Bien le bonjour à vous les gamers  de tous horizons  !  

Voilà quelques temps que je ne peux m'occuper correctement de ce blog ( c'est ça aussi la vie de papa ... ), mais l'envie me taraudait depuis un moment de refaire un article. Il me vient alors une question en tête ... Mais sur quel jeu crenondidiou !? Heureusement pour moi mes récentes acquisitions videoludiques m'ont rapidement permis de débloquer cet horrible dilemme.

Ainsi , nous revoici aujourd'hui réunis une nouvelle fois sur Pixelreams afin de vous présenter un jeu qui a instauré les bases d'une grande série des années 80 sur une des plus grandes machines de l”époque,à savoir ….

                                                   WONDERBOY sur Master System .

marquee de la borne d'arcade

 

PAPA RACONTE MOI UNE HISTOIRE ...

( Flashback rétro temporel avec ma meilleure machine a remonter le temps... )

Nous voici donc revenu en 1986 et à cette époque,  Sega est toujours en recherche d'une mascotte enclin à porter haut et fort les couleurs de la marque permettant de vendre à foison des machines. Pendant ce temps, à la même époque, Nintendo se taille la part du lion avec son jeu devenu plus que culte Super mario Bros ,  porté par LE personnage emblématique de l'epoque passée et à venir : Mario himself. Sega cherche donc également par tous les moyens à réitérer l’exploit de Nintendo et à inscrire aussi un des ses héros numériques au panthéon du jeu vidéo par de nombreuses tentatives. Alex kidd en fera partie ainsi que notre fameux héros du jour : Tom Tom de Wonderboy.

malheureusement , l’histoire nous apprendra par la suite que Sega ne trouvera sa mascotte que bien plus tard gràce à un fameux hérisson bleu supersonique , porte étendard de la toute fraiche megadrive : Sonic.

La série Wonderboy comptera 6 itérations . La plupart des épisodes connus de tous seront essentiellement basés sur des mécaniques actions rpg baigné d’un univers enfantin coloré de grande qualité ayant fait leur petit effet à l’époque. Toute personne ayant parcouru ces univers s’en rappellent encore aujourd’hui avec un souvenir ému …(sniff moi j’suis ému aussi mais parce que je ne les aurais jamais connu à l’époque... j’étais vendu à l’ennemi ……………. mais ca ne m’aura pas empêché de m’éclater nah !!)

Pour autant , et aussi étonnant que cela puisse paraitre le premier épisode pose au contraire des bases totalement différentes puisque le jeu est un pur produit de plateforme action parfaitement calibré pour concurrencer l’horrible plombier italien qui truste les charts dans le camp adverse.(bah oui Sega ne pouvait tout bonnement pas laisser nintendo rafler toute la mise et ne rien faire …)

Il faut savoir aussi que le jeu sera aussi porté sur d’autres plateformes par hudson ayant acquis entre temps les droits d’édition du jeu auprès de Westone, développeur du jeu pour le compte de Sega . Cependant la license Wonderboy appartenant au même Sega , l’éditeur se voit alors contraint  de modifier le héros principal ainsi que le nom de celui ci pour en refaire un nouveau jeu . Ils se retournent alors vers un personnage, devenu emblématique dans l’univers du jeu vidéo japonais des années 80 et lui proposent d’utiliser son image au sein du jeu : Takahashi Meijin.

ANECDOTE:

Takahashi meijin n’est autre qu’une légende du jeu vidéo des années 80, un “super player” des temps anciens. Sa renommée grandira au sein d'Hudson, société pour laquelle il travaillera de nombreuses années dans les hudson summer caravan , sorte de grande tournée estivale dans les plus grandes villes japonaises afin de promouvoir de façon conviviale les dernières nouveautés vidéoludiques de la société.

Ses prestations impressionnantes lors de ces tournées lui vaudront une grande renommée chez les nippons grâce à cette capacité de pouvoir matraquer le bouton de tir à une vitesse hallucinante tout en ayant un doigté de fée sur le stick.

