Trêve de plaisanterie. Vou pouvez retrouver la première partie du Top 20 ici mais voici enfin les derniers, les champions, les dieux parmi les dieux. La liste des dix jeux qui me sont les plus chers sur cette génération de console.

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Plus que pour le temps que j'y ai consacré (plutôt imposant) ou même le plaisir que j'ai pris à y jouer (immense) je voulais mettre Minecraft dans le Top 10 des jeux sorties sur cette période de fin 2005 à fin 2013. Il représente les indépendants qui réussissent en terme créatif et financier. Innovant, nouveau, addictif. Minecraft est l'inclassable jeu qui n'a jamais été fait auparavant. Et ça faisait longtemps que ça n'était pas arrivé avec des interfaces classiques. Que vous aimiez ou non y jouer, il mérite le buzz immense qu'il suscite.

 

Si vous preniez le temps de demander à mon très cher Akiru si j'étais totalement emballé par Bayonetta et qu'il était honnête (ce qu'il n'est pas bien évidemment) il vous dirait qu'au début, la seule chose qui me donnait envie c'était le nom d'Hideki Kamiya, l'homme qui avait commis le splendide Resident Evil 2 et qui avait inventé le BTA de poseur avec Devil My Cry. Bayonetta, je ne l'aime pas en terme de design. Je n'étais pas fan du délire global du titre. Puis j'y ai joué. Et là, tout a changé.

Moi qui n'avait jamais pris le temps de me concentrer sur un système de jeu de combat ou de BTA de ma vie, je me suis mis à analyser sans relâche l'ensemble des combos du jeu. Ce n'était pas une mince affaire puisque à chaque arme, la liste des coups s'étendait. Alors j'ai recommencé le jeu deux, trois, quatre, cinq fois pour bien maîtriser les bases. J'ai débloqué le chapitre supplémentaire Tueur d'Anges consistant en une épreuve d'endurance féroce. J'ai joué dans ce mode pendant des heures et des heures. Rapidement j'ai dépassé les 99h59min59sec du compteur de ma sauvegarde. Au-delà, ce dernier arrête de compter. Alors voilà ce que c'est Bayonetta. Un jeu tellement grandiloquent, fou, généreux, précis, débordant d'idées et de passion qu'il emporte tout sur son passage, au point d'amener un mec qui n'en rien à foutre des BTAs à le mettre dans son Top 10 des jeux les plus marquants de cette génération. « You wanna touch me ? » Yes I do !

 

Ubisoft...Ubisoft, c'est mon ex. C'est la femme dont j'ai cru qu'elle serait celle de ma vie. Celle qui comblait tous mes désirs et dont je ne pouvais parler que de manière élogieuse. Maintenant qu'on a rompu à cause d'une engueulade sur Assassin's Creed III, j'ai cette rancœur qui veut que j'oublie tout ce qu'on a vécu ensemble. Mais ça serait injuste. Certes, aujourd'hui je suis l'un des plus fervents détracteurs de la boîte de Guillemot. Cependant, vous le verrez ici et un tout petit peu plus loin dans le top, je ne suis pas amnésique ou ingrat. Ubisoft m'a fait rêver et dans un coin de ma tête je garde l'espoir qu'il y parviendra encore. Alors non, je ne ferais pas la bêtise d'exclure Assassin's Creed II des jeux que j'ai préféré sur cette génération de console.

ACII, ça a été un choc magistral. Contrairement à beaucoup, j'ai vraiment adoré le premier Assassin's Creed. Il avait des défauts de game-design majeurs, dont certains qui n'ont jamais réussis à disparaître en particulier au niveau des combats. Le second a pris ce qui m'empêchait d'en faire un titre réellement culte et l'a amélioré très largement. Résultat, que du bonheur. Ambiance Renaissance saisissante (les couleurs de ce volet sont sublimes) avec évidemment l'historicité qui va avec. La jouabilité gardait quelques imprécisions mais rien d'alarmant dans la mesure où l'on demandait rarement au joueur d'être diaboliquement précis. Le plus intéressant, c'est finalement qu'Ubisoft ait assumé le côté GTA-like en proposant plus de petites mécaniques à utiliser comme la reconstruction d'une ville familiale ou les assassinats complémentaires annexes. Si aujourd'hui, j'ai du mal à même envisager un jour d'apprécier de nouveau la série, je ne peux pas, par honnêteté, omettre Assassin's Creed II de cette liste. Parce que même si on a rompu, elle était belle mon ex et c'est image là que je veux en garder.

