On vous en parlait le 23 septembre dernier, Activision se défend de la plainte déposée par l'ancien dictateur panaméen, Manuel Noriega dont l'apparence est visible sur Call Of Duty : Black Ops II. La société américaine, représentée par l'ancien maire de New York, Rudolph Guiliani est prêt à faire passer la motion de non lieu déposée par Activision.
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L'audience se tiendra le jeudi 16 octobre, soit la semaine prochaine où Giuliani défendra comme mentionné plus haut, la mention de non-lieu déposée auprès de la cour de Los Angeles le 22 septembre dernier, ayant pour but de classer sans suite la plainte de l'ancien dictateur.
L'ancien maire de New York y va de sa petite déclaration, dressant un tableau peu glorieux de Manuel Noriega :
Manuel Noriega n'est pas plus qu'un personnage accessoire dans Call of Duty et ne mérite pas le moindre centime dans ce procès grotesque. Si l'accusation venait à gagner, ce procès mettrait fin entièrement au genre de la fiction historique.
Je suis très impatient de retourner au tribunal pour défendre les créateurs de Call of Duty contre ce meurtrier avéré qui cherche à tourner en farce le système judiciaire américain et attaquer notre liberté d'expression.
Si le procès venait à être remporté par l'ancien dictateur, cela pourrait faire des émules auprès d'autres figures historiques (ou bien à leurs familles) tournées au ridicule. Remettant en cause ainsi moult oeuvres fictionnelles aussi bien au niveau du jeu vidéo, que de la littérature ou encore du cinéma.