Le plus grand exploit connu de takahashi remonte en 1985 ou suite à une démonstration sur Star force , un enfant présent lui demande à quelle vitesse il arrive à appuyer sur les touches de la manette . Il en résultera un résultat impressionnant de 16 pressions par secondes !! soit 960 fois par minute !!

Cela lui vaudra alors le surnom bien connu des gamers de 16 shot

Voici une vidéo du bonhomme en pleine action:

 Mais je n’en dirais pas plus aujourd’hui car là n’est pas le fond de cet article et, pour tout savoir sur ce personnage emblématique, je vous invite fortement à lire l'excellente biographie éditée par pix'nlove à son sujet. 

 

 

 

Retour dans le présent maintenant et venons en, suite à cet aparté, à un autre point intéressant découlant de ce que l’on vient de dire et qui dévoile qu’à partir d’une unique license, deux grandes séries de jeu réussiront finalement à voir le jour.

Car en effet, d’un côté , Sega tient alors le début d’une série prometteuse et continuera d’éditer des Wonderboy jusque sur la Megadrive avec des épisodes lorgnant de plus en plus sur l’action Rpg pour, finalement, s'écarter complètement du concept de base posé par Westone dans le premier épisode.

De l’autre, La série des Takahashi Meijin ( plus connu sous le nom d’adventure island en Occident ) donnera quant à elle naissance à de nombreux épisodes de qualités de jeux d’action plateformes avec, entre autres, 4 épisodes sur la Nes, mais aussi 2 sur la Super Nes ainsi que sur Pc engine et gameboy .

Il est donc intéressant de voir que d’un concept au départ unique, deux héros différents et deux grandes séries naquirent en empruntant des voies complètement différentes.

Fin de la digression et début du test !! ( ouf on s’en sortait plus de toute cette histoire …)

En avant pour de nouvelles aventures!! 

GIMMICK DU JEU:

à grand jeu , grand scénario !!!

Et ce ne sont pas que de vains mots car dans sa grande mansuétude , le dieu du numérique se pencha sur le berceau de Wonderboy pour lui offrir la plus palpitante aventure qu'il aie été donné de vivre !!

Trêve de plaisanterie, Tom Tom (c’est le nom du héros… oui je sais c’est naze même pour un homme des cavernes...) se voit affligé la dure tâche de retrouver sa bien aimée lâchement enlevé par le King , vil gredin prêt à tout pour nuire à notre gentil homme des cavernes.

OK, ça ne vole pas bien haut mais le départ de l'aventure proposée ne nécessite pas grand chose d'autre pour être agréable à traverser . Nous voici donc paré de toutes les bonnes raisons nécessaires pour parcourir les 8 mondes découpés chacun en quatre stages qui composent l'île de Wonderboy et aller péter la gueule au big méchant de l’histoire.

Et vous pourrez le constater par vous même si l’envie vous prend de l’essayer mais  le jeu est plutôt long ( 32 niveaux tout de même). Il y a même quelques subtilités sur lesquelles nous reviendrons plus tard, qui auront à coeur de pimenter le challenge.

Teasing quand tu nous tiens ….

( bon ok teasing pourri pour tout ceux qui connaissent le jeu comme leur poche  mais laissons un peu de rêve aux autres svp)

Démarrage du jeu et un écran titre on ne peux plus simpliste nous accueille. Seul notre héros et sa dulcinée seront présents ainsi que le titre du jeu au cas ou on l’aurait mal lu sur la jaquette. Mais, à sa décharge,  il faut savoir qu’en 1986, il était rare d’avoir mieux sur un jeu vidéo. Et seule une vidéo tournante des stages du jeu aura la lourde tache d’être l’unique attrait laissé au badaud passant devant l'écran pour lui donner envie de s’y essayer.

oh et puis diantre !! à partir de maintenant on va appuyer sur Start et aller tâter du software pour voir ce qu’il vaut ce jeu quand même !! Go tom tom !! Va sauver ta meuf !!

(Soit dit en passant, et désolé encore pour cette digression, mais il me prend l'envie soudaine de rêver qu'un jour ça sera la femme qui ira sauver l'homme , c'est vrai quoi !!!  Merde !!!Elle est ou l'égalité des sexes la dedans !! En avant Wondergirl !!!)

