Voilà qu'au détour d'un rayon de la fnac, j'ai récupéré Assassin's Creed premier du nom sur PC pour un prix raisonnable - sans vouloir troller : raisonnable selon les critères de cette vénérable et non moins souvent exorbitante enseigne. Avec un peu de patience, play.com permettait de l'avoir à un prix encore plus ridicule mais sans la garantie d'avoir une VF, plutôt de bonne qualité sur le 2. Et pour y avoir joué une petite heure, c'est une bonne surprise à plus d'un titre.

En effet, même s'il n'est pas compatible SteamWorks (et pour cause, il n'y a pas de clé), il ne nécessite même pas le cd pour se lancer. Joie intense au point qu'avoir souillé mon fauteuil. Moi qui cherchait une excuse pour en changer, merci Ubi Soft.

Et l'histoire, que dire après avoir fini le 2ème volet ? Et bien c'est une encore meilleure surprise car grâce au tour de passe des mémoires génétiques, une bonne partie du cadre est très différente tout en conservant une narration aussi immersive. Plus encore car en connaissant déjà une bonne partie du gameplay - ok, il y a quelques différences intéressantes qui évitent de s'endormir -, cela permet de se concentrer d'avantage sur ce qu'on cherche à nous raconter.

C'est dans ces moments-là que je serais content de bosser sur la création d'un jeu vidéo moderne... même si les défouloirs comme Left4Dead restent nécessaires à ma santé mentale ;-)