Après une période calme, j'ai repris mes visionnages d'anime.

Outre Fairy Tail que je suis de façon régulière, et qui commence a me lasser un peu. (je commence à ne plus trop tolérer les shonen à 400 épisodes avec 10 minutes de flash back et 2 de baston), je me suis lancé dans Gosisk, Turn A Gundam et Mahou Shoujo Madoka Magica.
 
La première est une série d'enquête ma foi assez agréable, j'en suis au début, mais ça se présente plutôt pas mal. La deuxième est vraiment atypique dans la série des Gundam, j'essaierai d'en parler plus tard.
 
Mais c'est surtout la troisième qui retient mon attention. Madoka Magica se présente au premier abord comme une série Magical Girl des plus classique. Par conséquent son esthétique a de quoi rebuter de prime abord (et j'ai d'ailleurs décroché une première fois). Mais j'ai pu constater l'insistance du public qui semblait plébisciter cet anime. Je me suis donc armé de volonté et j'ai creuser le sujet.
 
Cette série m'a scotché... Il ne faut pas se laisser duper par son esthétique et/ou des dialogues qui peuvent sembler niais. Je n'en suis qu'au huitième épisode, et je commence à penser qu'on tient là un nouveau Evangelion. C'est à dire un anime qui prend un genre a priori superficiel mais qui en bouscule les codes et les remets en question.
Pas de premier degré ici, où une héroïne toute puissante triomphe à la fin chaque épisode avec en prime une gentille morale. Dans Madoka Magica, les révélations graves s'enchaînent remettant en cause les a priori sur les personnages et l'univers qui les entoure. Les situations manichéennes s'ébranlent vite et le charact design SD est bousculé régulièrement pour créer une sensation de malaise assez réussie.
 
La musique n'est pas en reste, et alors que l'openning est niaiseux au possible, l'ending est sombre et contraste franchement avec le tout. D'ailleurs j'aime bien la chanson donc autant la partager...
 
 
Et j'apprécie aussi beaucoup ce thème que je rajoute.
Et enfin quitte à continuer sur des trucs jap' concluons avec un jeu flash bien débile mais qui me fait marrer: Nanaca Crash.  Record perso à 3889.91 m. (et le code ne veut pas se mettre comme je veux, désolé pour la mise en page pourrie...)