Yop !
Pas trop eu le temps de mettre à jour le blog depuis quelques mois, mais promis, je reviens en septembre avec plein de bonnes intentions ! En attendant, je vous propose le test que j'ai pu rédiger de King's Quest La voix du chevalier, une vraie petite pépite de jeu d'aventure dont j'ai désormais hâte de connaître la suite. Pour la petite histoire, j'ai joué au titre sur Xbox One, le problème de la VOST n'est donc peut-être pas le même au moins sur PC. Faudra que je tire ça au clair, mais les RP du jeu n'ont pour l'instant pas réussi à me répondre, notamment sur la mise à dispo des voix anglaises via une MAJ pour les consoles. Un petit regret qui ne me fait heureusement pas oublier que The Odd Gentlemen ont sans doute réussi là l'un des jolis coups de l'été...
Comme d'hab, la chronique est aussi à lire dans son intégralité sur www.dna.fr
Le retour du roi
Il n'est jamais facile de ressusciter les anciennes gloires. Star incontestée du jeu d'aventure dans les années 1980, la série King's Quest s'offre cependant une superbe réinterprétation entre les mains du studio californien The Odd Gentlemen. Premier de cinq chapitres actuellement en chantier, La voix du chevalier s'en vient démontrer que les grandes et belles épopées ont, pour briller, davantage besoin d'esprit et de coeur que de sang et d'épées.
Tout est question d'équilibre. Réinventer sans trahir, refonder sans pour autant omettre ce qui autrefois fut admiré. Pour le studio The Odd Gentlemen, la tâche était gigantesque : comment donc s'approprier une icône du jeu d'aventure, un univers si ancien dans l'histoire des jeux vidéo qu'il précéda même les préceptes du pointer-cliquer ? Car King's Quest est un vénérable ancêtre des loisirs numériques. Sorti initialement en 1984 (le jeu bénéficia de plusieurs refontes), le classique de Ken et Roberta Williams fut de ces challenges qui demandaient encore au joueur de taper des commandes au clavier pour résoudre les défis qu'ils proposaient. Autant dire aux plus jeunes que depuis ce temps-là, le monde de leur loisir préféré a plusieurs fois été révolutionné.