Qu'est-ce que la pureté ?

 

On pourrait penser de cette notion qu'elle englobe tout ce qui est net, propre et sans bavures. Ce qui est pur est immaculé, sans tâche ; un peu comme les draps qui sortent du lave-linge, ou la couche de bébé, encore toute fraîche et blanche dans son petit emballage plastique. Mais la pureté ne se reflète pas forcément dans les apparences, elle peut également se révéler de manière plus abstraite dans l'esprit, la pensée ou la morale. Quoi de plus pur, ainsi, qu'un héros bon et valeureux qui s'en va sillonner mille et unes contrées pour délivrer une innocente princesse des griffes d'un sorcier maléfique, muni qu'il puisse être d'une épée étincelante et de sous-vêtements propres ?...

 

Cette pureté, la saga Zelda s'en est toujours fait un digne représentant. Par la simplicité de son histoire, l'efficacité de son gameplay, mais surtout la candeur des sentiments qu'éprouvent Link et l'éponyme* demoiselle l'un envers l'autre, quand ils pourraient pourtant laisser libre court à leurs désirs charnels et s'adonner à une luxure légendaire, dès lors que serait vaincu le méchant qu'est si impur et mâitrisée la quête qu'est si dure.

* Eponyme qui n'a bien entendu rien à voir avec Epona, la jument du héros dans Ocarina of Time, au cas où certains d'entre vous auraient effectué un rapprochement douteux, lequel vous tend les bras maintenant que j'en ai fait la remarque. Et oui, voilà ce qu'on gagne à vouloir déchiffrer un texte aussi minuscule !

 

Mais si cette pureté, cette innocence, cette virginité même, n'étaient au fond qu'apparences et artifices destinés à rassurer Familles de France ?

 

Qu'en serait-il s'il s'avérait qu'un monument de la série comme A Link to the Past avait, en réalité, été développé en sous-main par Sierra Entertainment, studio à l'origine de moult jeux d'aventures cultes des années 80-90, lequel se serait attelé à en faire un spin-off officieux d'une de ses séries les plus emblématiques, le fripon Leisure Suit Larry, dont le but n'est pas tant de trouver l'âme soeur que le point G de celle-ci ? Imaginez donc la stupeur et la honte de millions de parents dans le monde si ceux-ci venaient à se rendre compte que le jeu qu'ils ont offert à leur progéniture renfermaient des symboles si abjects, si obscènes, si lascifs, si... erra ?

 

Bref, si la curiosité vous ronge, si l'excitation vous gagne, ou si vous n'avez juste pas grand-chose de bien constructif à faire de votre temps libre, asseyez-vous confortablement devant votre écran, mettez votre embarras au frigo, dites adieu à votre enfance et admirez la vérité se dévêtir, sous vos yeux, de ses atours superflus...

 


 

#1 - Miroir, miroir, dis-moi, qui est le plus pervers ?

 

Débutons notre analyse en comparant les deux protagonistes des jeux qui nous intéressent. D'un côté nous avons Link, sorte d'elfe à la pilosité tantôt brune, tantôt rose, vêtu tous les jours comme à la Saint-Patrick ; de l'autre nous avons Larry, aspirant séducteur quadragénaire à la morphologie ingrate, invariablement affublé de son leisure suit (ou costume de loisirs, selon le toujours très avisé Google Trad). Un accoutrement qui lui vaut d'ailleurs quelques railleries, de pas son côté ringard, dépassé, d'un autre âge, lequel constitue donc, d'une certaine façon, un lien vers le passé...

 

Soit, cet élément n'est qu'un détail, je vous l'accorde. Vous serez donc tout pardonné de le trouver tiré par les cheveux. Pour cette fois.

 

Dans un registre moins trivial - et puisque nous en sommes à parler d'attributs capillaire - il est intéressant de noter chez notre ami Larry une singularité loin d'être anecdotique. Si, de front, rien de particulier n'attire notre attention dans sa coiffure (si ce n'est le fait qu'elle ne soit pas rose, elle), c'est de dos qu'un détail nous saute immédiatement aux yeux.

 


 

En effet, l'arrière de son crâne est en partie dégarni.

 

Quel rapport avec Link, me direz-vous ?

