Tout comme le reste du monde, notre héros aux faux airs de Ryu Hayabusa n'est pas prêt. Ce n'est pas moi qui l'affirme, ni même ses développeurs, mais son vieux maître barbu. En même temps, le démon volant à quatre têtes que l'on peut apercevoir dès le début de ces 11 minutes de gameplay entre 8 et 16 bits ferait reculer n'importe qui.

A priori aussi nerveux qu'exigeant, The Messenger nous dévoile à la huitième minute sa feature unique qui lui vaut tant d'attention : en franchissant l'un des nombreux portails présents dans chaque niveau, le jeu passe en clin d'oeil d'un affichage 8 bits rétro à une palette de couleurs et des arrondis que seules les consoles 16 bits pouvaient se permettre.

Encore mieux : quelques éléments vous permettront de mélanger les deux styles pour s'intégrer directement dans le gameplay, ce qui promet, en tous cas nous l'espérons, de jolis moments délicieusement rétro.

Quelle que soit votre génération préférée, The Messenger viendra effacer les frontières du pixel sur PC et Switch en 2018.