 

J'ai réfléchi assez longuement à la place que je devais donner à L.A Noire. Parce que ça n'est pas un jeu que j'ai autant apprécié sans aucun ressenti négatif comme ça peut-être le cas sur les autres titres du Top 10. Les autres ne sont pas parfaits non plus, mais j'ai souvent eu un sentiment clair et net d'amour sans faille. Il y a une part de déception dans mon ressenti sur L.A Noire. Mais putain ce que c'était génialissime. L.A Noire, c'est une réponse à une envie précise : être un enquêteur virtuel. Les deux premiers True Crime avaient fait une bonne partie du travail et malgré les bugs et approximations de jouabilité, j'en garderais toujours un excellent souvenir. L.A Noire a enlevé l'action et à poussé le reste ; l'écriture des affaires, les mécaniques d'interrogatoires, d'enquêtes. L.A Noire c'est un peu un super point&clic avec des moyens de blockbuster.

Avec son casting parfait, une technologie visuelle bluffante, des super bonnes idées en pagaille, un sens de la reconstitution historique implacable, une écriture sans faille, une bande-son splendide et la possibilité de mettre le jeu en Noir et Blanc, L.A Noire m'a fait triper. Pendant 25-30 heures, j'étais Cole Phelps, j'étais enquêteur, minutieux, à fond dans mon travail, ma carrière et parfois tétanisé par la pression de devoir mettre quelqu'un en taule sans être sûr à cent pour cent qu'il était responsable. Un sentiment juste incroyable. Parce que si je suis le premier à dire qu'au début les interrogatoires sont frustrants quand on ne comprend pas la mécanique, qu'il n'y a pas grand chose à faire dans cette ville, que l'action est étrangement ratée dans le jeu, ou encore que les mini-cutscenes assez régulière cassent parfois un peu le délire, il reste qu'il y a très peu de jeu de cette ampleur qui ont autant de couilles et de qualités d'exécution avec à la clé ce sentiment inédit pour ma part : le doute. Le doute d'avoir fait le bon choix. L.A Noire est imparfait, mais c'est une des plus belles nouvelles IPs de cette génération à mes yeux. J'en veux un autre...s'il-vous-plaît...snif.

 

Je suis fan d'infiltration, ça vous le savez sans doute si vous venez régulièrement dans mon antre. Je suis également fan de Splinter Cell, une des rares séries où j'excelle dans l'accomplissement des mécaniques de jeu. Au début, j'étais le premier déçu de Double Agent. Je trouvais l'idée de missions de jour un peu idiot. J'avais l'impression d'un jeu moins précis. Et puis j'y ai vraiment joué. Je me suis mis dedans et là j'ai fini par y voir mon épisode préféré de la saga. Pourquoi ? Parce que c'est le plus immersif.

La particularité de cet opus, c'est de proposer une continuité réelle de mission en mission avec un retour constant entre chaque déplacement dans la base où Sam est sous couverture. Ces missions au QG de JBA (John's Brown Army, un groupe terroriste) donne une dimension nouvelle à l'infiltration et propose également d'avoir plus de rapport avec les personnages du jeu, ce que jusqu'à présent Splinter Cell avait été bien en peine de nous offrir, engoncé qu'il était dans les récits géopolitiques alambiqués à l'extrême. Double Agent est plus viscéral que les autres épisodes tout en gardant ce gameplay souple et exigent auquel la série nous avait habitué. Et puis pour sa sortie, c'était aussi un sacré beau bébé, chose qui finalement n'a plus été le cas avec ses deux suites, correctes visuellement, mais cassant la tradition des Splinter Cell et de leur prouesses technologiques. Un grand jeu d'infiltration et un mon épisode préféré d'une de mes séries de cœur.

