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Génial. Super. Incroyable. Du Dragon Ball.

Que dire ? Ce chapitre était génial. Alors que la mythologie de Dragon Ball n'était pas très bien exploité (ou mal) par le passé, ici Toyotaro n'hésite pas à utiliser toutes les ressources à sa disposition. Voilà ce qu'il manquait dans les anciens arcs. Toyotaro a compris Dragon Ball et ce chapitre le prouve. Alors qu'il avait déçu dans l'arc du pouvoir, ici on retrouve l'auteur comme on l'avais découvert sur les premiers arcs notamment l'arc Black Goku.

Ce chapitre est riche en informations. Déjà, on apprends que Moro peut sentir les Dragon Ball. Bon ok on se demande toujours comment il a pu en récupérer si peu en 3 jours alors que dans ce chapitre il récupère le reste en quelques heures...
Mais que dire du dialogue entre Vegeta et les Namek ? Vegeta s'en veut et il veut absolument se faire pardonner. On dit OUI ! Faire echo à l'arc Namek de DBZ tout en montrant un Vegeta qui s'en veut. Voilà ce qu'on veut voir. Du Dragon Ball qui raconte quelque chose. Et que dire de la suite ? Goku et Vegeta qui vont se battre en sachant très bien qu'ils vont y rester. Et leur regard... Complice et fier.

Et le chapitre continue sur sa lancée avec l'arrivée de Boo. Un Boo qui a retrouvé la mémoire du Grand Kaioshin. Là encore, l'auteur pioche dans la mythologie Dragon Ball. Et le combat Boo/Moro s'annonce dantesque surtout après son eviction du tournoi du pouvoir. L'enjeu est grand, quand on sait que la dernière Dragon Ball est en jeu. Il est fort probable que Moro parvienne à ses fins, j'ai du mal à imaginer l'arc finir sur une victoire de Boo.

Et comment ne pas mentionner l'apparition de Merus ? Toujours aussi classe, la patrouille galactique s'affiche sous un beau jour, et n'apparait pas comme une bande de bon à rien. Il y a également la petite planche où l'on voit Piccolo et Dende sur Terre qui sentent que quelque chose de grave se passe. Histoire d'accentuer un peu plus la menace qui pèse sur l'univers.

Rien à dire sur ce chapitre. C'est du beau Dragon Ball. Continue Toyotaro, tu nous fais du bien en ce moment.