent thème du 12ème Doctor...

 Sur une seule galette pleine à craquer, la bande son des saisons 1 et 2 de Torchwood - qui mrite son pesant d'écoutes.

 

 En double CD, la BO glaçante de la non moins glaçante saison 3 de Torchwood.

We are coming. We are coming. We are coming.

BACK.

Un peu de Trock, maintenant. Et non, ça ne consiste pas à essayer d'échanger un Amiibo Breath of the Wild contre un petit pays d'Afrique sur Priceminister. Le Trock, c'est du "Time Lord Rock", à savoir : des CDs de chansons pop-rock consacrées au bon Doc, par des fans, pour des fans.

Avec ici les deux albums du groupe le plus célèbre, en la matière : Chameleon Circuit.

 

 

Ensuite, une compile masterisée en garage où le pire cotoie le meilleur.

Enfin, un album de Dr Noise, qui cause Dr Who mais pas que.

 

 

Des galettes qui ne révolutionneront pas le monde de la chanson mais qui restent bigremment malignes et très très agréables à écouter, et c'est tout ce qui compte.

 

Bouquins :

 

 Incontournable, l'Encyclo "française" (disons : traduite en français), pleine à craquer de photos d'archives et de documents rares qui font plaisir à voir. Chaque page apporte son lot de culte et de collector, rendant l'achat indispensable - même si la médiocrité de la traduction gâche un peu le tableau.

 

Offert par un autre fan de renom, mon compère ChrisleRoux, une autre encyclopédie en Anglais, davantage axée sur les coulisses, les bruits de couloir et les petits secrets (honteux ou pas) de la série.

 

The Shooting Script : un luxueux pavé tout en couleurs regroupant l'intégralité des scripts de la première saison, dans leur version originelle. Un must have absolu, d'autant qu'il est très bon marché.

 

 Le Brilliant Book 2011 qui revient de manière triviale sur les coulisses de la saison 5. Mi-encyclopédie, mi cahier de jeux, cet ouvrage hybride ne manque pas de charme mais reste anecdotique.

 

 La première partie de l'intégrale des livres de poche publié chez Milady (Bragelonne). Alors que je craignais le pire au niveau de la qualité des traductions (voire des ouvrages eux-mêmes), j'ai été agréablement surpris. Asbtraction faite de l'abominable "Nuit des Humains", les autres titres oscillent entre le moyen (Appolo 23, le Dragon du Roi), le très sympa (l'Armée Oubliée) et le très très bon (l'Horloge Nucléaire, la Chasse au Mirage). Au point qu'on peut les lire sans indulgence, et y trouver son compte quand même. On me l'aurait dit, je ne l'aurais pas cru.

 

 La deuxième partie de l'intégrale, avec le très moyen "La Lune du Chasseur", et les très très bons... ben... tous les autres, en fait. Dommage que Milady ait interrompu la publication car on en reprendrait sans peine une louchée (et vu le nombre indécent de titres qui existent en Angleterre, il y aurait de quoi faire). A croire qu'il aura été difficile de trouver des lecteurs chez les adeptes du Doc'. Du coup, on comprend mieux pourquoi le travail de Moffat est autant critiqué. Niark.

 

 Contre toutes attentes, Milady a fini par reprendre ses publications, mais en optant pour un format plus volumineux et des textes plus aérés (l'occasion de vendre ça deux fois le prix), mettant en scène les Docs de l'ère "Classique".  N'étant pas fan de la formule, j'ai quand même donné sa chance à celui-ci, puisqu'adapté d'un script perdu de Douglas Adams, mais si l'aventure est bien au rendez-vous, elle ne m'a pas donné envie de poursuivre ma collection (d'autant que pour le coup, c'est le genre de choses qui prend de la place pour rien).

 

 Pour tromper ma déception, suite à la défection des éditions Milady, deux romans en V.O. (parmi des centaines), choisis en fonction de leur thématique très "4ème Dimension" et s'insérant en cours de saison 3.

 

 L'intégrale des romans faisant office de prequel à la quatrième saison de Torchwood (saison très controversée, mais que j'ai beaucoup aimée malgré tout).

 

Le 10ème Doctor a rencontré le Barde dans le second épisode de la saison 3. Cet ouvrage en anglais compile les impressions et réflexions de ce dernier au contact de l'exubérant extraterrestre, ainsi que quelques extraits de pièces revus et corrigés à la sauce Timelord... (PYT)

 

 

Qu'à fait Martha Jones en fin de saison 3, alors que le pauvre Ten était gardé en cage par un Master plus machiavélique que jamais ? C'est ce que ce roman en anglais propose de découvrir. (PYT)

 

Nos grands classiques des contes pour enfants, revisités en mode Gallifreyien (PYT).

