Bonsoir à tous les amis ! Pouah, ça commence à faire un petit moment que je n'ai pas rédigé d'articles sur mon blog, blog pourtant construit il n'y a pas une éternité non plus.                             M'enfin vous savez : vacances, bikini, cocktails ou encore consoles qui lâchent sous la chaleur frénétique du mois de juillet...mais cette fois (ou "cette nuit" comme dirait un veil ami) c'est la bonne. Reprise le 11 octobre, ça va encore, presque un rythme d'étudiant en FAC !

Mais je ne vais pas passer plus de temps à vous raconter ma petite vie banale... Si je viens à vous ce soir, c'est pour vous conter quelque chose de merveilleux, de fort et pur ! Je voudrais vous faire part de mon premier rendez-vous avec Link (ou presque premier), la charmante Zelda et le terrible Ganondorf ! Oui, parce que j'avais déjà posé les mains sur un Zelda, mais vite fait (quelle honte d'ailleurs...). J'avais donc envi depuis un bon moment de découvrir comme il se le devait toutes les histoires du petit "lutin" qu'on aime tant. Pour l'anecdote, j'étais en possession de la cartouche 3DS depuis sa sortie ou presque mais j'ai eu le déclic de faire le jeu à la sortie de la New 3DS qui m'a tapé dans l'oeil. Je ne saurais d'ailleurs pas expliquer pourquoi... ce n'est qu'une petite (mais jolie) évolution de la 3DS classique après tout. Me voilà donc avec console flambant neuve dans une main, cartouche d'OoT dans l'autre. Prêt à passer de belles heures de jeu !

Parlons de jeu tiens ! Il y a un tas de choses à dire sur cet opus et sur la saga d'une manière générale même si je ne suis pas encore assez calé sur cette dernière. Laissez-moi le temps de parcourir les autres épisodes voyons ! Parce que s'il y a bien quelque chose qui différencie un jeu paru sur Nintendo 64 (si je ne me goure pas) avec un jeu d'aujourd'hui, c'est sa durée de vie, sa pu**** de durée de vie.

Au début, c'est difficile. Etant un habitué des jeux d'aventures disons "modernes" même si loin de moi l'idée de dire que Zelda ne serait pas moderne (bien au contraire mon cher), ce fut presque une épreuve au début du jeu pour se transformer en un espèce de "plaisir absolu" à la fin ! Comprenez par-là que si le jeu peut vous paraître dans un premier temps rebutant de part son rythme sans doute moins hollywoodien qu'un Uncharted par exemple, c'est en fait une véritable chance que nous offrent les créateurs de ce jeu "pépite" et il serait bête de ne pas la saisir... J'ai apprécié ce Zelda à partir du moment où j'ai compris que la longueur et le rythme d'un jeu sont des rouages de Game Design essentiels et déterminants. OoT prend son temps pour que le joueur "devienne" Link et ressente réellement tout le poids reposant sur les épaules de notre héros.

Le jeu est long et pas forcément toujours simple, de même que la quête de Link dans le fond... Et comme on dit sans aucune arrières-pensées, aucune : plus c'est long, plus c'est bon ! Dans le cas présent, c'est juste. Mais The Legend of Zelda : Ocarina of Time n'est pas excellentissime simplement grâce à sa durée de vie... Il détient tellement de qualité, je ne les aborderais pas toutes et heureusement pour mes petites mimines !

Mais tout de même, abordons un autre point assez incontournable, sa narration. Les dialogues et interactions avec les divers personnages du jeu sont intéressants. Un petit côté rétro par moment, c'est con à dire mais je trouve que la majorité des jeux d'aujourd'hui ont des dialogues vraiment différents de ceux présents dans les jeux d'hier. Avec des paroles parfois ridicules mais rigolotes ou d'autres fois nettement plus réfléchies, presque philosophiques. Ne rigolez pas, vous aussi il vous est arrivé de méditer derrière certaines phrases. 

Et là où OoT excelle une fois de plus, c'est sur l'aspect visuel ! La preuve avec certaines scènes devenues incontournables avec les années. Il faut bien dire que la narration n'est pas uniquement le fruit de quelques lignes de dialogues, elle forme un tout avec l'image et le son. Rappelez-vous de cet instant où devant votre pad de 64 ou votre 3DS, vous réalisiez que la fusion était parfaitement divine entre les paroles du méchant Ganon d'un côté, la musique du jeu en fond et le plan de caméra sur son affreux visage. Voici ce qu'est Zelda pour moi, un tout, un sublime tout... 

En bonus, pour illustrer le tout, le superbe pendentif que le fort sympathique Chocobo de Gameblog (il se reconnaîtra) m'a fait gagner sur Twitter (@JeremyValade si vous voulez me suivre, je vous accueillerai avec grand plaisir).