Petit rappel, les compléments historiques sont en italiques.

 

Deux années passent sans heurts. Les caisses de l'état se remplissent et en 1865 je décide d'apporter un nouveau projet au roi : Nous allons coloniser pacifiquement l'océan pacifique. J'ai envoyé une véritable armée d'architectes qui vont bâtir en deux ans des comptoirs.

Un an plus tard, Bismark et moi avons une entrevue. L'Autriche nous a envoyé un émissaire. Ils veulent garder le leadership sur le monde allemand. Bismark et moi lui faisons comprendre que non. C'est la Prusse qui aura ce rôle. Fou de rage, il nous annonce la guerre. Il s'en va en claquant la porte.

Seulement ce qu'il ne sait pas c'est que depuis un an, nos relations avec la jeune Italie, récemment unifiée sont au beau fixe. Nous envoyons immédiatement notre diplomate. L'Alliance avec l'Italie est signée. L'Autriche va devoir se battre sur deux fronts.

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La guerre austro-prussienne de 1866 opposa l'Empire d'Autriche et ses alliés de la Confédération germanique au Royaume de Prusse (seulement soutenu par quelques principautés mineures ou ses voisins immédiats, mais aussi par la jeune Italie). Prélude à l'Unité allemande, dans le monde germanique, elle est parfois appelée la guerre allemande (Deutscher Krieg), la guerre fratricide allemande (Deutscher Bruderkrieg), la guerre d'Unification (Einigungskrieg), la guerre germano-allemande (Deutsch-deutscher Krieg) ou la guerre de Sept Semaines (Siebenwöchiger Krieg). Elle est liée à la troisième guerre d'Indépendance italienne.

L'Autriche des Habsbourg-Lorraine était historiquement la nation dominante de l'Empire puis de la Confédération germanique, mais à partir du Printemps des Peuples, la puissance montante de la Prusse, militaire et économique, posa le problème de l'hégémonie au sein de la Confédération germanique. La Prusse, militaire, industrielle et protestante, aspirait à diriger une nouvelle Allemagne, unifiée sous son aile et excluant l'Autriche, empire catholique, agraire et multi-ethnique (avec une majorité de peuples non-germaniques). Il s'agissait de la réalisation de la vision d'une Kleindeutschland (petite Allemagne) dominée par la Prusse, par opposition à l'idée de Grossdeutschland, vision traditionnelle d'une Allemagne dominée par l'Autriche depuis le XIVe siècle. Déjà en 1740, 1778 et 1785, Marie-Thérèse puis Joseph II avaient été confrontés aux ambitions du roi Frédéric II de Prusse.

Cette guerre fut le point culminant de la lutte pour la suprématie en Allemagne que se livraient le Royaume de Prusse et l'Empire d'Autriche depuis 1740. La Prusse dispose d'une armée puissante, modernisée, bien équipée et rodée par la guerre des Duchés. Elle met en déroute les alliés de l'Autriche à la bataille de Langensalza (27 et 28 juin 1866), puis défait l'Autriche à la bataille de Sadowa le 3 juillet 1866. Le traité de Prague dissout la Confédération germanique. La Prusse peut alors créer la Confédération de l'Allemagne du Nord et imposer son roi comme président permanent. Prudemment elle n'englobe pas les États du Sud. L'intégration de ces derniers, qui achèvera l'unité allemande, sera atteinte après la guerre franco-prussienne de 1870.

Encore une fois, tout est affaire de rapidité. Mes troupes sont fraîches et mobilisées. Mais moi, j'ai une idée en tête. En plus du leadership sur la confédération, je veux des terres. En effet, l'Autriche possède des terres riches en charbon et en fer. Je demande alors l'avis de Bismark. Il est d'accord d'autant plus que des minorités allemandes peuplent ces régions. Une fois ces régions conquises nous fonçons et occupons la capitale Vienne. En quelques mois nous signons un traité de paix séparée. En effet, l'Italie elle aussi veut des terres. Ils sont à quelques kilomètres de la capitale lorsque nous signons la paix. Ils n'ont plus qu'à faire de même.

