Certains d'entre vous ont peut-être connu les premières générations de console. Et en dehors du fait que les graphismes nous paraissent aujourd'hui dépassés, ces jeux étaient marqués par une difficulté particulièrement prononcée.

Cela a un peu disparu de nos jours, mais revient petit à petit par la voie des jeux indépendants, qui s'imposent de plus en plus au grand public. Toutefois, de nombreux exemples ont maintenu cette difficulté hors du commun durant les dernières années. Et c'était le cas de Ikaruga, sorti en 2002.


Ikaruga, shoot'em up privilégiant la difficulté et le skill

Shoot'em up de Treasure, développeur particulièrement pour ses produits assez hardcore, Ikaruga proposait un système de choix de couleur entre le noir et le blanc, le but étant de s'aligner sur la couleur des projectiles projetés par vos adversaires. Vous aurez compris, rien qu'à la lecture de mon énoncé, que le jeu s'avérait plutôt complexe.

Et bien, il existe des gens dotés de 16 mains, 12 lobs frontaux, je ne sais pas quoi encore, qui arrivent à terminer le jeu sans jamais perdre une vie. Il suffit d'imaginer l'ampleur de l'exploit pour retourner sur le premier Mario Bros. et se dire qu'en fait, il est plutôt simple.

Comme je le dis souvent, il faut le voir pour le croire, et je mets sur le post la vidéo du premier niveau de Ikaruga, où le joueur connaît visiblement toutes les situations possibles et existantes.

Sur ce, See You Next Time I Hope...