J'ai toujours sur moi un petit calepin pour pouvoir écrire à tout moment, il y a parfois des nouvelles complètes ou tout simplement de simples idées de dialogue ou d'autre texte parfois inclassable, En Vrac réunira tout ces textes qui n'aurait pas leur place ailleurs ou ne peuvent être poster seul, mais je tiens à prévenir que les textes n'ont aucun rapport entre eux et qu'ils sont plein de fautes diverses et variés, mais comme j'écris souvent quand je suis en train de manger, en cours ou simplement en marchant je ne m'embête pas avec l'orthographe ou la conjugaison et je les relis très rarement, j'essayerais d'en corriger le maximum mais je ne promet rien.

La Clarté de la lune éclairait ses cheveux d'ébènes.
Sa silhouette se distinguait nettement parmi le scintillement des étoiles.
Ses cheveux ondulaient sur la brise nocturne.
Sa voix générait en moi un calme olympien
Mais le toucher de ses doigts faisait naître en moi une tempête de passion.
Son sourire était contagieux
Son rire, limpide et clair, l'était aussi
Mon amour pour elle l'était tout autant
Il remplissait les vides entre nous.

La Lionne enfin allait choisir son époux
Parmi les quatre prétendants présent
Le Lion, le Guépard, le Rat et l'Éléphant.
De la belle reine tous en étaient fous,
Chacun mettait en avant ses qualités.
Le Lion montrant sa force et sa dignité,
Le Guépard prouvant sa douceur et sa célérité,
L'Éléphant désignant sa puissance et sa bonté
Et le Rat se cachant dans un trou, récitant sa plus belle poésie.
La Lionne émerveillée par le récital le choisit.
Et sortant de son trou, il montra sa laideur
La reine à sa vue pris peur
Et aux trois autres elle demanda
La mort de ce pathétique Rat.
La Guépard, rapide, l'attrapa
Le Lion, fort, l'assomma
L'Éléphant, puissant l'écrasa
Le Rat, lent et faible, s'affaissa.
Et des trois autres aucun ne fut retenu
Et de solitude la Lionne mourut.
Qu'on ait de la beauté intérieur ou de l'esprit
La laideur toujours seras fuit,
Mais tout comme la Lionne, après une telle ode à l'amour
Vous ne vous suffirais de plus rien d'autre autour.

Apportant la vie, éloignant la mort
Chassant le malheur, donnant le bonheur
Nous faisant rire, séchant nos larmes
Libérant la chaleur, éloignant le froid
Ne s'attardant pas sur les autres et les normes
L'Amour nous emmène partout et nulle part
Créant le Paradis dans les yeux de notre aimée.

Grandiose symphonie, naissant dans le cœur,
Amour sublime, rayonnant de mille feux,
Vision lumineuse, avançant sans heurt,
Croyance infinie et superbes dieux.
Déesse de cristal, au corps sublimé,
Par sa grâce animal, transmet la joie
Attendue à nos âmes envoutées
Par sa volonté, fait de nous les rois
De son corps enchanteur tant désirée
Par toutes les jalouses et les amoureux.
Grande incarnation du désir parfait
Elle fait naître en nous un immense feu,
Ne pouvant être éteint que par ses pleurs.
Alors elle s'enfuira vers l'horizon
Nous laissant vraiment seul avec ce qu'on
Auras réussi, briser notre cœur.

Et c'est généralement à ce moment que je me rend compte que ce que je propose est vraiment pas terrible et que l'envie de tout supprimer me vient à l'esprit, de faire en sorte que personne n'y est accès et que cela reste ma chasse gardée, problème, certain texte ont déjà été lu et j'aime avoir plusieurs avis sur mes écrits (tous aussi mauvais qu'ils soient d'après moi, les écrits, pas vos avis).