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La guerre est finie et en plus nous avons agrandie nos terres. Mais nous sommes endettés. La guerre a dévoré les recettes. Je viens faire la morale à Bismark. La guerre n'est vraiment d'aucune utilité. Elle dévore nos recettes, mécontente la population.

Il le sait mais me fait remarquer qu'il n'est plus très loin de son objectif : Unifier le peuple allemand. Son idée me plait. Et je comprends très vite qu'il faudra une dernière guerre pour unifier tout ce beau monde.

Une bonne nouvelle va dans son sens. Le Zollverein se développe, certains micro états viennent s'unifier à notre pays.La Prusse cesse d'être un Etat bipolaire. Il est enfin unifié. Nous mettons quant même 6 mois à rembourser nos dettes.

Un an plus tard, la Prusse est peuplée de 25 millions d'habitants.

Le Zollverein (Deutscher Zollverein de son nom complet), littéralement « union douanière allemande » est une union douanière et commerciale entre États allemands dont l'acte fondateur est signé le 22 mars 1833 et qui entre en fonction le 1er janvier 1834.

Cette nouvelle union dominée par le Royaume de Prusse vient remplacer les unions douanières Prusse-Hesse, sud-allemande et l'union commerciale de l'Allemagne centrale. Les membres fondateurs sont, outre la Prusse : l'électorat de Hesse-Cassel, le Royaume de Bavière, le Royaume de Wurtemberg, le Royaume de Saxe et l'ensemble des États constituant la Thuringe. Jusqu'en 1836, les États du Grand-duché de Bade, le Duché de Nassau et Francfort-sur-le-Main rejoignent l'union. En 1842, le Luxembourg, le Duché de Brunswick et la Principauté de Lippe la rejoignent à leur tour, suivis en 1854 par le Royaume de Hanovre et le Grand-duché d'Oldenbourg. L'union recouvre donc à la veille de la fondation de la Confédération de l'Allemagne du Nord (1867) un territoire d'environ 425 000 km2.

Les buts du Zollverein sont la création d'un marché intérieur unique et l'harmonisation des règles fiscales et économiques. Au niveau politique, elle place la Prusse au centre de l'échiquier allemand et conduit à l'adoption de la solution petite-allemande lors de l'unification allemande. Après la fondation de l'Empire allemand en 1871, les fonctions de l'union lui sont transférées. Bien que n'appartenant pas au nouvel État, le Luxembourg fait partie de l'espace douanier allemand jusqu'en 1919.

Et en même temps, nous colonisons le Cameroun moyennant 10 000 livres que nous rembourssons en 2 mois. En 1868, Bismark, moi et le nouveau roi depuis 1861, Guillaume, avons une réunion secrète.

Guillaume Frédéric Louis de Hohenzollern, roi de Prusse (1861-1888), puis empereur allemand (1871-1888) sous le nom de Guillaume Ier (en allemand : Wilhelm I. ou Wilhelm Friedrich Ludwig von Preußen), né le 22 mars 1797 et mort le 9 mars 1888 à Berlin, fut le cinquième roi de Prusse de 1861 à 1888, et le premier empereur allemand de 1871 à 1888.

En 1864, Bismarck entraîne l'Autriche dans une guerre victorieuse contre le Danemark (guerre des duchés) et donne à la Prusse les duchés de Holstein et de Lauenbourg.

