© Le Corniaud

Soyons franc, certaines personnes ne devraient pas se sentir obligées de venir sur Gameblog... ils n'aiment pas ou n'aiment plus Gameblog. Et c'est totalement leur droit. Mais alors pourquoi se faire mal ? Car ils semblent aimer le répéter. Le marteler. Ca doit leur donner l'impression d'exister. Sympa surtout d'avoir autant de temps à perdre, je vous envie.

Blague à part, cela finit par devenir lourdingue de voir combien certaines personnes ont trouvé comme nouveau passe-temps de critiquer, s'offusquer, remettre en question, véhiculer des idées fausses, ne prendre aucun recul... tout le temps et sur tout. C'est beau internet, ça permet à chacun de s'exprimer. Mais ça permet aussi de se rendre compte que les boulets pullulent sur le net.

Une fois de plus, la critique est saine et nous l'acceptons aisément quand elle est constructive... mais s'amuser à pourrir l'ambiance des forums à force de bougonner, de tout prendre au premier degré, de dire que ça ou ça n'a pas sa place juste parce que ça ne vous plaît pas... ça devient d'un pénible... 

J'aurai donc un message à ceux qui adorent déglinguer tout et n'importe quoi sur Gameblog (souvent sans même prendre le temps de lire ou d'écouter ce qu'on dit réellement) : ne vous donnez pas autant de peine, ça ne fera pas changer Gameblog. C'est peine perdue les gars. Allez faire autre chose, lancez un site de jeu vidéo qui vous ressemble, sortez, prenez du recul... ou bien restez, mais soyez courtois et réfléchis. Sinon, nous serons plus sévères dans un avenir... proche.

Dans le même temps, à tout ceux qui apprécient Gameblog, n'hésitez pas à prendre la parole dans les forums. Calmement. Posément. Sans rentrer dans le jeu de ces gens bas du front qui, pour la plupart s'amusent juste à foutre la merde. Montrer leur qu'un contre-poids existe pour que l'ambiance reste de qualité dans les forums de Gameblog.

PS : Ce message ne s'adresse bien évidemment pas à ceux qui critiquent de manière posée, et argumentée. Eux sont au contraire une source d'amélioration potentielle pour nous. Car oui, nous ne sommes pas parfaits, et nous en sommes bien conscients.