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C'est dans une réflexion autour du numérique et du travail que la sociologue s'est interrogée sur les nouveaux outils mis a disposition par Internet. Elle a notamment posé deux questions reprises par le Twitter officiel du ministère du travail, dont celle-ci, concernant les YouTubeurs :

 

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Le travail du YouTubeur ne se situe évidemment pas dans le fait de poster ses vidéos, mais bien dans la création de ces dernières, qui nécessite dans nombre de cas du travail de préparation, d'écriture, de tournage et de montage. 

Reste qu'aujourd'hui cette nouvelle activité fait donc partie des débats à la conférence sociale pour l'emploi. Il ne faut pas voir cette déclaration comme une attaque à destination des vidéastes utilisant la plateforme de Google, mais davantage comme un axe de réflexion autour de la définition même du travail et des opportunités que représentent les outils modernes liés à Internet.