La firme japonaise annonce en effet aujourd'hui la revente de l'intégralité de ses parts chez Square Enix Holdings à la société SMBC Nikko Securities, pour la bagatelle de 15,3 milliards de yens, soit environ 110 millions d'euros. Cela devrait rapporter au final 4,8 milliards de yens, soit environ 34 millions d'euros qui seront pris en compte pour les résultats annuels.

Depuis 2001, le constructeur nippon était un actionnaire majeur de Square Enix puisqu'il détenait plus de 8% des parts. Attention cependant, inutile de tirer des conclusions hâtives et d'imaginer l'indisponibilité des jeux Square Enix sur les consoles Sony. Non, rassurez-vous cela n'aura évidemment aucun d'impact.

Pour autant, cette vente est tout de même un signe fort. D'une part car cela signifie que le constructeur a vraiment besoin de faire rentrer de l'argent dans les caisses, et d'autre part car il considère visiblement que c'est une bonne chose (ou peut-être la moins pire...) de se séparer de ces actions maintenant.