Après tout, personne n'a jamais remarqué chez ce Link une telle carence pileuse...

 

Mais vous-êtes vous seulement demandé pourquoi ?...

 


 

À l'évidence, si Link s'accroche tant à son bonnet, c'est qu'il a quelque chose à cacher. Et, ô surprise ! En comparant les deux images, on s'aperçoit que la zone couverte par ledit bonnet correspond exactement à la zone calvitiée.

 

Alors, je vous entends déjà râler. D'ailleurs, voilà en substance l'objet de vos réticences :

Mais, on ne peut pas prouver que cette partie masquée soit effectivement chauve !Certes.

 

Mais pourriez-vous me prouver qu'elle ne l'est pas, hm ?...

 

Autre détail qui n'en est pas vraiment un, le fait que nos deux séducteurs aient en commun la lettre "L" initiant leurs prénoms, ce qui tout sauf un hasard lorsque l'on sait que leur but conjoint est de la trouver. "Elle".

 

Mais le parallèle le plus éloquent est à trouver du côté d'ALTTP. Si vous avez joué ne serait-ce qu'une poignée d'heures à ce jeu, vous n'êtes pas sans savoir que l'on explore non pas une, mais deux versions du même monde, une "Light" et une "Dark" - ou, en d'autres mots, une propre et une sale. Vous ne devriez pas non plus ignorer que le premier contact avec ce monde impur se fait via un miroir magique que nous offre un vieil ermite, et que ce passage d'un monde à l'autre ne reste pas sans conséquences sur notre héros.

 

Mais que lui arrive t-il, déjà ?...

 


Notez le subtil croquis de sein nu sur le sol.

 

Et oui ! Notre playboy se transforme en lapin.

 

De tous les animaux, pourquoi les développeurs ont-il donc choisi ce cuniculus à la réputation si lubrique ? La réponse coule de source. Le monde impur révéle la vraie nature de chaque chose, c'est pourquoi Link, en y arrivant, prend ainsi l'apparence qui sied le plus à ses instincts profonds. Car au fond, Link, tout comme Larry, n'est jamais qu'un chaud lapin.

 

Même si, il faut le reconnaître, l'un d'eux l'est quand même bien plus que l'autre...

 

Ci-dessus, Link poursuivant la gent féminine, le manche tendu vers l'avant.

 

#2 - "Quel bel outillage vous avez là !"

 

Nous venons de voir que les deux protagonistes partageaient bien plus de ressemblances que ce que Nintendo, dans des relents bienpensants de dernière minute, sans doute, à essayé de nous dissimuler sous un habillage refait à la va-vite. Pourtant, on ne saurait totalement faire disparaître la vérité. Tôt ou tard, elle finit toujours par remonter à la surface et se révéler au premier éclairé venu. Et quand celui-ci la découvre, qu'elle soit flagrante ou imperceptible, il est de sa responsabilité de la divulguer au plus grand nombre sans prendre de pincette.

 

Il m'incombe ainsi de vous informer que vous êtes d'éminents incultes pour ne pas avoir perçu plus tôt la nature véritable de ce jeu, aussi flagrante pourtant qu'une paire de melons dans un étal rempli de raisins secs.

 

Allons, ne vous effarouchez donc pas pour si peu, restez. Car nous allons désormais nous pencher sur les quelques babioles sans lesquelles la quête de notre elfe libidineux n'aurait aucune chance d'aboutir. Et vous allez voir que, là encore, les choix des développeurs sont sans équivoque.

 

- Les Bombes -

 

Une bombe dans ALTTP.                                                      Une bombe dans LSL.  

 

Élément incontournable des deux séries, Link et Larry sauraient difficilement se passer de telles "rondeurs". Si l'un en aura besoin pour faire exploser des cloisons fissurées, l'autre s'en servira plutôt pour faire exploser sa libido.

Est-ce que ça ne voudrait pas dire que Link a une libido aussi développée qu'une cloison fissurée ?Bien sûr que non. Ce parallèle est ridicule...

 

- Le Grappin -

 

 

 

Sur l'image de gauche, vous pourrez aisément reconnaître Link tandis qu'il utilise son grappin pour traverser un gouffre. Sur celle de droite ? Eh bien, il ne s'agit ni plus ni moins que de notre quadragénaire essayant de... mettre le grappin sur la gentille demoiselle.

