C'est donc à Gareth Edwards qu'a été confiée la tâche complexe de relancer la licence Godzilla en Occident, après la baudruche sucrée de bon vieux Roland Emmerich, qui aura tout de même commis une scène d'anthologie avec le sauvetage... d'un chien.

Un film rapidement oublié et que deux minutes trente d'images de ce trailer suffisent à balayer d'un revers de main tant le spectacle s'annonce dantesque, et surtout bien dosé. En témoigne le suspens constant qui entoure l'apparence finale de la créature, qui ne se dévoile que par petits bouts au gré de plans dérobés.

Une bien belle facture donc, peu étonnante eut égard au languissant et joli Monsters, le précédent effort du réalisateur, acclamé dans de nombreux festivals à travers le monde.

Rendez-vous pour voir Godzilla dans les salles dès le 14 Mai.