 

 

Ce recueil de nouvelles regroupe le texte écrit par Amélia Pond après être sortie (contrainte et forcée) de la vie du Doctor, ainsi qu'une aventure de Melody Malone écrite par Riversong, et une autre consacrée à l'irrésistible Paternoster Gang (PYT). 

 

 Avant de se régénérer, le 11ème Doctor a veillé plusieurs siècle sur la planète Trenzalore, assaillie de toutes parts par ses plus mortels ennemis. Ce recueil de nouvelles révèle quelques-unes de ces luttes de longue haleine (PYT).

 

Un roman qui permet de retrouver le War Doctor joué par John Hurt plongé au milieu des horreurs de la Guerre du Temps (PYT).

 

 Un recueil de nouvelles consacrées au personnage ambigu de River Song, qu'on ne faisait jusqu'ici que croiser et qu'on découvre ici maitresse de son destin (PYT)...

 

 Recueil d'échanges épistolaires avec le Doctor, toutes saisons confondues, richement illustré de nombreuses photos couleur (PYT).

 

Un recueil de contes de Noël (un par Doctor), magnifiquement illustré par des artistes atypiques, mais de grand talent - ainsi qu'un totbag Weeping Angel (pour pouvoir l'emmener partout ?). 

 

* Magazines  :

 

Deux numéros du Doctor Who magazine officiel, achetés lors de voyages à Londres (passage obligé par WHSmith, "my old friend").

L'équivalent, mais version "jeune public". Toujours obligé (mais moins).

 

 

Six mooks en anglais (pour une collection qui en compte hélas plusieurs dizaines), consacrés au Whoverse dans son ensemble, période classique et période moderne confondues.

 

Un numéro spécial du Doctor Who magazine entièrement consacré aux produits dérivés de la série.

 

* BDs :

L'intégrale des Revolutionary War en français, incluant en fin de second tome un court chapitre consacré au Doctor (dans sa version Classique). Anecdotique, mais pouvait-on passer à côté d'une édition dans la langue de Molière (et d'une occasion de retrouver Captain Britain, par la même occasion) ?

 

Le recueil Panini des comics sérialisés dans le Doctor Who magazine et consacrés au 9ème Doctor.

Des histoires d'une grande qualité, parfaitement découpées (la marque de fabrique des comics DW édités chez Panini) qui ne souffre que d'un trait honnête mais sans génie. Chaque tome est toutefois augmentée d'une intéressante section making-of avec croquis et interviews à la clé.

Inclus : la nouvelle de Steven Moffat qui a donné naissance au cultissime épisode "Blink".

 

 

 

 La même chose, mais consacrée au 10ème Doctor. Les comics suivant la diffusion de la série TV, c'est l'occasion pour le lecteur de retrouver le personnage dans des aventures plus décomplexées, plus libres (le dessin permettant des folies que des décors en carton interdisent). Du fait de la longue pause ayant suivi la saison 4, on peut y découvrir une nouvelle "compagne" pour notre Seigneur du Temps préféré, une extraterrestre charismatique au caractère bien trempé et au passé trouble.

 Inclus : l'histoire courte ayant servi de base à l'épisode "The Lodger" et mettant en scène le fameux  Mickey dans le rôle du locataire récalcitrant.

 

 On poursuit logiquement avec les volumes consacrés au 11ème Doctor. La qualité est toujours au rendez-vous mais elle baisse, que ce soit au niveau de l'édition (volumes moins épais, format plus petit) que des intrigues qui, à trop vouloir suivre leurs fils rouges et se prendre au sérieux, perdent un rien de leur charme.

 

 La suite et la fin des festivités de l'ère Matt Smith, avec le retour de têtes connues de l'époque "Classique".

 

 Les deux premiers de l'ère Capaldi, toujours accompagné de Clara Oswald, son impossible girl (car non, ce n'est pas Bill que l'on peut voir sur la couverture du tome 2)...

 

 Un One Shot au format roman, tristement anecdotique.

 

 Les comics des édition IDW en version anglaise (une version française est sortie chez One Eye mais malheureusement, la qualité des traductions n'était pas au-rendez vous). Bien plus soignés (globalement) que les versions Panini, mais en contrepartie moins réussis sur le plan scénaristique. ça se lit avec plaisir, mais ça manque de liant, d'envergure, faute de pouvoir se développer convenablement. 

 

 Plus intéressante, déjà, une histoire en trois tomes. Seul vrai défaut : des premiers chapitres absolument hideux. 

 

On poursuit la collection avec le premier Omnibus de l'ère Matt Smith (également publié en VF en plusieurs volumes). Mêmes qualités graphiques, même bémol au niveau scénaristique (toutes proportions gardées. ça reste de très bonne facture malgré tout. Contrairement à ce que prétend la rumeur, je n'ai pas l'habitude de perdre mon précieuuuuux argent bêtement. Il y a des limites à la fanboyitude, loul).