 

Mon bon dovahkiin, tu as eu une gloire à la hauteur du mérite de la saga TES, mais pour le coup, je préfère ton grand frère à toi. Oblivion, ça a été ma première tarte de monde ouvert de la génération HD et à l'heure actuelle, c'est également le jeu auquel j'ai le plus joué de ma vie ; si mes estimations ne sont pas erronées (et je ne pense pas qu'elles le soient) j'ai joué à Oblivion plus de 600 heures ; cinq personnages créés et plus de 120 heures par personnage. Le tout sur Xbox360...une honte pour le PCiste de base fan de Morrowind.

Oblivion, j'y ai trouvé un univers chaleureux, vaste, immense même, blindé ras la gueule de contenu. Des quêtes et mystères en pagailles (comment suis-je devenu un vampire la première fois?), des livres assez bien écrits que l'on peut se farcir pour en apprendre plus sur l'univers ou pour découvrir des secrets de fabrication de potions, de sorts ou d'enchantement d'arme, un bestiaire large et varié, au moins visuellement et pour l'époque, une véritable baffe technique en plus d'esthétique. Au global, je sais ce qu'on reproche à Oblivion et je le conçois parfaitement : trop facilement berné, pas forcément drôle à explorer en terme de combat (encore qu'envoyer une boule de feu de son bâton de mage dans la mouille d'un voleur, c'est quand même le fun) et peut être un peu générique en terme artistique. Que voulez-vous, je ne l'ai vu qu'avec les yeux de l'amour. Je ne regrette aucunes des heures que j'y ai passé. J'ai appris à connaître un des univers les mieux développés que j'ai pu voir simplement en explorant, en discutant avec des PNJs, en choisissant diverses races et en fouinant dans les bibliothèques. La bande-son est tellement fabuleuse qu'en 600 heures, je n'ai jamais éprouvé le besoin de la couper. J'y ai passé tellement de temps qu'il ne me servirait à rien d'essayer d'y retourner. Pourtant Cyrodiil me manque. Oblivion, c'est mon précieux.

 

Perfection. Blood Money, c'est une formule qui atteint sa perfection. Un type d'infiltration particulier usant plus du déguisement et de la ruse que de l'ombre ou du silence du déplacement, tout le sel de Hitman, c'est d'être vu et su, mais jamais connu. Blood Money, c'est le génie absolu de level-design. Des missions tellement inventives et bien conçues que personne ne fait exactement la même chose pour arriver au même résultat sans pour autant qu'une méthode soit clairement meilleure qu'une autre.

Pourtant, mon histoire avec le jeu, c'est quand même celle de mon premier Red Ring of Death. Durant la dernière mission, j'entre dans le bureau ovale et là, freeze. La console ne se rallumera plus jamais, seulement six mois après son achat. Quand cette dernière est revenue du SAV allemand, j'ai donc fait sa fête à Code 47. Je ne pense pas qu'il y ait un jeu que j'ai un jour maîtrisé comme j'ai maîtrisé Hitman : Blood Money. C'est un chef-d'œuvre, de bout en bout, tout simplement. L'un de ces très rares jeux qui poussent leurs mécaniques jusqu'à un degré d'excellence qu'on n'imaginait pas possible en jouant aux autres épisodes. La perfection.

 

And I know, the only compass that I need...is the one, that leads back to you. Même s'il n'est pas premier, et qu'il a quelques titres devant lui dans mon cœur, Red Dead Redemption reste comme ma marque au fer rouge la plus intense en terme d'attentes et le tout sans déception à l'arrivée. C'est le seul jeu qui, de ma vie, m'ait atteint physiquement. En gros voilà ce qui s'est passé : j'ai commencé à suivre le titre dès son annonce, parce que j'avais été très friand de Red Dead Revolver, ancien titre Capcom, racheté par Rockstar à 75% de son développement et fini pour sortir sous la forme d'un très chouette jeu d'action à scoring avec un univers de western. Ce qu'il faut voir, c'est qu'à l'époque du premier déjà, on lisait dans les magazines que l'ambition était d'en faire un GTA-like au far-west, ce qui s'était soldé par une pauvre ville miniature et un jeu structuré en missions linéaire classiques avec une ou deux séquences à cheval. Alors quand j'ai vu les premières images du jeu, puis la première vidéo, j'ai eu de nouveau ce bouillonnement d'envie qui n'existe chez moi que pour GTA normalement.

