Avec du retard, voici la sélection de la semaine (principalement anglophone, désolé).

 

Les inrocks : Comment on meurt dans le jeu vidéo ?

Petite vidéo hommage aux game over dans les années 80-90s... Y'a pas à dire, on savait mourir de bien belle manière

 

 


Jonathan Blow : Braid talk @ Game city

Retour du créateur de ce magnifique jeu (dont je n'ai pas encore parlé dans ces colonnes, honte à moi), que je n'ai malheureusement pas encore eu le temps de regarder. A découvrir donc et on en reparle dans les commentaires si ça vous dit. (durée : 90min)

 

 

 

 

Portraits de Game designer dans The NewYorker

3 très bonnes lectures (que vous avez déjà lues peut-être) et qui retrace les carrières de 3 créateurs "spéciaux" dans leurs genres. A lire pour ceux qui aiment savoir qui se cachent derrière les jeux auxquels ils jouent.

Miyamoto : Master of Play

Cliff Bleszinski : The Grammar of fun

Will Wright : Game Master

Bleszinski admitted that much of Gears is, in its way, autobiographical. Its look and its aesthetic, for example, were influenced by his first
trip to London, where he climbed to the top of St. Paul's Cathedral and, with "a shitty little camera," snapped a picture of a yolky sun setting over the Thames, the sky streaked with nursery blues and pinks.
Bleszinski's London photograph is one of the reasons that much of Gears
takes place in twilight-a lighting condition prized by cinematographers
but comparatively neglected in video games. Bleszinski asked his artists to create a "sci-fi" hybrid of London and Washington, D.C., but advised them to keep the futuristic well balanced with the historical. The big
flaw in most depictions of the future, he says, "is that they always
forget to leave in the past. Everyone always assumes that the entire
world would just explode and be rebuilt in this kind of super-futuristic style. I still see old cars from the thirties and forties around, right next to things that look like they're from the year 2000. It's that mix that makes things interesting.

Ce projet un peu fou, débuté en 2003, de réaliser un remake (sans piquer aucun élément original, en refaisant tout) est arrivé à son terme au début de la semaine dernière. 103 niveaux, 19 persos jouables, voilà ce que promettait ce remake aux amoureux de la franchise Mégadrive. Malheureusement, il semble que Sega (qui avait pourtant autorisé jusque là le développement du jeu) se soit réveillé et a fait retirer le jeu du site des créateurs. Espéront qu'ils pourront, sous une forme ou un autre, publier le fruit de leur travail...
Décidement le succès des NSMB ne se dément pas et c'est Capcom qui adapte cette fois-ci le jeu, ou plutôt des mini-jeux inspirés de la franchise, dans une borne d'arcade jouable à 4. Difficile d'imaginer ça s'exporter hors du Japon...

 

 

Voilà c'est tout pour cette semaine, pas mal de vidéos finalement, et en plus j'ai réussi à entamer de guerre entre les hardcore gamers qui mangent du Nesquik et les casuals qui mangent des Chocapic . OUF !