Bon OK je m'emballe ..... Reprenons....

 

Une fois que le jeu débute la première chose qui nous saute aux yeux est l'aspect graphique de l'ensemble. Et il faut bien avouer que le jeu a beau avoir presque 30 ans, le parti pris graphique un peu cartoon n’a pas tellement vielli, à l’instar de ce que savait et sait toujours faire nintendo sur ces propres licenses, à savoir donner un style intemporel au jeu, qui ressorti des cartons,même des années plus tard, ne choquera pas nos petites rétines de gamer habitués au toujours plus beau, toujours plus fort.

Wonderboy nous fera traverser alors les différentes contrées de cette île, variées dans leurs thèmes, mais restant cependant relativement répétitifs au sein de chaque monde. On ne lui en voudra par car l’ensemble reste agréable et plutôt d’un bon niveau technique pour 1986.

     

 

COURS TOM TOM, COURS SAUVER TA DULCINÉE!!!

La jouabilité, quant à elle, reste l’exemple typique de ce à quoi tout action plateformer qui se respecte se devait de ressembler, à savoir simple et efficace.

Seul deux boutons suffisent à diriger notre fier homme de cromagnon : 1 bouton de saut et 1 un bouton d’attaque.

Et ce même bouton d’attaque se retrouvera affublé de plusieurs fonctionnalités:

Celui ci servira à décocher son tomahawk, une fois ramassé dans les niveaux du jeu,  mais pourra aussi nous servir à courir plus vite en le maintenant pressé et ainsi réussir à atteindre des hauteurs inatteignables, une fois combiné avec le saut de base, pour effectuer de plus grands sauts.

Cependant, quelques crises de nerfs seront à prévoir durant la phase d’apprentissage du gameplay car le grand saut peut se révéler un tantinet capricieux si l’on ne presse pas correctement les deux boutons simultanément ou que l’on ne presse pas le bouton de course avant celui du saut. Cependant rien de dramatique, l’habitude se prend vite et on se plait rapidement à jouer au kangourou à vitesse grand V sur les plates formes du jeu une fois maitrisé.

Une dernière subtilité sera aussi à maîtriser si l’on souhaite survivre dans cet environnement hostile et qui peut paraître pénible au début : l’inertie de Tom Tom lors de ses mouvements .Par la force des choses et une fois la surprise passée, on s’habitue, même si de nombreuses tentatives risquent de se solder par un cuisant échec lorsque l'on se retrouve trop proche du bord d’un fossé après un saut mal calculé. Toutefois, après quelques crédits perdus dans la douleur de l’apprentissage, la raison l’emportera et la maîtrise de l’ensemble du game play révélera alors la puissance subtile de la jouabilité de Wonderboy.

 

DANS LES OEUFS TU TROUVERAS TA REDDITION ...

Mario a ses champignons , Tom Tom, lui, a ses oeufs de dinosaures.

Et grâce a oeufs ( mwouarf!! chuis trop drôle !!) , de nombreux items se présenteront à nous afin de nous faciliter la tâche dans notre quête.

LE TOMAHAWK: Elle sera votre arme de prédilection et se retrouvera dans la plupart des niveaux afin de venir à bout de toute belligérance se présentant à votre encontre.

 

LE SKATE BOARD: et oui! çà parait dingue comme çà mais les hommes préhistoriques étaient déja des dingues de la planche à roulette. On se demande bien ce qui est passé par la tête des développeurs pour intégrer un tel upgrade dans un jeu ayant pour univers la préhistoire, mais il faut croire que le hype grandissant autour du skate board dans les années 80 aie fini par achever les envies grandissantes des gars du marketing de faire de la thune avec leur jeu et d’en vendre des kilotonnes juste sur cette feature.

