Aujourd'hui, pour communiquer, difficile de faire l'impasse sur twitter et facebook - pour ne citer qu'eux. D'une efficacité terrifiante tant ils sont volatiles et universels, ils peuvent toutefois s'avérer incontrôlables. Pour le moment, nous n'avons pas à douter du bienfait de ce type de communication. Bien au contraire. Lorsque les Pix'n Lovers ont vu le jour, nous avons tout d'abord bondi : Qui a bien pu créer ça ? Que vont-ils bien pouvoir divulguer, raconter, voire... prophétiser ? Très vite, nous avons été rassurés, et pour cause : les capitaines ne sont autres que notre petit génie Luc, Frantz (alias le Kreich), Mike (alias Motormike, plume dans l'équipe de Pix'n Love), Pascal et Kévin (tous deux lecteurs de la première heure). Aujourd'hui, ce ne sont pas moins de 622 membres qui sont tenus quotidiennement au jus de nos aventures. Merci à eux pour l'extraordinaire travail accompli jusque là. Car on le sait bien. Démarrer, c'est pas forcément le plus difficile. Durer. Voilà tout le challenge !

Et voici qu'enfin, les Cahiers du Jeu Vidéo disposent de leur propre page Facebook ! C'est Tony Fortin en personne qui en assure la délicate tâche d'administrateur. En quelques heures, le nombre de membres a frôlé les 50. Voilà qui est très prometteur. D'ailleurs, parmi ceux-ci, on compte déjà plusieurs auteurs de la collection, et ce n'est qu'un début ! Merci donc à lui pour cette initiative qui ne peut que nous réjouir.

Certes, et ce, pour deux raisons. D'abord parce que nous laissons ces deux sphères autonomes. Nous véhiculons nos informations via ce blog et notre site web. Après, avouons que ça ferait beaucoup, le risque étant de se faire déborder par la transmission d'information. Sans oublier que le fait que ces pages soient assurées par d'autres a quelque chose de résolument enthousiasmant pour nous. Deuxième raison, les Cahiers du Jeu Vidéo sont une collection très délicate, et sur le plan commercial, il faut souvent lutter pour convaincre de sa qualité pourtant indéniable. Travailler une vision novatrice du média peut avoir quelque chose de rebutant. Pourtant, il suffit de lire le dernier de la collection, Légendes Urbaines, pour apprécier l'intensité intellectuelle comme la fraîcheur du ton, la volonté de comprendre et d'analyser comme le souhait de tendre vers l'originalité. Nous sommes très fiers d'en être les éditeurs et comptons sur vous pour vous inscrire sur cette page pour vous tenir informés de l'actualité des Cahiers !

Séb, directeur de la publication (c'est écrit comme ça dans l'ours !)