Encore dans la
catégorie nostalgie, je vous propose de redécouvrir
Phantasy Star Online (ou PSO), un jeu de rôle futuriste qui...
a vraiment marqué ma vie de gamer. Que de souvenir en
repensant à ce jeu. J'y ai récemment rejouer pour le
plaisir, et il faut avouer que ça a bien vieillit. Mais cela
reste encore correct. Cependant, le plus important de ce que j'ai à
dire se trouve au dernier paragraphe, une petite découverte
personnel que j'ai faite en surfant sur ce vaste monde qu'est
internet.

Ses premiers
pas... PSO sur Dreamcast

Phantasy star Online, sortie sur
Dreamcast, est le premier jeu à avoir inventé le genre
du jeu en ligne. En fait, il s'agit de l'ancêtre du genre
« MMO » que l'on connait tous aujourd'hui
(exemple totalement au hasard : world of warcraft). Tout le monde
était encore au modem '56k' et jouer longtemps à ce jeu
nous ruiner en moins de deux. Mais pourtant... qu'est-ce qu'on
s'amusait à ce jeu!

Vous créez votre profil au choix
parmi neuf personnages de bases différents (douze pour les
versions suivantes) chacun ayant des spécialités bien
distinct. Vous aviez la classe hunter qui sont les bourrins de
service, à toujours mettre en première ligne. Au loin,
vous pouviez avoir un ranger, dont les armes de prédilection
étaient les armes à feu, et les forces, qui sont
spécialisés dans les magies.

Bien sûr, chaque classe se
complète et il était possible de jouer au jeu à
plusieurs en écran partagé ou seul en ligne. Et que
dire... PSO est un jeu surtout multijoueur et c'est bien là
son point fort. Il n'y avait pas beaucoup de niveaux mais si vous
voulez arriver indeme jusqu'au boss final, il faudra vous armer de
patience et de courage. Une fois fait, libre à vous de
recommencer le jeu dans les difficultés plus élevés
ou essayer les autres modes de jeu. Mais rien que pour ça, il
faudra vraiment beaucoup jouer. PSO était un jeu de no life!
Vraiment!

Bien sûr; à l'époque
il n'y avait pas de micro-casque ou autre moyen de communaction
efficace. On pouvait acheter un clavier se branchant à la
console nous permettant de dialoguer. Et dans ce cas de figure, on
pouvait avoir par exemple un joueur au commande et un autre sur le
clavier (cf un
level one de Marcus
pour ceux qui se souviennent). En cas
d'absence de matériel, vous avez à disposition des
phrases préprogrammé qui se traduisent automatiquement
dans toutes les langues. Par exemple, le message « Guten
tag! » d'un joueur allemand sera remplacé, sur
votre écran français, par : « Bonjour! ».
C'est bète mais efficace. Au moins, à l'époque,
les serveurs étaient bien peuplé et on trouvait vite
des camarades avec qui massacrer des monstres.

A la fin de la Dreamcast, PSO apparaît
sur GC, Xbox et PC

En
effet, après la console de Sega, le jeu est passé sur
d'autres plateformes. Le monde internet ayant bien évolué,
les problèmes de connections se dissipaient de plus en plus.
PSO reste a peu près identique avec seulement quelques
nouveautés. Mais la raison pour laquelle je post cela est...
que le jeu est toujours disponible sur PC sous le doux noms de
« Phantasy Star Online Blue Burst » (PSO 4 ou
PSOBB pour les intimes).

Bien
que les serveurs officiels aient fermés leurs portes, il existe
de très bon serveurs dit privés hébergeant
toujours les joueurs. Oui, en effet, il est illégale d'y jouer
mais comme je l'ai dis, les serveurs officiels étant fermés, personne ne vous poursuivra pour ça.

Le
serveur le plus connu est
Schthack(américain) qui propose aux joueurs de télécharger
et jouer au jeu gratuitement. De plus, pour ceux ayant jouer aux
serveurs officiels auparavant peuvent demander aux administrateurs de
restaurer leurs personnages afin de reprendre l'aventure. J'ai cru
comprendre qu'ils peuvent aussi le faire pour les possesseurs de la
version Gamecube dans le but de rejouer sur la version PC.

Bien
sûr, le gameplay a un peu vieillit mais si l'envie vous prend de
reprendre l'aventure, n'hésitez pas à aller sur
schthack. Pour obtenir de précieuses aides, vous pouvez aller
sur univer-ps.com, un site amateur français très complet.

Sur
ce... A une prochaine fois.

Hakayami