Pour autant, et aussi anachronique que cela puisse paraître, le skate reste un item de choix dans wonderboy car il vous permettra de parcourir à vitesse grand V les niveaux du jeu tout en matraquant les ennemis à coup de tomahawk. Et il faut bien avouer que c’est plutôt cool et fun à jouer même si les séquences de plateformes s’en retrouve grandement complexifiées car il est alors  impossible de s’arrêter une fois équipé de celui ci et seul un obstacle nous permettra de retrouver la terre ferme à nouveau. Egalement, son autre atout sera qu’il vous permettra d’encaisser un coup supplémentaire sans perdre de vie, ce qui ne sera pas de trop dans ce monde hostile.

 

L'ANGE: L’équivalent de l’étoile d'invincibilité de Super mario bros. L'ange vous permettra de jouer les berserkers et de foncer dans tout ce qui bouge sans encaisser le moindre point de dégât. De plus les points engrangés dans l’éradication de vos ennemis vous permettront d’améliorer votre highscore donc profitez en !!

 

LE CHAMPIGNON : Ce dernier item ne sert à rien en soi car il n’apporte aucune amélioration notable mais sera ben utile pour engranger des points si vous cherchez à performer et à faire grimper votre nom au tableau des scores .

 

DANS LA VIE Y'A PAS QUE LES OEUFS !!!

Y'a les poupées aussi ^_^

Et il faut savoir que celles ci ont deux fonctions :

La première est de vous faire gagner un maximum de points à la fin des niveaux et de péter les scores.

La deuxième, bien plus importante vous permettra (sous conditions de les avoir toutes trouvées) d'accéder a la vrai fin du jeu. Une fois en possession des 28 poupées des 7 premiers mondes, la porte du 8è monde s’ouvrira à vous, vous offrant l’ultime défi avant de récupérer votre bien aimée.

Et là bon courage!!!

Car la plupart sont bien cachées, et nécessite de se mettre souvent en danger afin de pouvoir les récupérer .Les premières poupées seront bien visibles mais les suivantes seront de mieux en mieux cachées allant même jusqu’à être dissimulées à l’intérieur de certains ennemis ou de rochers.

Notez tout de même que, si vous n'avez pas toutes les poupées, le jeu peut quand même être d'une manière différente. Une fois le 7è monde achevé, vous devrez alors vous battre contre les incarnations successives de King pour récupérer votre bien aimée ( ce sera certainement la fin que vous verrez le plus souvent soit dit en passant ...)

Le challenge est donc bien épicé et ravira a coup sûr les amoureux de difficulté.

J'AI FAIM , J'AI FAIM, J'AI FAIM !!!

Dans tous les niveaux, un vrai garde manger sera mis à disposition de Tom Tom  pour plusieurs raisons dont celle de scorer, mais pas seulement.

Premièrement, ces bonus alimentaires participeront activement au challenge du scoring car la plupart des fruits apparaissant au dernier moment, il faudra user de réflexes redoutables pour tous les récupérer. En plein de sauts dans le vide, à des hauteurs différentes, en frôlant les ennemis, etc …

Il faudra alors maitriser à mort les possibiltés de tom tom pour réussir à tout récupérer !! Alternance petit saut-grand saut , skate board, prise de risque … les superplayers seront aux anges et vont devoir apprendre à faire du parkour!!

Deuxièmement, les fruits et différents aliments présents seront là pour pallier au phénomène que l’on appellera communément pour l’occasion : Le syndrome de Sangoku.

Vous savez dans la bd dragonball, quand sangoku a super faim , il est à bout de force et ne peut plus se battre. Il est alors à la limite de se faire tuer par ses ennemis à chaque fois. Mais lorsqu’il mange, ses forces herculéennes lui reviennent et tout redevient comme avant …

Bah Tom Tom, il est un peu pareil.

Si dans wonderboy , on nous fait grâce d’un chrono pour finir les niveaux, les développeurs ont trouvé une autre manière de nous presser un peu le citron. Car si tom tom ne mange pas régulièrement, sa barre de vie diminuera progressivement pour simuler son épuisement. Si rien n’est fait pour le sustenter, c’est la fin ... GAME OVER comme dirait l'autre.

d’ou l’importance de collecter régulièrement de la nourriture pour maintenir la barre de vie à un niveau décent. Car en plus de fondre comme neige au soleil avec le temps qui passe, le moindre obstacle ou objet rentrant en contact avec notre héros fera aussi baisser la barre de vie plus rapidement que prévu, allant même jusqu’à stopper net l’avancée conquérante de tom tom,  à l’instar du feu qui vous transforme en torche humaine au moindre contact ou les cranes bleus des niveaux plus avancés.