J'ai attendu, j'ai pris mon mal en patience. J'ai ragé après le premier report d'Octobre 2009 à Avril 2010. J'ai pleuré quand, en Mars 2010, le jeu a été repoussé de fin Avril à fin Mai. Un mois supplémentaire de calvaire. C'est là que j'ai commencé à faire n'importe quoi ; regarder les screenshots comparés au bout de map que l'on avait du titre pour essayer de constituer l'air de jeu dans ma tête, me repasser en boucle toutes les vidéos intitulées Série de Gameplay avec cette voix de présentateur de téléachat, si débile et en même temps si hypnotisante. J'étais tellement obsédé par le jeu que j'ai commencé à en parler tout le temps et à écrire des billets sur mon blog comme celui ci qui n'avaient d'autre but que de calmer ma frustration. À une semaine de la sortie, j'avais Alan Wake que j'ai défoncé en deux jours et j'étais en telle psychose autour du jeu que j'ai réussi à m'en rendre malade physiquement ; insomnie, mal de crâne, courbatures en plein mois de Mai ensoleillé...un calvaire.

Quand j'ai mis ce disque dans ma console, j'ai eu l'impression d'accéder au Saint-Graal. J'y ai joué treize heures par jour pendant trois jours et me rendant bien compte que j'allais me faire du mal, j'ai ralenti drastiquement la dose pour le faire durer. J'ai expérimenté le multijoueur avec une joie immense. Et même si aujourd'hui, certains aspects peuvent me paraître un tout petit peu plus gênant quand j'y rejoue qu'ils ne l'avaient été la première fois (la partie avec Dickens ou la fin du Mexique) il reste un monument d'immersion, de beauté, d'évasion. Bien fini, jouable, musicalement superbe, esthétiquement irréprochable, c'est l'un de ses jeux où l'on se satisfait d'avoir passé une heure à jouer au poker virtuellement ou à avoir cueilli des fleurs. Il est de ces titres qui dépassent le statut de jeu vidéo pour ma part et sont en fait une de mes vies supplémentaires. Et Bonnie, bordel de merde !!! Aaaaargh ! Ce jeu me rend dingue...

 

Il n'y a pas d'épisode 2 et il n'y a pas d'épisode 3. Je ne nie pas, la qualité (relative) de ces deux suites. Cependant, Mass Effect, c'est un stand-alone. C'est un jeu unique, représentant d'une race disparue de titres choisissant de traiter une vraie part du spectre de ce que leur thème représente. La seule chose qui manque à Mass Effect pour être plus un jeu qui se passe dans l'Espace, c'est de pouvoir évoluer en orbite. Tout le reste est là. C'est 2007, c'est l'Odyssée de l'espèce humaine. Je ne reviendrais pas sur l'univers du jeu qui choisit une certaine forme de crédibilité, pour éviter le terme ''réalisme''. On sait tous qu'il est fantastique et que c'est un coup de maître. Je ne reviendrais pas sur les combats, un peu mous mais tactiques ou les dialogues à choix multiples. Par contre, je vais vous parler du Normandy SR1 et je vais vous parler du Mako ; parce que tout est là.

Le point commun entre les jeux que j'ai dans la peau, qu'ils aient déjà été cités comme Oblivion, Fallout 3, Red Dead Redemption ou qu'ils soient sortis avant comme Shenmue, c'est qu'ils ne sont pas juste des jeux mais qu'ils sont des vies parallèles comme je le disais sur RDR. Des simulations de tout ce que je ne serais et ne verrais jamais. C'est pour ça que, contrairement à ce que tous les détracteurs du titre peuvent en dire, le Normandy SR1 tel qu'il est dans Mass Effect (à savoir sans écran de chargement mais avec des ascenseurs) et le Mako M35 sont cruciaux dans mon rapport au jeu. Ils me donnent la sensation de quotidien continu, de simulation d'une vie dans l'Espace telle que je la conçois ; le vide intersidéral autour de mon vaisseau et des planètes immenses et écrasantes de stérilité.

