Comme le dit le professeur dans Piano Forest : Avec Chopin, la puissance est inutile.

Cet homme me fout les boules par sa dextérité. En effet, il ne joue pas dans la catégorie de la puissance et de la Force comme Beethoven, non lui joue dans la catégorie  : Je fais ce que je veux de mes doigts.

Et si certes le milieu du morceau est beaucoup plus calme, le début et la fin me mettent sur le cul à chaque fois. Cette homme utilise sans problème des sextuples croches et il se balade sur le clavier avec une aisance qui me laisse sans voix.

 

La Fantaisie-Impromptu de Frédéric Chopin en do dièse mineur, Opus posthume 66, est une composition pour piano seul et l'une de ses plus célèbres œuvres. Elle fut écrite en 1835 et dédiée à Madame la Baronne d'Esté. C'est le quatrième et dernier des Impromptus du compositeur, bien que chronologiquement il ait été achevé en premier.

C'est seulement l'année 1855, après la mort de Chopin (en 1849), que Julian Fontana publia l'ouvrage, malgré la volonté contraire du compositeur. C'est également à lui que l'on doit l'ajout subjectif de "fantaisie" au nom de la pièce. L'œuvre fut créée à Paris l'année de son édition par Marcelline Czartoryska, brillante pianiste élève de Carl Czerny puis de Chopin

Source Wikipedia.

Et encore une fois, c'est pour une femme qu'un homme a accomplit un miracle auditif. Mais si je vous dis qu'aujourd'hui, un homme a réussi à interpréter cette virtuosité ?

 

 

Ecoutez comme il donne un ton presque comique à son interprétation. Son accélération est magistrale, allant de plus en plus en vite. Il ne garde que la première partie de la fantasie improptu mais il la transpose dans d'autres octaves plus élévées et un rythme qui me laisse sans voix. Et ce crescendo final : Miam !!

 

Je vous laisse savourer et laisser moi votre avis, je suis très curieux.