Le pitch de STONE semblait assez amusant pour croire à une sorte de The Big Lebowski en jeu vidéo, avec un koala à la place de Jeff Bridges. Malheureusement, STONE est un titre amorphe, un simulateur de point A à point B en ellipse, le niveau zéro de l'interactivité. On pourrait alors se dire que le scénario et la mise en scène rattrapent cette absence de proposition ludique, mais il n'en est rien. En se voulant absolument subversive avec une proposition de jeu pourtant proche du néant, l'intrigue de STONE semble vite creuse quand elle se voudrait plutôt farfelue et amusante.