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Ca faisait un petit moment que je n'avais pas enrichi la rubrique et vous pouvez donc imaginer que j'ai matière à parler même si ces 60 derniers jours n'étaient pas spécialement intenses, "vidéoludiquement" parlant.

Voilà pourquoi je me suis dit que découper le sujet en deux parties ne serait pas un luxe, vous allez vite comprendre pourquoi.

Et tout d'abord, je vais m'attaquer aux différents titres téléchargés sur Steam ou sur le PSN auxquels j'ai joué ces derniers temps et qui, je dois l'avouer, occupent peut-être encore mieux mon temps libre que les "gros jeux" payés au prix fort.

 

On ne va pas y aller par quatre chemins bien que l'on puisse justement jouer à 4 grâce à ce jeu, Castle Crashers est une référence du jeu multi en local ou en ligne. Autant le jeu seul est sympa sans être extraordinaire, le genre du beat'em up ne se prêtant pas vraiment à une longue expérience solo, autant avec un pote voire trois, le fun est au rendez-vous.

Entre coopération et coups bas - et oui, il faut bien s'enrichir, gagner le plus d'expérience et d'argent possible -, Castle Crashers a le mérite de divertir très simplement mais très efficacement  les joueurs de toute origine.

Que ceux qui ont une PS3 et une connexion Internet se ruent dessus. S'ils veulent s'amuser tout de suite pour pas cher, la création de The Behemot est une merveille du genre.

 

Deathspank est une expérience un peu particulière. Hack'n slash tout ce qu'il y a de plus classique, le jeu ne brille cependant pas par son originalité bien qu'il soit assez agréable à jouer, ni par son ergonomie, les différents menus du jeu étant horriblement mal organisés, ce qui ralentit considérablement le rythme de l'aventure.

Sans oublier que le jeu est intégralement en anglais. Supporters de la langue de Molière s'abstenir.

Mais un charme indéniable se dégage de Deathspank. Le héros est un valeureux chevalier prétentieux possesseur d'un string de puissance lui conférant des pouvoirs uniques, le monde pullule de poules tueuses particulièrement peu dangereuses, l'humour omniprésent oblige le joueur à esquisser un sourire et à lâcher un rire, preuve que l'univers de l'oeuvre est unique et bien fendard.

Je ne le recommande donc pas à tout le monde, surtout qu'il coûte une quinzaine d'euros, mais si vous maîtrisez bien l'anglais et aimez les diablo-like, le tout saupoudré d'une dose de comique savoureuse, tentez votre chance.

 

Ah, Lara...Elle m'aura toujours pris la tête dans ses aventures sur Playstation où elle butait bêtement au moindre contact avec une corniche ou avec ses combinaisons de touche anti-ergonomiques qui rendaient complexes des actions pourtant simplissimes.

Mais là, je suis ravi ! La série, si elle reprenait du poil de la bête depuis quelques temps, ne m'a jamais vraiment passionnée, en revanche, j'ai dévoré ce titre téléchargeable qui pour moi est peut-être la très bonne surprise de ces derniers jours.

Jeu d'action / plate-forme / réflexion, le tout très bien mélangé, avec une maniabilité bien pensée quoiqu'un peu déstabilisante au début, mais rien de rédhibitoire. En tout cas, on prend du plaisir manette en main, le jeu se veut très dynamique et avec peu de temps morts sans être assorti d'une difficulté décourageante. Et s'il y a des acharnés parmi vous, la quête au score est de mise avec des objectifs secondaires pas toujours aisés à accomplir.

J'oublie le très bon multi en coopération à deux joueurs qui va réclamer de votre part un peu de réflexion pour surmonter des énigmes qui nécessitent les qualités propres des deux personnages de l'aventure.

Un vrai régal que je recommande à tout ceux qui souhaitent avoir un jeu complet, accessible et défoulant.

 

Bon, là, on s'attaque à un très gros. Et même si Meat Boy ne pèse vraisemblablement pas une livre, il fait preuve de qualités athlétiques hors du commun pour une simple pièce de bavette.

Voilà aujourd'hui la référence du jeu de plate-forme 2d. Je n'évoque pas le genre dans sa globalité vu que je suis un grand fanatique de Mario et notamment de Super Mario Galaxy 2, mais je dois avouer que dans son genre Super Meat Boy est inimitable. Précis et bien difficile, il comble les attentes de vieux joueurs blasés par le manque de challenge que peuvent proposer les jeux de la dernière décennie dans leu grande majorité.

Si vous voulez en savoir plus, je vous incite à vous référer à ce petit test que j'ai rédigé de mes propres mains "à moi qui m'appartiennent" et de faire l'acquisition de cette merveille du genre si vous faîtes partie de cette ancienne génération d'acharnés.

Si vous êtes un petit nouveau, accrochez-vous car Super Meat Boy propose une sacrée expérience, aujourd'hui pas si commune, mais pas facile d'accès.

 

Tout ceci n'est pas terminé car je vous promet dès demain au plus tard de mettre en ligne mes impressions rapides sur deux "gros" jeux qui occupent une partie de mes soirées. En vous en souhaitant une bonne d'ailleurs.

 

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