Deux ans plus tard, Bismarck tend un piège à l'empereur d'Autriche François-Joseph en poussant celui-ci à déclarer la guerre à Guillaume Ier : le roi de Prusse est maître de la Confédération allemande après la victoire de Sadowa sur les Autrichiens le 3 juillet 1866. Lors des pourparlers de paix, si Bismarck, préparant l'avenir et contre les désirs de son souverain, ménage l'Autriche, il annexe au profit de la Prusse le Duché de Schleswig, le Royaume de Hanovre, l'Électorat de Hesse-Cassel, le Duché de Nassau et la ville libre de Francfort. Le Grand-duché de Hesse-Darmstadt ne doit sa survie qu'au fait que son souverain est le beau-frère du tsar Alexandre II.

La Prusse est désormais un état unifié qui s'étend de la Moselle à la Mer Baltique sur la quasi-totalité du nord de la Confédération germanique laquelle est dissoute au profit d 'une Confédération de l'Allemagne du Nord créée pour l'occasion sous la présidence de la Prusse. Des traités d'assistance et de défense mutuelles secrets sont imposés aux souverains des États d'Allemagne du sud, Grand-duché de Hesse-Darmstadt, Grand-duché de Bade, Royaume de Wurtemberg et Royaume de Bavière. L'Autriche est exclue du système allemand.

En 1870, c'est l'empereur des Français qui tombe dans le piège Bismarckien. La Dépêche d'Ems est le prétexte qui pousse Napoléon III à déclarer la guerre à la Prusse. Celle-ci en appelle à ses "alliés" du sud de l'Allemagne, Bade, Wurtemberg et Bavière tandis que la France est isolée. La défaite de la France est totale. Le pays est amputé de l'Alsace-Lorraine. Occupé, il doit payer une énorme indemnité.

Le 18 janvier 1871 (Anton von Werner) : Guillaume Ier est entouré de son fils à sa droite et de son gendre le grand-duc de Bade à sa gauche; au pied du trône, en uniforme blanc, se distingue le chancelier von Bismarck. Le 18 janvier 1871, Guillaume Ier est proclamé empereur dans le cadre prestigieux de la galerie des Glaces du château de Versailles.

Le titre Deutscher Kaiser, « Empereur allemand », a été méticuleusement choisi entre Bismarck et lui.

« Empereur d'Allemagne » eût été malvenu aux yeux des autres monarques fédérés.

La formulation « empereur des Allemands » a été rejetée par Guillaume Ier car elle fait écho à la Révolution de 1848 et que le nouvel empereur ne désire pas ce titre aux relents démocratiques puisqu'il se considère souverain « par la grâce de Dieu ».

En effet, Guillaume Ier n'accepte ce titre qu'avec réticence, la direction d'une Allemagne unie allant à l'encontre de son conservatisme, l'unité de la nation faisant figure d'idéal libéral et progressiste. Bismarck saura habilement surmonter cette objection en faisant adresser à Guillaume une demande officielle des princes et rois du nouveau Reich d'accepter ce titre. Pour l'anecdote, c'est le romantique roi Louis II de Bavière qui lui remettra la demande, rédigée par Bismarck, en échange d'une rétribution secrète de 100 000 thalers annuels.

La réticence de Guillaume s'explique aussi par sa crainte d'apparaître comme le « liquidateur » d'une Prusse absorbée voire dissoute dans le Reich (La Constitution du Reich instituant pourtant un système fédéral ou l'identité des États est préservée). Il attachera toujours autant d'importance à son titre de roi de Prusse qu'à celui d'Empereur. Là aussi, Bismarck saura lever cette hypothèque en réservant à la Prusse un statut dominant dans le système fédéral.

Guillaume Ier devient donc le chef, primus inter pares, d'un Reich allemand qui s'étend de la Lorraine à la Lituanie et fédère les royaumes de Bavière, de Wurtemberg et de Saxe, les grand-duchés de Bade et de Hesse sans oublier les villes libres de Hambourg, Lübeck et Brême et la Terre d'Empire d'Alsace-Lorraine.

Guillaume Ier s'éteint dans sa 91e année en mars 1888. Son fils lui succède sous le nom de Frédéric III. Atteint d'une maladie incurable, il meurt trois mois plus tard au grand dam des libéraux du monde entier.

