(C'est le reste du temps que ça m*rde)

 

 Cher Journal,

 

Ne le répète à personne - pas même à tes amis le stylo bic et la gomme-tête-de-lapin ! (ah oui, au fait, je sais que vous faites des trucs ensemble tous les trois quand j'ai le dos tourné. Mais y'a pas de souci, j'ai l'esprit ouvert. Simplement, si le stylo bic pouvait ne pas laisser traîner ses capuchons usagés, ensuite, ce serait aussi bien. Ça m'éviterait les scènes de jalousie de la part de l'agrafeuse et de la boîte à trombones) -, mais je crois que... comment te dire ça ?

Surtout, surtout : comment te l'écrire ?

Allez, soyons fous, j'essaie avec des mots, on verra bien.

Voilà, ça fait un moment que j'ai quelques doutes, à ce sujet, mais je crois que... enfin, il se peut que je sois ce qu'on appelle communément... comment, déjà ?

Ah oui.

Un dieu.

Tu m'as bien lu. Comme ceux qui vivent dans les nuages et qui mangent des Ferrero Rochers dégueulasses (tant pis pour le pléonasme), cosplayés en Michel Serraut période Cage aux Folles. Mais en plus masculin (j'espère).

Attention cependant, ne va pas t'imaginer que je suis comme tous ces illuminés qui se prétendent d'ascendance divine juste pour faire leur intéressant-vu-que-le-casting-de-la-Star-Ac'-est-bouclé-pour-cette-saison, ou parce qu'ils ont un jour reçu quelque chose de lourd sur la tête.

Non.

Moi, c'est pour de vrai, comme la future sortie de Final Fantasy versus XIII et de Shenmue 3 sur Playstation 4 (allez Journal, fonce, c'est sûr et certain, alors préco tout de suite et au prix fort !). Sans ça, comment expliquer que tous les ans, à la même date (celle de ma naissance, tiens, COMME PAR HASARD), ce soit reparti pour le même cinéma à la mode Cecil B. De Mille (mais en version The Asylum) ?

A chaque fois, rebelote, dix de der et grelottine : voilà-t'y pas qu'on rampe à mes pieds (ceci, sans se soucier de savoir si je porte des chaussettes ou non. Certains ont pourtant bien saisi la nuance, qui ne s'en sont jamais relevé), qu'on se prosterne, qu'on se dispute mes faveurs, qu'on m'érige des statuts sur Gameblog et Facebook, qu'on me sacrifie des animaux (bœufs, poules, chevaux, une simple barquette de lasagnes Findus suffit), qu'on me couvre de cadeaux et d'offrandes, qu'on chante mes louanges, qu'on n'a que moi à la bouche (ce n'est pas sale) (Ha si, pardon, j'ai vérifié dans le manuel, c'est super-sale, aux temps pour moi).

Si ça, ce n'est pas « vouer un culte à », il faudra m'expliquer. Avec de schémas et tout.

D'ailleurs puisqu'on est entre nous, Journal, je t'avoue que je suis un peu gêné par rapport à tout ça : pour quelqu'un d'aussi timide et d'aussi modeste (et d'aussi peu porté sur les possessions matérielles, ça vaut d'être précisé), c'est un peu perturbant. Je comprends bien que tous ces êtres sans envergure (vu que ce ne sont pas des oiseaux) aient besoin de donner un sens à leur existence en célébrant l'Infini Transcendantal de mon Immense Sublimité, et ça me touche, vraiment. Mais je me sens un peu comme un usurpateur. J'ai envie de leur tendre la main, de leur dire « relevez-vous, allons, mes frères. Moi aussi, avant, j'étais comme vous ! », ou « il n'y a aucune différence entre nous, je ne vous suis pas supérieur », mais malheureusement, je suis parfait, je ne peux pas mentir - et puis ils se rendraient vite compte que ce n'est pas le cas, alors autant ne pas jouer avec leurs sentiments et les friendzoner pour l'éternité, ils m'en seront reconnaissant...

