Beyond Good & Evil (BGE) est un jeu bon élève.
Alerte sur le monde
du jeu vidéo il pioche çà et là des éléments dominants du gameplay des
consoles 128 bits (ou last gen). On le sait pourtant le parfait
équilibre d'un jeu multi genre ne suffit pas à insuffler au média une
nouvelle dynamique. BGE aurait pu donc s'arrêter là et se
contenter
d'être un divertissement maîtrisé. Là où l'équipe de développement
dirigée par Michel Ancel parvient à créer une nouvelle brise réside
dans ce qu'on pourrait appeler l'art du faire croire.
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