 

 En attendant que je puisse m'offrir le second Omnibus, la version numérique en mode Humble Bundle, offert par le grand Locutus !

 

Dans le même ton, un one-shot sympathique, même si pas très beau à regarder.

 

Last but not least, le tout premier recueil de comics Torchwood (qui est longtemps resté le seul et unique du cru). Bien qu'il s'agisse d'histoires courtes, on ne boude pas son plaisir, la qualité est au rendez-vous. Il est actuellement réédité sous le titre "Torchwood : archives vol. 1".

 Torchwood revient en grande forme dans cette nouvelle aventure tout juste sortie de l'imagination de John Barrowman (l'acteur jouant le premier rôle dans la série) et sa soeur Carole, qui avaient déjà co-écrits ensemble plusieurs ouvrages romanesques (dont l'un consacré à cette même série). Malheureusement, le nouveau Torchwood (sans doute issu des bouquins) est loin d'être aussi charismatique que l'équipe d'origine, et la trame est loin d'être aussi enthousiasmante que Children of Earth ou Miracle Day (plus proche de ce qui se faisait dans les saisons 1 et 2).

 

L'intégrale à ce jour des aventures du 10ème Doctor version Titan (qui a pris le relais d'IDW pour redonner un coup de jeune à la licence). Le moins qu'on puisse dire, c'est que même si la qualité est en dent de scie, le passage de relais est une réussite, sur le fond comme la forme. Les artistes (renommés) s'en donnent à coeur joie et les intrigues sont globalement bien plus prenantes et mieux écrites. Seule ombre au tableau : un retard certain par rapport aux publications UK, et un sacré budget à débourser à chaque nouvelle sortie. 

Même Doctor, nouvelle compagne, une alchimie qui fonctionne du tonnerre.

 

 Même chose pour  le 11ème Doctor avec, dans le Tardis, une bibliothécaire de caractère, un extraterrestre incompris car incompréhensible et... David Bowie. Miam.

 

Même chose, enfin, pour le 12ème, accompagné de sa Clara Oswald fétiche.

Et là, on comprend pourquoi je parlais d'un budget conséquent, les tomes sortant simultanément dans les trois collections. A 15 euros pièce, c'est un budget.

 

Alors si en plus, on sort les One Shots... :lol: (plutôt réussi, mais terriblement confus et, une fois n'est pas coutume, un peu plombé par la traduc).

 Plus de problème avec celui-ci, vu qu'il est en V.O. Une chance, car cette fois, c'est quatre Doctor qu'il convoque parallèlement ET simultanément.

 V.O. toujours pour les deux premiers tomes des nouvelles aventures de mon "sosie", le 9ème Doctor, trop vite remplacé. Parce que je doute qu'ils sortent un jour en version française, et parce que je n'allais pas manquer cette occasion de retrouver également Rose et Jack, en très grande forme. L'occasion pour les auteurs d'explorer le background dudit Jack, abandonné dans Torchwood.

 

 Deux exemplaires anglais du magazine de prépublication regroupant un chapitre de chaque série.

 

 Deux fascicules de prépublication en anglais format "comics pour de vrai", regroupant deux chapitres d'une même série (chacun).

 

* Jeux de société :

 

Comme on l'imaginera sans peine, un petit jeu très limité dans ses mécaniques, destiné aux juniors indulgents. Il s'agira de faire le tour du plateau de jeu sans se faire attraper par le Dalek. Tout un programme (ou pas) (PYT).

 

Le  Monopoly du 50ème anniversaire (PYT).

 

 

 

Le Scene-It consacré aux saisons 1 à 3. Bien sympathique, même si l'interface DVD n'est pas idéale. Simplement, trouver des joueurs à affronter relève du parcours du combattant puisqu'il faut que tout le monde connaisse bien les trois premières saisons pour pouvoir  s'amuser, mais pas trop bien non plus vu que la plupart des questions sont easy peasy (PYT).

 

* Jeux vidéo :

 

Les deux jeux de la Nintendo DS. Le premier, sorti également sur Wii, est un "Trump" game. ça ne veut pas pour autant dire qu'on y joue un président des Etats Unis mégalomane, non. Petit jeu de cartes numérique résolument casu, il se révèle vraiment sympa (surtout à deux) lors des premières parties. Hélas, on a tôt fait de mémoriser la totalité des caractéristiques des cartes et de devenir virtuellement  imbattable.

Plus intéressant, le second est un point and click à la Layton (en moins réussi, quand même, soyons sérieux) qui narre une aventure inédite du 11ème Doc, avec les voix des acteurs de la série TV (PYT).

 

Dans la lignée des adventure games, le jeu exclusif à la Wii. Une purge. Même avec beaucoup d'indulgence, il faut le voir pour le croire. Y jouer, n'en parlons même pas (PYT).