Comment ça, tu ne me crois pas ?

Ô, fourniture de papèterie de peu de foi ! Je m'en doutais un peu. C'est pour ça que j'ai réuni ici les preuves les plus édifiantes de ce que j'avance, afin que tous puissent voir de leurs yeux voir (toi y compris. N'hésite pas à t'en faire poser pour l'occasion) ce que le cœur suggère, et louer par-là même ma Saine et Sainte Grandeur (non, il n'y a pas de sous-entendu, tu lis trop de mangas).

Oh, et en l'occurrence, ça tombe plutôt bien, Journal, car ça va me permettre de nourrir mon blog à leurs frais, et faire quelques likes sur leur dos. Quelle plus belle récompense, pour un adepte lambda les yeux plein d'amour pour l'objet de sa vénération, que de faire grimper un peu l'œuvre de son dieu dans le grand classement oeucuménique des blogs les plus lus ?

Mais chut ! Je ne t'en dis pas plus.

Les murs ont des oreilles.

Non. Vraiment.

Ce n'est pas une métaphore.

C'est Kurumada qui les a dessinés.

 

 

Par contre, mes chers adeptes, puisqu'on en parle, c'est pas pour dire mais je trouve ça un peu inquiétant, cette fixette que vous faites sur Tidus et sur Kurumada.

Faites-vous soigner.

J'suis pas médecin, bien sûr, mais à ce niveau, ça frise le trouble obsessionnel compulsif, quoi.

Qu'on juge par soi-même :

 

 

 

 Victor

(L'homme qui murmurera à l'oreille de la Home ce Week-end )

 

 

 

 

 Krystal Warrior

 (Inébranlable - iné, vraiment ? -, ce super héros des temps nouveaux t'attend pour... euuuh... de nouvelles aventures !)

 

 

 

 Critobulle (avec la participation EXCEPTIONNELLE DE Mr RAGONDIN !)

 (Avertissement aux cinéphiles : un cinéphile averti... en vaut deux)

 

 

 

Chrisleroux

(Un blogger dont l'absence forcée nous fait grand tort, et dont les francs délires étaient plus grands à l'intérieur).

 

 

 

 

 Chocolat  

("Chocolat, c'est fort en dérapages hallucinés !" Un peu moins en ortograffe, mais on sans fish, c'est un  passionné).

 

 

Karas

(en hibernation provisoire - ? - dans son antre de l'awesomeness).

 

 Mais aussi une véritable pièce de collection, reçue par la poste :

 

 

Une dédicace authentique de

Masami Kurumada

(le plus grand fan-artist de tous les temps)

 

(quant à comment cette relique sacrée est arrivée en ma possession,

je vous laisse le découvrir, narré par Snake_Bellemare_in_a_box, à la fin de ce post)

 

Mais avant ça, puisqu'on en parle :

 

 Un joli cadeau-surprise de la part de Gameblog, qui a offert trois jours de Home à mon article dédié, le sauvant

in extremis (mais pour de bon) des affres de l'indifférence (et lui a donné un air respectable pour l'occasion). 

Comme quoi elle est très bien, en fait, cette nouvelle Home... :)

 

 

Last but not least at all, ma P.Y.T. à moi, en plus de me dédier un formidable poaime, s'est acquittée pour vous d'un an de taille et de gabelle, avec les intérêts (ainsi qu'un goût indiscutable. C'est à se demander ce qu'elle fait avec moi...) :

 

 

 La renaissance du mythe sur consoles portables et un hommage très réussi,

tant aux jeux de plate-formes d'origine qu'aux Metrovania.

Seul bémol : l'absence de flûtiste pour me déconcentrer (les vrais savent).

 

 Un documentaire édifiant sur la jeunesse de Bruce Willis.

