Dès que les lettres "GTA" sont prononcées, on pense aux vols de voitures, aux courses poursuites avec la police, aux fusillades et autres règlements de comptes entre gangsters. On pense aussi à ces mégapoles débordantes de vie, à la liberté d'arpenter ces rues où déambulent des piétons quelque peu inconscients, le tout accompagné par les musiques qui passent à la radio et changent constamment le ton de ce spectacle. On pense enfin à ces hors-la-loi que l'on incarne, aux polémiques que déclenchent souvent leurs méfaits, fussent ces épopées de véritables satires du rêve américain. Car Grand Theft Auto est avant tout coupable de chercher à repousser constamment les limites, non seulement du politiquement correct, mais surtout de l'expérience en monde ouvert. Avant de juger des actions du cinquième épisode, un rappel des faits s'impose, opus par opus...
De GTA à GTA V : l'énorme rétrospective
No limit
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12 septembre 2013