Mais... On parle de jeux japonais et américains, elle existe pas cette expression dans ces langues-là !Mais si, je vous assure, les expressions "Get your hookshot on someone" et "Meeturu re guraapinu suru kerukunu" existent bel et bien.

 

Je suis juste le seul à m'en servir, voilà tout.

 

- Le Bouclier -

 

    

 

C'est bien simple : aucun de nos deux protagonistes n'aurait une chance d'échapper aux dangers qui émaillent leurs quêtes respectives, s'ils n'avaient à se munir d'une protection.

Eh, minute ! Le bouclier de Link n'est pas en latex !Et alors, il bloque les projectiles, non ?

 

- L'Arc -

 

 

 

Ici, ce n'est pas tant l'arc en lui-même qui importe. Non, ce qu'il faut bien voir dans ces images, ce sont nos deux héros qui sont en train de tirer.

Attendez, attendez ! C'est quoi cette deuxième image là, on voit rien !

 

Bien sûr qu'on n'y voit rien. Il se trouve que Larry et sa conquête ont éteint la lumière pour ne pas être dérangés dans leur intimité, ce qui est tout à fait compréhensible. Le nierez-vous ?

 

(En plus, ce blog est à peu près tout public.)

 

BREF

 

- Larry est attiré par une bombe, parvient à lui mettre le grappin dessus, puis se munit d'une protection pour tirer sans danger.

 

- Link fait péter les murs avec une bombe, franchit les gouffres avec son grappin, pare les projectiles avec sa protection et élimine les ennemis en leur tirant dessus.

 

C'est clair, non ?

 

Oh, il reste bien d'autres objets à analyser, mais pour l'heure, nous nous en tiendrons au strict minimum. On laissera donc de côté les histoires de pelles roulées et de baguettes brûlantes pour passer à la suite.

 

#3 - Un oeil qui traine sur les donzelles en détresse

 

Oui, la suite, car bien qu'il serait aisé d'en rester là et de s'en tenir aux déjà forts nombreux et très solides arguments avancés, je sens chez vous une désagréable odeur de doute. Rassurez-vous, nous n'avons fait que gratter en surface jusque-là, qu'enlever quelques chapeaux et autres babioles du corps de la réalité. Il est donc temps d'exhumer des profondeurs de la terre (d'Or) les reliques de son héritage paillard et de la délester du gros de ses vêtements.

 

Cessons donc de noyer le polisson, comme on dit, et passons aux choses sérieuses.

 

Dans la plupart des Leisure Suit Larry, le jeu est structuré de la manière qui suit : Larry doit trouver un moyen d'inciter la gent féminine à lui accorder quelques faveurs, en décelant pour cela ses besoins (un objet, souvent) et en les comblant. Une fois ceci fait, il obtiendra de quoi poursuivre sa quête et répondre aux exigences d'une autre demoiselle, qui elle-même lui permettra de continuer vers une autre, etc. De fille en aiguille, pour ainsi dire, on en vient, pour finir, à atteindre "la bonne", c'est-à-dire celle qui représente la finalité du protagoniste, l'objectif ultime, le grand amour, tout ça.

 


La gent féminine dans sa représentation la plus... flatteuse ?

 

Quand on y regarde de plus près, le principe est le même pour A Link to the Past.

 

Une fois passée la première partie du jeu, à savoir les trois premiers donjons, Link doit s'aventurer dans le "Dark World" pour y récupérer des cristaux et y délivrer la Princesse Zelda (et mettre un terme à la politique dictatoriale anti-écologique de Ganon, accessoirement).

 

Sauf que dans ces sept cristaux se trouvent emprisonnées autant de chastes demoiselles kidnappées par le sorcier Aghanim, un maniaque probablement refoulé au casting d'un anime typé harem et qui aura décidé de se venger - mais c'est une autre théorie. Le but de Link est donc, de prime abord, assez simple : pénétrer chaque donjon et libérer chaque captive à tour de rôle, en prenant bien soin pour cela d'éviter les pièges, les monstres et les inversions de verbe (surtout).