 

Certains items comme l'oeuf tacheté vous offriront même la désagréable expérience de vous faire courser par la mort en personne durant tout le niveau en cours. Celle ci fera baisser encore plus vite votre barre de vie et il faudra faire preuve de bons réflexes et de rapidité pour rester en vie jusqu'au bout.

On remarque alors que sous son air bon enfant, le jeu cache une certaine difficulté et de nombreuses subtilités de game design qui lui permettent, pour lépoque, de se détacher du lot.

 

ALORS ON LA TIENT CETTE KILLER APP ?

Et bien, c'est bien difficile de le dire ...

Le jeu en lui même est bourré de qualités et toute personne y ayant joué dans sa jeunesse s'en rappelle encore aujourd'hui.

N'est ce pas là l'apanage des grands jeux ?

Moi même j'ai voulu écrire ce test sur la simple envie de découvrir un soft qui m'avait fait un effet boeuf 28 ans plus tôt sans jamais avoir pu réellement y jouer, faute de posséder cette magnifique console qu'était la Master System.

Et après tout ce que viens d'écrire, je ne regrette pas d'avoir sauté le pas du test ...

Cependant, je dois avouer que j'ai malheureusement aussi cassé le mythe et le dur retour à la réalité me crie violemment que tout n'est pas parfait : jouabilité bonne mais perfectible , graphismes agréables mais finalement trop redondants et manquant de variété. Certaines petites erreurs ont été commises et ne permettent pas à wonderboy de tutoyer le génie comme l'a pu faire Mario en son temps .

La frontière entre le génie et l'excellence est à la fois mince et grande .... Car tout se situe dans les petits détails qui font la différence mais qu'on n'explique pas forcément avec les mots ...

Ce qui m'amène à croire à la désagréable sensation que Sega a fait un beau gâchis avec sa license ( comme nombre de ses licenses diront les mauvaises langues ...) à force de vouloir partir dans tous les sens et de ne pas continuer à assumer son style plate forme pure si agréable à jouer.

On se prend alors à rêver de ce qu'aurait pu être Wonderboy 2 sans sa partie RPG et ses petits défauts de jeunesse corrigés et magnifiés, même si les différents épisodes de la série qui suivirent furent tous de grande qualité.

Tout çà pour dire que j'ai adoré parcourir Wonderboy. Et  je comprends mieux pourquoi ce jeu fait aujourd'hui  partie des grands classiques passés de Sega. Mais je comprends mieux aussi que cette expérience vidéoludique m'ait également conforté dans l'idée que Wonderboy n'est pas le Mario que Sega recherchait tant pour sa Master System...

A savoir son porte étendard et son console seller.

 

Et voilà !!!

Arrivé à ce point de l'article on peut aisément commencer à faire des digressions pas forcémént utiles mais qui font plaisir ^_^

Car, en somme si on ne se trompe pas trop et que l'on use de raccourcis fort utiles et FORCEMENT bien fondés ^_^ , on pourrait donc aisément résumer le jeu à :

1- sauvetage de meuf

2- bouffe

3- Skate

En somme, la vie parfaite d’un ado des années 80 quoi !! 

That's all folks !!

 Merci Tom Tom pour touc ces bons moments passé en ta compagnie et à bientôt sur pixelrealms pour de nouvelles aventures vidéoludiques !!!

 

ASTUCES DU JEU :

Choix du niveau:


Faites 1, 2, 1 + 2 quand l'écran du numéro de niveau en cours apparait. Utilisez le pad pour choisir un niveau sans lâcher 1+2. 

Comment accéder à la 10è aire et aux 4 derniers des 40 niveaux:

 
Attrapez les 36 poupées pour jouer les 37e, 38e, 39e et 40e avec le boss final du tigre que l'on voit apparaître juste derrière le diable et qui paraissait inaccessible jusqu'à cette 'astuce'.