On lit souvent dans la presse que le jeu vidéo est le mal incarné, qu'il n'a d'autre vocation que d'engendrer une génération de jeunes décérébrés accros aux pixels, juste bons à se reposer le postérieur dans un canapé, le pad à la main.

Mais de temps en temps, on peut aussi y lire des comptes-rendus d'événements plus positifs pour le rayonnement de notre loisir préféré.

Jeremiah Gilliam, brigand des temps modernes, en a fait les frais récemment. Responsable de quelques deux cents larcins, l'homme s'est finalement fait coffrer par la police américaine alors qu'il venait de se connecter au Net via une Xbox360 volée. Avec l'aide du "grand Satan" Microsoft (dans le rôle ici du gentil de service), les enquêteurs ont pu remonter jusqu'au mécréant en traçant l'adresse IP de la machine incriminée.

Belle leçon de justice ou ode à la bêtise humaine ? J'hésite encore...