(dont le crâne, c'est logique, ne fait pas bon ménage avec le flash de mon appareil photo)

 

 

 Le nouvel album de David Bowie.

En double.

Le premier, en version européenne, avec trois titres bonus.

Le second, en version japonaise, avec un titre bonus (différent des trois précédents)

Juste la classe <3

 

Ha, et ce n'est qu'un détail mais les titres bonus sont géniaux, Waldo. ; )

 

 

Une anthologie sur un mec connu, dans laquelle on peut trouver Albator à la même page que Dee Dee Ramone.

C'est pas rien.

 

 

 

 L'intégrale des épisodes de Batman écrits par MONSIEUR Neil Gaiman.

C'est pas rien non plus.

 

 

 Un magnifique tableau fait main (Work in Progress, il n'est pas terminé) représentant un de mes jeux préférés.

(tout le monde aura bien évidemment reconnu Final Fantasy X-2)

 

Un sans faute parfait, donc, tout le monde sera d'accord avec ça. Exploit d'autant plus remarquable que Miss P.Y.T. n'a tapé ni dans la japanim', ni dans le Doctor Who. C'est que mine de rien, il fallait le faire, et elle l'a fait. Accordons-le leur : les femmes ont cela de divin qu'elles aussi, parfois, savent accomplir des miracles.

 

Et a propos de miracles, il est grand temps pour vous d'apprendre (mais êtes-vous prêts seulement ?) comment l'ami Snake_in_a_box est parvenu à mettre la main sur l'inestimable (pour diverses raisons) dédicace de Kurumada présentée plus haut.

 

 

Un récit édifiant, que je reproduis ici dans son intégralité, et qui arrachera des larmes de compassion aux plus endurcis - voire même aux adeptes de Call of Duty, c'est dire ! Pour vous (enfin, pour moi, initialement, mais vous avez de la chance, je suis un modèle d'altruisme et de gentillesse), ce rebelle du vidéoludisme témoigne à visage (de 3/4) découvert, et sa verve prolixe permet d'exhumer bien des secrets enfouis, et de réparer bien des injustices :

 

"Alors que ma mie et moi-même déambulions sur un marché du Tarn ma foi fort bien achalandé en produits du Sud-Ouest issus des meilleurs élevages sous-développés hongrois, mon regard fut soudain attiré par un de ces artistes de rue, de ceux qui braillent et qui jouent mal, de ceux qui se disent plus libre de coeur et de geste que toi alors qu'ils pointeront dés le lendemain comme intermittent du spectacle, calculant désespérément les heures qu'ils auront dépenser sans compter au service de l'art. L'art, lui, se demandant si on lui a rendu service...

Ce "marginal" était bien curieux, guitare en bandoulière, rien de bien anormal jusque là, il était plus japonais qu'un sushi et chantait à tue-tête dans une indifférence criminelle les paroles suivantes:

"─ L'aven-ture est sur ton chemiiin! Il suffit de ten-dreuh la maiiiin! En a-vant! En a-vant! Chevaaaaaliiiiiers! Palalapampampam!"

Et caetera, tu connais la suite.

Alors que je m'arrête un instant pour assister à la fin de ce show endiablé, ma compagne, Splintermuse, se désintéresse de cette scène et se fait interpeller par un touriste à la l'écharpe laide et trop longue qui semble visiblement perdu. Un anglais, sans nul doute.

Notre nippon termine la chanson et je l'applaudis mollement me délestant de quelques inutiles centimes.

Je l'interpelle:

"─ C'était émouvant, lui dis-je. Votre interprétation était puissante, pleine d'allant et propre à susciter l'héroïsme  au plus pleutre des italiens. Cependant, je vous voyais plutôt chanter: Da kishimeta kokoro no Kosumo...

 

─ Je vous remercie mais ma langue natale n'est pas bien acceptée par ici, me répond le chanteur dans un français impeccable avec une légère pointe d'accent d'Aubagne. Hélas, cette chanson est aussi le témoin de ma ruine.

