on avance, on meurt, on apprend de ses erreurs, on recommence, on meurt un peu plus loin, cette fois c'est la bonne... oh, un boss !

Tout simplement jouissif, ça faisait vraiment longtemps qu'un jeu ne m'avait pas procuré ce bonheur de l'apprentissage par l'échec. Et sans jamais décourager, c'est là qu'est la force du soft, à aucun moment après une fessée déculottée menant au game over on se dit "roh, j'abandonne !", parce que si on meurt, c'est de notre faute. bon, j'y retourne:)