Tout d'abord, n'oubliez pas que cette chronique vous est présentée en collaboration avec les membres du CNC :

Critobulle et sa rubrique musico-nanarde

ipiip et sa rubrique de l'extrême

PoulpyBlast et sa rubrique d'OST nanarde

KrystalWarrior notre gourou sexuel qui vient nous éclairer de ses lumières. 

botteur pour sa touche Belge !

Kahnettan et son regard anxiogène !

Magicpie pour les protections adaptées.

Et avec la bénédiction de notre idole, le fantastique Mr. Ragondin !!

 

 

 ...

 

 

Ouais, j'ai écris plein de texte, on ne voit même pas de vidéo de filles à poil. Blasant hein ?

 

Bonsoir chers amis, 

Il n'est de secret pour personne que la musique visuelle est un média relativement jeune. Ses détracteurs lui reprochent habituellement une trop grande immaturité dans ses choix narratifs, un traitement parfois un tantinet caricatural des personnages (et sexiste de la gente féminine), voir même de faire passer de sublimes graphismes en priorité au dépend d'un propos et d'un fond cohérent.

Certes, ces remarques sont encore partiellement acceptables. Mais vous savez comme moi, heureux lecteurs de ce blog, amis du CNC, que la musique visuelle est à n'en pas douter un Art. 

Un Art qui peine encore auprès de quelques esprits chagrins (stupides béotiens rétrogrades et retors qui fléchiront sous la force du temps) à accéder à ce rang. Vous n'êtes plus à convaincre je l'espère, émus que vous êtes par les merveilles qui s'étalent chaque semaine sous vos yeux ! Le monde le sera bientôt. Tout le monde regarde de la musique visuelle aujourd'hui, l'arrivée d'une vague casual (même si je n'aime pas ce terme) l'a démocratisé pour de bon !

Je disais donc qu'il s'agit d'un média jeune. Il arrive cependant à une certaine maturité, il a beaucoup évolué. Il commence à avoir une histoire, des références, des noms mythiques qui sont toujours signes d'une certaines qualité (on pourrait penser par exemple à la star incontestée Britney Spears, ou à l'étoile montante Rihanna). Noms qui parfois sont utilisés à des fins mercantiles, j'en conviens, mais c'est un problème de société qui n'est pas directement imputable à la musique visuelle. Revenons rapidement sur cette histoire.

Le clip vidéo, cette invention merveilleuse, est né péniblement dans les années 70, et connu un boom majeur dans les années 80 avec un accès tout public et la naissance de deux géants, MTV et MCM. Et de continuer sa route dans ce qui constitue une période que beaucoup regardent avec nostalgie. d'exploser dans les nineties. Avant cela, imaginez vous bien que des personnes se sentaient obligés de faire de la bonne musique pour la vendre ?!! On écoutait de la musique ? Oo

Déjà, au début, on filmait des chanteurs en train... de chanter, et non pas de se trémousser dans des tenues étranges autant que légères. Même que des fois, ils n'avaient pas les dents droites. Concept totalement ringard, vous en conviendrez. (Juste un chanteur hein. Pas Claude François, ce génie, mais un vieux mec moche qui chante quoi. Je précise, ça parait difficilement concevable pour les jeunes !)

Heureusement, il y a eu des précurseurs, qui on permis à cet Art de devenir ce qu'il est aujourd'hui. Et c'est l'un d'eux que nous allons suivre aujourd'hui. Tout le monde le connait, l'a déjà vu, il appartient à la culture populaire et peu tomber à tout moment dans un Trivial Pursuit, il s'agit bien évidemment : de "What a feeling" de la sublime Irene Cara !

 

 Y'a quand même des vidéos finalement rassurez-vous !

La fameuse et talentueuse Geri Hallliwell lui a rendu hommage dans les années 90, renouvelant habilement le genre !

 

De nos jours, parait ce sublime reboot,

qui renouvelle parfaitement sur la forme cette héroïne antique !

 Certains lui reprochent son fond douteux, mais la forme est là !

 

 

Vous avez compris pourquoi la musique visuelle est définitivement :

"La musique qui s'écoute avec les yeux, mais surtout pas avec les oreilles !!"

 

*Si vous souhaitez soutenir l'exemplaire travail que le CNC accompli pour vous chaque jour, vous pouvez vous abonner pour la modique somme de 3 sardines par mois. 

Devenir Premier membre du CNC c'est bénéficier de nombreux avantages, contribuer à son bon fonctionnement et en assurer la pérennité. C'est participer à une étape importante dans la vie du CNC.

Et en échange, j'arrêterais de pourrir vos statuts avec des commentaires débiles !! (peut être)