 

─ De votre ruine? m'exclamais-je. J'ai du mal à concevoir que Saint Seiya puisse être la ruine de quelqu'un. De Bernard Minet peut-être, maudit par cette chanson qui le poursuit jour après jour et de convention en convention...

 

─ Bernard Minet, lui au moins, peut espérer une juste rétribution versée par la SACEM, me répondit-il. Pour ma part, je n'ai que d'amers souvenirs et le goût âcre de la trahison. Avez-vous, passant interpellé par mon sort, le temps d'écouter mon histoire?

 

─ Ma foi oui, répondis-je. Ma curiosité soudain titillée par vos paroles semble évoquer la pire des tragédies d'Euripide.

 

─ Et bien voici toute l'histoire. Avant tout permettez-moi de me présenter, je suis Masami Kurumada."

Je ne te cache pas, cher ami, que le début de l'ombre d'un soupçon d'une pointe  d'étonnement s'insinua sur mes traits.

─ Masami Kurumada? dis-je. Mais... Kurumada-sempaï est un japonais à la cinquantaine bien tassée et à l'embonpoint qui trahit un cholestérol à surveiller. Je suis a peu prêt certain aussi qu'il surveille d'une main de bronze tout ce qui gravite autour de son gagne-pain et non qu'il s'abime la glotte tel un ménestrel sur la pente savonneuse de la gloire.

 

─ Hélas, quidam, croyez bien que je comprends votre scepticisme. Mais je suis bien Masami Kurumada. Victime d'un destin tragique, j'ai du abandonner ma série aux mains peu scrupuleuses de mon éditeur. Ce dernier utilisant depuis Saint Seiya Hades et Elysion un homme de paille qui relaie ses avis sous mon identité.

 

─ Pouvez-vous prouver ces dires? demandais-je. Je serai tout à fait enclin à vous croire si une preuve plus lumineuse que le cosmos de Saori était présentée devant mes sept sens.

 

─ Votre sens de la métaphore filée est estimable cher ami, me répondit Masami Kurumada. Si vous aviez la bonté de me passer un feutre, je vous démontrerai que je suis le seul créateur de Seiya et de ses compagnons.

Le hasard faisant bien les choses, je m'étais acquitté il y a quelques instants d'un feutre noir que je tendis à mon guitariste mangaka. Il prit à son tour une feuille A4 et dessina dessus.

Cinq minutes plus tard et il me montrait le résultat.

─ Stupéfiant! m'exclamais-je en levant les bras au ciel. Ce 3/4 face, ces yeux qui ne respectent aucun alignement correct, cette silhouette écrasée et bedonnante, ces habits laids et sans formes, cette armure si hideuse qu'il a fallu refaire pour l'anime. Qui pourrait dessiner si mal? Vous êtes Masami Kurumada!

 

─ Eh oui, c'est bien moi, me dit-il en rebouchant le feutre.

 

─ Mais alors, demandais-je, comment avez-vous pu finir ici? A faire la manche, vêtu de ce blouson de cuir qui faisait fureur dans les années 80 et ceint de cette guitare?

 

─ Et bien tout commença lorsque je fus embauché pour dessiner Saint Seiya. A l'époque, j'avais expliqué à mon éditeur que mon dessin n'était pas assez bon malgré mon idée de base que je jugeais pertinente.

 

Il avait balayé cet argument en me soutenant que mon dessin s'améliorerait avec la pratique. Pour ma part, j'étais plutôt enclin à faire confiance à des amis à moi comme Mamoru Nagano qui aurait pu, je pense, apporter un supplément de souffle épique considérable à mon propos par son trait sûr et original.

 

Obligé de suivre les indications de mon éditeur, je me suis exécuté de mauvaise grâce. J'ai dessiné tout le manga, espérant beaucoup de l'anime pour que mon oeuvre ne soit pas trop pitoyable.

