Il s'agissait d'une des promesses de la si triomphante campagne Kickstarter : en plus du jeu complet, un bonbon rétro pour les vieux de la vieille qui veulent du Castlevania sauce année 80. Eh bah le voici le voilà. Et, effectivement, ça ressemble beaucoup à ce qui se faisait chez Konami.

On retrouve bien évidemment Koji "Iga" Igarashi derrière ce projet. Et devinez à quel jeu d'action vampirique ce projet ressemble le plus ? Le préféré de l'ancien producteur de la "petite vague" : Castlevania III : Dracula's Curse, sorti en 1989 au Japon et chez nous en 1992 dans la plus grande, et triste, discrétion. Dans ce On retrouvera les caractéristiques suivantes : la récupération d'un allié après avoir vaincu un boss, des chemins alternatifs et des raccourcis, différentes fins...

Bloodstained : Curse of the Moon est attendu en téléchargement pour le 24 mai sur PS4, Xbox One, PC, PS Vita, Nintendo Switch et Nintendo 3DS. Dans ce titre fort ravissant comme vous pouvez le constater dans notre galerie d'image et dans la vidéo ci-dessus, on incarnera d'abord Zangetsu le bretteur qui pourra switcher avec Miriam la reine du fouet (et héroïne du jeu principal), Alfred l'alchimiste, et Aluca...euh, Gebel, capable d'user de pouvoir vampirique.

Les soutiens financiers à partir de 28 euros pourront le récupérer naturellement sans rajouter un centime. Pour les autres qui seraient tentés - comme ce gredin de Thomas qui ne peut pas s'empêcher de me dire qu'il attend plus Curse of the Moon que Ritual of the Night, en ponctuant d'un rire sardonique -, ce sera 8,99 euros.

Et au cas où vous souhaitez en savoir un peu plus sur la difficulté, deux styles sont prévus : Veteran pour ceux qui ne sont pas contre le fait d'être repoussé en arrière au moindre contact (quant aux méduses dans les tours de l'horloge) ou bien Casual ou vous pourrez avancer l'esprit tranquille et avec des vies infinies.

Quant à Bloodstained : Ritual of the Night, il est attendu pour cette année sur PS4, Xbox One, PC, PS Vita et Nintendo Switch, sans précisions supplémentaires.