Je viens de finir une première semaine de jeu sur Pokemon Coeur d'Or, le dernier épisode de la série sorti tout récemment. Comme il n'est pas aisé de parler d'un titre aussi riche et long dans un test, je préfère exceptionnellement écrire un "Journal de bord", qui retrace mon aventure dans Coeur d'Or, en livrant à chaque fois impressions, avis, et autres remarques plus ou moins objectives.

Le grand départ

Comme à chaque début de Pokemon, c'est en se rendant chez le professeur Orme qu'on peut acquérir son premier pokemon. Trois chois possibles. Après avoir mûrement réfléchi, je choisis Héricendre, le petit pokemin feu à la bouille trop sympa. C'est ainsi qu'on peu se lancer sur la première route infestée de pokemon sauvages. Première chose à noter : la variété des bestioles rencontrées dès le début fait plaisir à voir. Hop ! J'attrappe un Roucoul, un Rattata, un Chenipan. Je n'attends rien de ces pokemon qui ne me plaisent pas trop, mais il faut penser à remplir le pokedex dès le début. C'est toujours ça de gagné ! Faire les premiers pas à côté de son pokemon est toujours un moment émouvant. Le fait de le voir gambader derrière nous rend cette complicité encore plus grande. Bref, on est prêt à vivre une grande aventure.

 

Les arênes, les villes, les pokemon sauvages

Je tiens à préciser que j'ai trouvé le déroulement du jeu bien plus fluide que dans Perle-Diamant. Pas besoin de faire beaucoup de level-up pour viancre les dresseurs qui s'oppose à moi, les maîtres d'arènes étant bien souvent d'un niveau inférieur à ma propre équipe de Pokemon. J'ai très rapidement gardé un Wattouat, les pokemon électriques étant assez rares pour être appréciés à leur juste valeur. Je l'ai fait progressivement monté de niveau, jusqu'à avoir sa forme ultime : un Pharamp, à l'attaque spéciale très haute. Je suis vraiment impressionné par ses prouesses martiales ! Grâce au Pokewalker, le podomètre vendu avec le jeu, j'ai réussi à attrapper un Ptitard, qui a ensuite évolué en Tetarte. Il me reste à trouver une pierre eau pour avoir l'évolution finale. Les grottes permettent de récupérer des pokemon roche ou sol, mais je n'ai famais aimé leur design. Les villes sont plus vivantes qu'avant : il y a un casino, un magasin et l'incontournable centre pokemon. Le casino est complètement raté, car le mini jeu proposé est juste mauvais. Plus loin dans le jeu, j'ai pu capturer le maintenant célèbre Léviator Rouge, bien pratique avec ses attaques dragon et glace. J'ai manqué de doigté pour attrapper un Metamorph, assez rare quand même, en le laissant s'enfuir. C'est vraiment dommage, comme la fuite d'un des trois chiens légendaires, croisé par hasard et qui s'est sauvé avant que je puisse faire quoi que ce soit pour le capturer.

 

Le légendaire, et enfin la ligue

Je me suis battu contre la Team Rocket, une fois de plus "de retour pour vous jouer un mauvais tour", jusqu'à sa dissolution. Il faut dire que ses sbires ne sont pas très combattifs, et se font démolir sans trop de soucis. Une fois les 8 premiers badges obtenus, direction la tour Carillon pour capturer Ho-Oh que j'ai réussi à enfermer dans une simple Super Ball. Un gros coup de chance ! Ensuite, je me suis rendu à la ligue Pokemon, ou j'ai été écrabouillé par Peter, le maître de la ligue qui utilise des pokemon dragon niv50 environ. Trop pour moi. Pour passer plus rapidement, j'ai récupéré via l'event organisé par "p-nintendo" un Arceus Michina niv100, avec des attaques fulgurantes. Je me suis promis de ne l'utiliser qu'à la ligue, puis de le laisser de côté pour me concentrer sur mes pokemon chéris élevés depuis le début de mon aventure. J'ai ainsi surclassé facilement les maîtres pokemon et suis rentré dans l'histoire. Un happy end qui n'en est pas un, car il tout nouveau pays avec de nouveau 8 badges à obtenir, et encore des centaines de bestioles à attrapper pour compléter le pokedex national.

 

MON EQUIPE DU MOMENT :

   

 

CONCLUSION

Pokemon est vraiment un jeu de rôle à part : on rentre raiment dans l'aventure, en dépit d'un scénario bateau. Un véritable lien se crée avec nos monstres de poche, et c'est avec entrain qu'on parcourt le monde vaste proposé par le jeu. Mon aventure à Kanto, deuxième environnement du jeu, vous sera racontée plus tard... Il me reste à abroder la question des graphismes, et pleins d'autres trucs !