 

 

 

Sur Steam, l'intégrale des Adventure Games (jeux épisodiques initialement gratuits, laids et peu ergonomiques mais proposant des scénarios intéressants, mis en valeur par les acteurs de la série), et le premier (et unique) Eternity Clock, sorte de Prince of Persia du pauvre sorti sur PS3, dont la suite n'est jamais sortie faute de succès. Sympatoche, mais très limité...

 

* Jeux de rôle :

 

 

Offerts par l'indestructible Karas, les manuels du maître du jeu consacrés aux années Tennant et aux années Capaldi. 

Des mécaniques simples, adaptées, davantage basées sur le roleplay que sur le lancer de dé, qui permettent de revivre l'intégralité des scénarios des saisons concernées, fiches de PNJ à l'appui. Ou, évidemment, d'inventer ses propres aventures dans le temps et l'espace.

 

Toujours offerts par Karas, le manuel du maître du jeu pour les années Smith, et un manuel annexe pour approfondir le Whoverse.

Le tout, en couleur, sur papier glacé et richement illustré. On connaît la chanson, elle fait Wou-hou-houuuuuuu-hou-hou-houuuuuuuu !

 

* Goodies :

 

Ten façon Big Jim, déshabillable à volonté (je love). Pas forcément très ressemblant, hélas, mais de très belle taille et entièrement articulé, avec des vêtements en tissu qui lui donnent l'air de porter un gilet pare-balles...

Une pièce plutôt rare qui, désormais, se vend un prix indécent sur le net.

 

 

Dans la même collection, mais encore plus grand et beaucoup plus ressemblant, un Judoon (sans son casque amovible, ici). 

N'est-il pas top sexy ?

 

Une mini-figurine collectible d'Eleven offerte par l'esthète Ryuukusan.

 

 

Un Bubble Head génial de Ten (beaucoup plus ressemblant, d'un coup) offert à PYT par ChrisleRoux.

 

Une peluche Dalek qui parle (enfin, qui crie) offerte par le kawaii-moto-hayaku Chocolat.

 

Un Dalek motorisé qui, jadis, fonçait droit dans les murs puis changeait de direction en criant "Exterminate". Mais ça, c'était avant (les chats). (PYT).

 

Une tirelire de belle taille qui fait woush-woush, offerte par Karas aussi ! 

 

Le tournevis sonique du War Doctor au 1/1ème qui ne fait pas woush-wouh mais qui clignote.

 

Un stylet DS à l'image du tournevis sonique du 11ème Doctor.

 

 

Un set de badges collectors sur le thème du Master version John Simm (génial John Simm !).

Un badge Tardis officiel.

Un set de cartes à collectionner, avec Shakespeare dans le tas, c'était le destin ! (Offertes par Ryuukusan aussi).

Deux crayons et deux gommes offertes avec le magazine "jeune public" présenté (beaucoup) plus haut (oui, je fatigue un peu, pour les légendes. Qui l'eût cru ?).

La bague du Master en plastoc pour doigts d'enfants de six ans et le journal des choses impossibles, rédigé par John Smith sur la base de ses rêves (troublants) en fin de saison 3...

Un contenu fidèle... et presque lisible !

 

La superbe montre gousset des Seigneurs du Temps, offerte par ChrisleRoux.

 

Et elle donne vraiment l'heure, en plus ! <3

 

Une théière Tardis, offerte par Snake_in_a_box, le roi des masochistes (et plus grand hater de la série de tous les temps).

 

Un Mug Dalek Army hyper stylé. Du coup, je n'ose pas boire dedans. C'est ballot.

 

 

Une boîte à cookies Tardis qui fait woush-woush-woush aussi à chaque fois que j'essaie de voler un cookie en douce sans que PYT s'en aperçoive. Du coup, après, je dois courir comme dans un épisode de ma série préférée ! Malin ! Et très immersif, de surcroît ! Par conséquent, seul un Roux (Chris, de son prénom) pouvait offrir un objet aussi "piégeux"...

 

Un Dalek en carton au 1/1ème qui prend GRAVE de la place. 

En langage de Whovian, on appelle ça une invasion.

 

 

Enfin, last but not least at all, une peinture signée PYT représentant l'un des terribles Anges Pleureurs. <3

 

 

Maintenant, il va vraiment falloir que je parte en quête de mon propre TARDIS quinze fois plus grand à l'intérieur pour pouvoir exposer tout ça façon Bibliothèque des Ombres...

Vivement qu'Ikéa sorte un Wïbli_Wööbli, ou un meuble dans le genre...

 

*

 

Dans les épisodes précédents :

 

- Ma petite collection Final Fantasy (en discrète mais constante évolution)

- Ma petite collection Super Famicom

- Ma petite collection Nintendo DS