Dan Houser, patron de Rockstar Games, s'est livré à The Guardian à propos de politique GTA V, durant la preview organisée pour quelques médias, à New York, fin octobre dernier.

Sur les décors, la grandeur du terrain "de jeu" de Los Santos... Pour lui, il s'agit d'un trip à part entière qu'il veut que le joueur vive pleinement. Pour Houser, il s'agit carrément de "vacances numériques". Vous allez vous fondre dans le jeu...

C'est ça l'idée des vacances numériques : avoir la possibilité d'explorer des décors qui n'existent pas réellement, c'est ce qu'il y a de fascinant dans un monde ouvert. Et il ne s'agit pas seulement de faire des activités, mais bien aussi d'être là, présent, tout simplement.

Hmmmm... Un côté presque philosophique on dirait, voire métaphysique si je poussais le bouchon un peu plus loin. D'ailleurs, ces grands espaces "à la" Red Dead Redemption, sont autrement plus étendus dans GTA V. Les joueurs pourraient-ils se perdre, et donc trouver cela lassant au bout d'un moment ?

Dan Houser nous explique le pourquoi du comment : 

Nous voulions concevoir une grande zone de jeu, avant tout pour pouvoir... voler. Bien des décisions sont prises à un niveau philosophique, mais il y a aussi des décisions prises sur un plan purement pratique. Nous faisons un jeu. Vous devez comprendre le media. A l'évidence, nous voulions un endroit assez grand pour pouvoir voler sans problème - nous avons beaucoup de missions qui impliquent des sessions de vol, en hélicoptère ou autre, c'était donc logique.

Et voilà. Nous verons tout cela bouger dès demain 17h00 tapantes sur Gameblog.fr, avec le second trailer du jeu, qui s'annonce dantesque.