 

Il va sans dire que, de la même façon que pour LSL, la Princesse Zelda, en sa qualité de bien-aimée du protagoniste, n'arrive qu'en septième et dernière position des donzelles à sauver, et ne verra exaucés ses désirs - de liberté - qu'une fois que Link aura satisfait à ceux des six premières. Pour qu'il gagne des coeurs, et donc, de l'endurance ?...

A moins que ça ne soit pour, vous savez, lui laisser le moins de temps possible pour se faire re-kidnapper ?

 

Soit, ça se tient. Également.

Bref, pour en revenir à nos lapins, il est à noter que Link obtiendra dans chaque donjon un nouvel outil, lequel lui sera bien souvent primordial pour venir à bout du maître des lieux et, ainsi, soustraire à ses griffes la vierge emprisonnée. On retrouve donc bien la nécessité d'avoir acquis le bon objet afin de "passer" d'une fille à une autre.

 

Qui plus est, il est intéressant de relever que certains boss requièrent impérativement l'usage de la magie afin d'être vaincus, ce qui signifie, en d'autres termes, que les demoiselles qui y sont associées ne pourront êtres secourues sans que la barre de notre héros ne soit un minimum remplie. Ou encore, qu'il lui faudra déverser de sa magie pour satisfaire leurs désirs - de liberté, toujours, bien entendu ; quoi que "liberté" puisse être un terme assez vaste...

 

Un boss particulièrement frigide qui exigera de vous un tir de votre baguette ardente.

 

Autre point digne d'intérêt, le fait que les conquêtes de Larry finissent inlassablement par le quitter d'un épisode à l'autre, laissant-là notre pauvre quadragénaire en costume-détente désespéré, le coeur... brisé.

 

Heureusement, Link est là.

 

Et il sait comment recoller les morceaux !

 

Autant dire que LSL et ALTTP se complètent pour former un tout, comme... comme... deux versions d'un même monde ? Hmm...

 

Quoi qu'il en soit, un dernier point reste à aborder avant d'attaquer le plus excitant. Celui-ci consiste en une thématique propre à Leisure Suit Larry que l'on retrouve, comme vous pouvez vous en douter, sous une forme plus abstraite dans A Link to the Past.

 

En effet, lorsqu'on examine le bestiaire du jeu, on s'aperçoit d'une chose pour le moins singulière.

 

Mais jetez plutôt un oeil là-dessus :

 

 

Admettez, ça fait un paquet de monstres monoculaires. Est-ce anodin ? Bien sûr que non !

Oh ! Je vois où vous voulez en venir. Si on prend cet oeil et qu'on l'appose sur l'un des triangles de la Triforce... On obtient le symbole des Illuminati !

 

Les Illu... Quoi ? Non, non, vous n'y êtes pas du tout mon pauvre ami - ma pauvre amie ?...

On reparlera de la Triforce d'ici peu néanmoins, calmez-vous.

 

Non, s'il y a bien une chose que cet oeil unique symbolise, c'est l'oeil de Larry qui traine parfois derrière une paire de jumelles ou un carreau de douche mal fixé, ce sont les pulsions voyeuristes qui animent notre héros et, parfois même, le joueur qui le contrôle. C'est la perversité gentillette chère à la Sierra de série, véritable dictatrice des hormones dans sa conquête du cerveau de l'homme, contraint alors d'abdiquer et de céder à l'appel du sacro-saint rinçage d'oeil.

 

Ce qui peut néanmoins avoir des conséquences... dramatiques.

 

 

 

#4 - Rendons à la Triforce ses lettres de noblesse

 

Que reste t-il encore, à cet instant, des faux atours de notre vérité personnifiée ? Pas grand-chose, si ce n'est le strict minimum. La pudeur me commande de ne pas aller plus loin, de m'en tenir à cet état de déshabillage déjà fort bien avancé. Mais je vous ai promis une mise à nu intégrale, et je tiendrai parole. Quitte à souiller votre enfance à tout jamais.

 

Nous allons donc analyser ici le cœur du jeu, le catalyseur de tous les événements qui y prennent place : la Triforce.

 

Je ne vais pas vous rappeler dans les détails l'histoire de ce symbole tout de triangles composé ; sachez-donc que les trois petits fragments équilatéraux qui composent ce grand triangle représentent, nous dit-on, le courage, la sagesse et la force, soit autant de vertus primordiales à tout bon guerrier qui se respecte.

