Article rédigé par Krystalwarrior

Après le succès colossal de GTA IV, un jeu qui marqua autant les esprits que son temps, Rockstar n'allait pas rester les bras croisés. Un an plus tard sortait en exclusivité sur Xbox 360, puis quelques mois après sur PS3 et PC, un DLC de GTA IV intitulé The Lost and Damned.

ROCK 'N' ROLL !!

L'histoire de GTA IV est, contrairement à ses prédécesseurs, plus sombre, plus adulte. La patte Rockstar est à son plus haut niveau, ce qui implique une narration hyper maîtrisée et un jeu qui en jette grave niveau graphismes. Ils ont fait fort en 2008 et avec leur première extension, ils en remettent une couche, afin de rappeler qui est le boss.

The Lost and Damned vous plonge ainsi dans la peau d'un biker, vice-Président du gang de motards/dealers des Lost : Johnny Klebitz. Alors qu'avec Nico Bellic, on avait assisté à l'ascension d'un homme seul dans cette ville immense, ici, le joueur sera témoin de l'explosion du gang des Lost. Une histoire basée sur l'amitié et les trahisons dans laquelle Rockstar s'attaquera à des sujets plus mâtures, comme à son habitude. Une fois de plus, l'intrigue est habilement maîtrisée, malgré quelques clichés bien souvent rattrapés par une mise en scène de qualité.

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"Johnny Klebitz, vice-Président des Lost"

ON THE ROAD AGAIN

Comme tout GTA qui se respecte, le joueur avance dans l'histoire en acceptant les différentes missions proposées et indiquées sur la carte par la première lettre de « l'employeur ». Finir des missions permet de gagner de l'argent (utile après pour améliorer son équipement, pour manger, ou pour toute autre activité), et de débloquer de nouveaux contacts. De ce côté là, il n'y a aucune innovation. Mais pourquoi changer une recette quand celle-ci fonctionne déjà très bien depuis plusieurs épisodes ? Les nouveautés se trouvent évidemment dans l'accomplissement de ces missions.

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