Le troisième empereur allemand de la Maison de Hohenzollern, fils aîné de Frédéric III parvient au trône à l'âge de 29 ans sous le nom de Guillaume II. Désirant gouverner seul, il renvoie le vieux prince de Bismarck.

Le roi écoute attentivement. Une campagne a commencé. Une guerre va éclater en la France et la Prusse sous peu. C'est notre préssentiment. Aussi avec l'accord du roi, nous préparons le pays à une économie de guerre. Deux ans plus tard, c'est la guerre. Voyons comment elle a commencée.

Comme lors de nombreux conflits, les causes de la guerre franco-prussienne de 1870 sont nombreuses et complexes. Les principales discordes relatives à ce conflit apparaissent avec le projet d'unification allemande (qui prend elle-même notamment racine dans la fin du Saint-Empire romain germanique et après les Guerres napoléoniennes). En effet, après avoir réussi à unifier les états germaniques du Nord en créant la Confédération de l'Allemagne du Nord en 1867, le ministre président de Prusse, Otto von Bismarck, souhaite annexer les états germaniques du sud (plus ou moins la Bavière, le Bade-Wurtemberg, etc. de l'actuelle Allemagne) pour créer ce qui deviendra l'Empire allemand. Cet empire serait alors une puissance économique et militaire considérable et changerait l'équilibre des puissances de l'Europe de l'époque, dominée par l'Angleterre, la France et la Russie.
L'élément déclencheur: la candidature d'un prince prussien au trône d'Espagne

21 juin 1870, Léopold de Hohenzollern-Sigmaringen, un prince prussien, est candidat au trône d'Espagne (vacant depuis la révolution de septembre 1868). Dans le contexte, cette candidature ne faisait pas du tout les affaires de la France qui craint de se faire « encercler » d'ouest en est par une possible coalition germanique. en effet à l'est se trouverait le futur nouvel Empire allemand et à l'ouest une Espagne dirigée par un prince prussien (donc allemand).

Cette candidature est bien souvent décrite comme l'élément déclencheur de la guerre. En effet, le 6 juillet, le duc de Gramont, ministre des Affaires étrangères de Napoléon III, annonce que la France s'oppose à cette candidature. Le 12 juillet, Léopold de Hohenzollern-Sigmaringen la retire, selon la déclaration de son père le Prince Antoine afin d'apaiser les tensions diplomatiques. Le 13 juillet, alors que la France demande de garantir le retrait de la candidature de Léopold, ce par l'intermédiaire de l'ambassadeur de France Benedetti envoyé auprès de lui dans la ville d'Ems, le roi Guillaume de Prusse, agacé, fait confirmer la renonciation du prince, en ajoutant qu'il « n'a plus rien d'autre à dire à l'ambassadeur ». Cependant, alors même que Léopold a bien retiré son intention de devenir roi d'Espagne, le télégramme de Guillaume de Prusse (la dépêche d'Ems) relatant son entretien avec l'ambassadeur de France est réécrit par le Chancelier de Prusse Otto von Bismarck de sorte à laisser croire à un congédiement humiliant de l'ambassadeur, réécriture qui vise à provoquer l'indignation des Français. Le chancelier cherche en effet à ce que la France déclare la guerre à la Prusse afin de la faire passer pour l'agresseur et l'ennemi de l'unité allemande, et pouvoir rassembler dans une guerre victorieuse contre la France les différents états germaniques du sud et du nord pour en arriver finalement à cette unification.

