Il est grincheux, vicieux, teigneux, odieux, hideux, dédaigneux, prétentieux et plein d'autres mots en "eux" (mais sûrement pas heureux. Il l’a été une fois, il a trouvé ça awful) ; et bien qu'il ait (lui aussi) son lot de poils sur le dos, contre toute attente, ce n'est pas le Gamer aux Mains Carrées.
Des preuves ?
Lui, internet l'adore, c'est un de ses mèmes préférés (et accessoirement, le seul qui soit à peu près drôle, ce qui n’est pas un mince exploit).
Et lui, il vient de publier son premier livre, ce qui lui donne plusieurs longueurs d’avance sur le proprio de ce blog.
Lui, vous l’aurez sans doute reconnu, c'est Grumpy Cat, le chat le plus grognon et le plus nihiliste de l'histoire de la Chatité (et Dieu sait qu'il y a du level !), à ne pas confondre avec son âme-presque-soeur Lazy Cat :
Il déteste les gens (vous inclu), le soleil (sauf dans les films de vampires), la nature (sauf l'herbe sous laquelle il veut vous enterrer), les chiens, les enfants, le bonheur (même s’il ne voit pas trop bien en quoi les deux premiers seraient synonymes du troisième), le cinéma hollywoodien, …
…, l’animation japonaise, …
..., le cinéma Hollywoodien, ...
…, les J-RPG, ...
et, d’un point de vue plus général, TOUT sans restrictions (et encore, ça, c'est dans ses bons jours).
A son vocabulaire, deux mots - "Good", et "No" -, pour exprimer tout le mépris que vous, humains, lui inspirez.
Autant dire qu’il est ici chez lui, et chacune de ses petites boules marron « qui ne sont pas du chocolat » également.
Je ne pouvais donc qu'être honoré (et tant pis si ça le dégoûte et s’il vomit sur mon tapis. Bien au contraire) d’avoir été choisi pour assurer la promotion de la traduction française de son premier livre et spammer quotidiennement, conformément à ses directives, le fil d’actu des blogs de la communauté avec ses chroniques CDs inédites.
Dont vous apprécierez la justesse, la pertinence et surtout, analphabètes que vous êtes, la brièveté.
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A tout seigneur, tout honneur :
A demain (ou tout à l'heure, si Gameblog déc*nne et si la programmation de post joue encore à tordre le continuum espace-temps).