Ce que vous reprochez à l'exploration de Mass Effect, c'est ce qui fait que moi je l'aime. Vous trouvez qu'il n'y a rien à faire sur les planètes, que les zones sont larges pour rien, qu'il n'y a aucune vie ? Précisément. Visiter l'Espace, de ce que l'on en a vu à notre échelle microscopique, ça ne se soldera que rarement par une planète habitée et vivante comme la Terre. La plupart du temps, les paysages seront tranchés, arides, vides et muets. Et c'est juste beau. Une couleur de roche, de sable, et un ciel étoilé. C'est pour ça que Mass Effect, malgré ses tares techniques, ses mécaniques qui seront soit coupées soit améliorées dans les épisodes suivants, reste un stand-alone et une pierre angulaire dans ma vie de joueur. C'est un des moments où je ne me suis rien dit parce que j'étais simplement ailleurs.

 

Dans la continuité de Mass Effect, Grand Theft Auto IV, c'est le même sentiment mais puissance mille. GTAIV, c'est le jeu de ma vie. Ça ne l'a pas été immédiatement. Même si j'ai énormément aimé le jeu à sa sortie, j'avais comme beaucoup de joueur ont toujours, une légère amertume de n'avoir pas eu le « plus plus plus » que j'attendais après le séisme de San Andreas (see what I did there?). En fait, j'ai du rejouer au jeu pour me rendre compte que le « plus plus plus » était là mais pas où je le cherchais. Ceci dit, j'ai déjà largement rendu hommage au titre dans un article de mon dossier sur la saga Grand Theft Auto que je vous enjoins à découvrir ou redécouvrir ici même. Je vais donc faire ''court''.

GTAIV est beau, grand, blindé d'idée de game-design et surtout d'invention de narration qui confinent au génie. Le téléphone portable et les relations avec les amis, Internet et sa source de distractions et de rencontres, la télévision et cette mise en abyme étrange ; tout est fait pour que le jeu soit immersif à l'extrême. GTAIV est un jeu intimiste, contrairement à la croyance populaire. Pas seulement parce que l'histoire se focalise sur les démons d'un personnage accompagné de son cousin, mais parce que si vous y mettez du votre, les personnages qui comptent pour le héros sont ceux qui comptent pour vous...ils sont tous à portée de téléphone. GTAIV, c'est donc le jeu de cette génération. Qu'on ne reconnaisse pas les révolutions qu'il a opéré et que l'on croit encore qu'il s'agit simplement d'un bac-à-sable où l'on tue des prostituées et des policiers, ça me dépasse quelque peu. Qu'on ne l'apprécie pas, ça je l'entends. Toujours est-il que pour moi, c'est ça un jeu vidéo. C'est ça LE jeu vidéo. Le seul qui pourra le détrôner ou plutôt se placer à ses côtés, j'en ai bien peur, sera un autre Grand Theft Auto misant sur les mêmes atouts d'immersion et de role-play. À l'heure qu'il est, je ne sais toujours pas si ça sera GTAV. Quelque soit la réponse que j'aurais prochainement, le IV sera là.

 

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Voilà, c'est fini. On va enfin pouvoir remballer le matériel et passer à la génération suivante. Pour ma part, ça ne sera pas pour tout de suite cependant. Je compte bien toucher à quelques titres qui me sont passés sous le nez comme X-Com : Enemy Unknown et The Bureau, Saints Row IV, South Park and Stick of Truth, Rayman Legends et Origin, Splinter Cell : Blacklist, MGR: Revengeance, Pupeteer etc...encore de quoi tenir facilement jusqu'à fin 2014. Personnellement, mon chemin risque d'ailleurs de s'orienter vers le PC ; je prends goût à Steam et aux jeux indépendants. Peut-être que d'ici huit-dix ans, mon Top 20 sera dédié à l'ordinateur, qui sait ?