 

Bref, la Triforce telle que vous devez le connaître, c'est ça :

 

 

Mais on l'a vu, il ne s'agit pas tant ici de faire la guerre que de faire l'amour. Dès lors, comment faut-il interpréter ces triangles et quelles vertus faut-il leur prêter ?

 

Trois éléments nous permettent d'établir une réponse :

 

#1 - Leisure Suit Larry a été développé par SIERRA.
#2 - A Link to the Past a été développé (officiellement) par NINTENDO.

#3 - Ce sont des JEUX.

 

On peut donc en déduire que ce Zelda 3 est une collaboration entre Sierra et Nintendo, ou, pour reprendre les termes anglo-japonais qui vous tiennent visiblement à coeur, que c'est un Sierra and Nintendo Game ou encore un Sierra to Nintendo Geemu. Qu'en déduit-on ?

Euh... Qu'on s'est complètement éloignés du sujet ?

Au contraire ! Regardez-bien le paragraphe précédent. Vous ne remarquez rien ?...

 

S, N, G.

 

Trois lettres, trois initiales qui, lorsqu'on les rajoute à la Triforce d'origine, la transforment en... ceci :

 


 

La Stringforce, donc, symbolise les trois vertus essentielles que se doivent de posséder les dessous de chaque donzelle en détresse, à savoir : le cordage, la souplesse et l'amorce. Ou en d'autres termes, la qualité de la ficelle, l'élasticité de l'étoffe et l'attraction suscitée. Cerise sur le gâteau, si la Triforce exauce les vœux, la Stringforce, elle, exhausse les queues.

 

Renversant, n'est-ce pas ?

 

Ceci dit, étant une personne ouverte d'esprit, je suppose que l'on pourrait également et plus largement assimiler la triforce à ce qui suit :

 


Vous les voyez, là, les trois triangles de la triforce ?

(J'ai effacé la jolie dame pour que vous vous concentriez bien tous sur l'essentiel.)

(De rien.)

 

#5 - eXXXhibition

 

Last but not least, comme diraient nos amis biélorusses hispanophiles ayant fait allemand LV2 mais parlant quand même quelques mots d'anglais, maintenant que plus rien ne nous empêche de contempler d'un oeil malicieux la vérité dans son costume d'Eve, contemplons la grâce de son corps nu et de ses formes avantageuses à travers la subtile représentation qui en est faite de par les contrées d'Hyrule.

 

BOOOOOBS !

 

 Oh là ! Cachez-moi donc cette pyramide fendue que je ne saurais voir !

 

Par ailleurs, cette "pyramide" suscité l'intérêt à plus d'un titre, car de par sa position centrale dans la carte du monde des Ténèbres, elle représente le centre névralgique du mal, du vice et de la perversion. C'est donc, en quelque sorte, l'origine du monde.

 

Non, je ne fais pas allusion à une quelconque oeuvre d'art.

 

Encore que...?

 

Non, il s'agit plutôt d'un logo, qui se trouve être celui des créateurs officieux d'ALTTP...

 

 

Les mauvaises langues diront que derrière cet emblème se cache une montagne, mais cette pyramide est, en réalité, juste un peu cabossée.

Mais...

 

JUSTE UN PEU CABOSSÉE, T'ENTENDS !?

 


Votre raisonnement me laisse perplexe. Et puis, il... pue un peu, non ?Comment ?! C'est faux ! Carrément ! Et il sent bon, non mais ! Comment se fait-il que vous n'en soyez pas encore convaincu ?

 

Soit, j'admets que mes arguments puissent avoir des failles.

Soit, ce ne sont là que mensonges, puisque mes arguments sont infaillibles.

Soit, à force de répéter le mot "Soit", je risque bien d'être victime de Soitting.

 

Bon. Puisque vous êtes aussi bornés, jetez donc un œil sur cette dernière image et osez conserver votre réticence.

 

Ah oui, c'est... c'est vraiment... qu'est-ce que je suis censé voir, là ?Ben c'est le boss de fin, Ganon.

 

Et il a une tête de lard.

 

N'est-ce pas la preuve irréfutable que nous avons affaire à un jeu cochon ?...