Or, après le succès en 1866 de la bataille de Sadowa lors de la guerre austro-prussienne et la rebuffade de la crise luxembourgeoise (1867), plus qu'une nouvelle guerre victorieuse, embarrasser la diplomatie française apparaît à Bismarck comme le moyen le plus efficace d'atteindre son but. Même s'il ne cherche pas forcément la guerre, le chancelier est bien informé des réalités de l'armée française : vieillissante, fort peu préparée à une guerre européenne, démoralisée par le désastre de l'expédition au Mexique (soldats mal équipés, mauvais positionnement des dispositifs, absence de chefs de valeur). Il sait, en conséquence, qu'une guerre serait courte et largement en sa faveur, servant les objectifs allemands de la Prusse.

Les français se voient déjà vainqueurs.On entend certains touristes à Berlin que le scénario à la Napoléon va recommencer. Malgré mon origine française, cette arrogance m'énerve. Nous allons utiliser les mêmes armes que Napoléon en son temps. Une armée à la pointe de la technologie et surtout,la vitesse. Cet événement a motivé la jeunesse.Des milliers de jeunes foncent dans les casernes. Je les mobilise en plus de notre armée. Nous avons 400 000 hommes près à se battre. Seulement un événement inattendue se produit: Le Danemark, entre en guerre au coté de la France, comme l'Italie. Je mobilise mes jeunes et je les envoie mes 100 000 gugus occuper la capitale. En une semaine, c'est fait et nous annexons définitivement le Danemark.

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En France, 300 000 hommes sont massés à Sarrebrück et au Luxembourg. Les Français qui était bien installés décident de m'attaquer. Ils sont fous.Mes 300 000 hommes les balayent et capturent l'Empereur Napoléon III à la bataille de Sedan. La route est libre et en 1 mois, la Prusse occupe Paris. Le Second Empire s'écroule et la IIIe Répuplique est proclamée en France et en Allemagne c'est la VICTOIRE ! L'Allemagne est née le 4 Octobre 1870 dans ce monde.

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Mais la guerre est horrible sur le plan économique. Une population heureuse mais qui en a assez des guerres à répétition. Cela se révolte dans le pays. Et j'ai un gouffre de 70 000 de dettes. Ce sera la dernière guerre, je le fais jurer à Bismark. Nous avons d'autres moyens de dominer l'Europe. Et nous allons le faire avec notre système et notre économie. Avec cette union, l'Allemagne est peuplée de 50 Millions d'habitants. Mais tout ces pays n'ont pas eu le temps de s'industrialiser. Pas de chemin de fer, alors qu'en France,il est développé. Tout est à faire.

En 6 mois, grâce à nos efforts et au détriment de l'Education, nos dettes sont effacées. Mais le peuple gronde. Et depuis quelques temps j'ai des visions. Celle d'une grande guerre qui détruira l'Allemagne. Oh elle est loin, 1914....ce chiffre me reste en tête. Je décide de croire à ces visions. Cette guerre ne se fera pas. Pendant des semaines je prépare mon plan. Chaque nuit, ces visions m'aident à comprendre les engrenages qui ont conduit à la guerre. Je sais ce qu'il faut faire.

En 1872, malgré les réticences du nouvel empereur très conservateur, j'impose le suffrage universel. Le peuple n'y croit pas au début. Mais je tiens mes promesses. Tous peuvent voter. Cela nous a demandé 55 000 livres pour mettre cette réforme en place. J'ajoute à cela le droit aux syndicats, sauf socialiste dans toute l'Allemagne. Le peuple me remercie et les premières élections sont un triomphe. Le peuple a voté et commence à moins revendiquer. Bismark et l'Empereur sont étonnés et me donnent carte blanche car....l'Allemagne avec tout cela est la première puissance

 

Comme vous l'aurez compris, tout est affaire de rapidité. Je calque ma tactique sur les faits historiques. La France était isolée et sans alliée. Moi j'avais tous les pays de la confédération germanique et l'Italie. Mes forces étaient très importantes et j'ai donc foncé sur Paris. La Blitzkrieg est la tactique du 19e siècle pour moi. A présent que l'Allemagne est née, il me reste une dernière tâche, éviter la première guerre mondiale.