 

Le tout, bien sûr, fut chapeauté par mon impitoyable éditeur qui me commandait tel ou tel ajout en cours de route. J'ai du ajouter les Chevaliers D'Acier à l'anime, les facilités bien pratique des jumeaux pour Saga et Kanon, ainsi que ces Chevaliers d'Or qui vont à la vitesse de la lumière sans contrarier les théories relativistes ou qui redeviennent gentils après avoir torturés nos héros sans problème de conscience majeur. En outre, mon éditeur, parfait misogyne, m'a obligé à masquer les femmes de ma série ne tolérant que Athéna, celle-ci devant subir mille tourments qui trahissent la perversion de ce dernier.

 

Après divers films plus ou moins corrects, j'ai décidé de stopper le manga lorsque l'on m'a obligé à faire Saint Seiya Next Dimension. Trouvant l'idée honteuse et d'un ridicule achevé, j'ai refusé. Je fus alors enlevé tandis que je rentrais chez moi. Kidnappé, on me jeta à fond de cale sur un bateau. Nourri chichement pendant plusieurs semaines par des geôliers cruels, je fus débarqué à Marseille. Sans papiers et sans le sou, j'ai appris le français sur le tas en errant dans le sud-est. Plus tard, je tombais sur diverses publications reprenant mon nom, Saint Seiya G, Saint Seiya Lost Canvas, etc... Désespéré, je compris que mon nom et mon oeuvre m'avaient été volés. Sans espoir de retour, j'ai fait le choix de vivre au jour le jour comme baladin errant de ville en ville et vivant de mes chansons.

 

─ Quelle histoire sensationnelle! m'écriais-je. Voilà qui explique bien des choses sur les Chevaliers du Zodiaque et la situation actuelle de la série. Mais comment pourrais-je vous aider dans cette douloureuse épreuve?

 

─ Il n'y pas grand chose à faire malheureusement. La mafia du shonen est puissante et elle a réussi à me faire disparaitre sans que personne ne le remarque. Regardez comment Fairy Tail arrive encore à durer alors qu'il ne passe rien depuis cent quarante épisodes. Regardez comment Naruto continu son chemin alors que X de Clamp n'aura jamais de fin. Non, c'est inutile. Je vous demanderai juste de ne pas oublier cette histoire. Je vous offre ce dessin en gage de l'amitié nouvelle qui nous unis désormais et comme preuve de la réalité de ma situation . Car peut-être un jour, le shonen reviendra vers son sens premier, celui d'inspirer la jeunesse à aller de l'avant et non de contenter les fantasmes mammaires et prépubères de certains.

J'acceptai avec plaisir cette dédicace, bien décidé à te l'offrir et je saluais Masami Kurumada qui accorda sa guitare. Après avoir rejoint ma chère et tendre, qui avait visiblement aidé son anglais à trouver un nouveau chapeau et une cabine téléphonique, j'entendis résonner derrière moi les premières notes de cette chanson qui vante les héros toujours prêts à l'attaque pour un monde idéal, tandis que nous entreprîmes de rentrer chez nous".

 

De quoi me faire regretter d'avoir été si dur avec ce grand bonhomme dans mon post précédent. Heureusement, grâce à Snake, la vérité a fait brûler son cosmo au grand jour, et l'honneur de cet artiste total est lavé. Au nom de tous les Masamistes, Snake : MERCI ! Puisses-tu perdre tes cinq sens pour en gagner deux autres plus puissants !

 

Enfin, pour terminer sur une touche personnelle (et comme nous ne sommes plus à un grand n'importe quoi prêt), j'en profite pour dévoiler ci-dessous ma version malhabile (mais sincère) de l'Intrépide, le super héros créé par Marcus dans sa prime jeunesse, réalisée sans matos à l'arrache entre deux coups de fil au rectorat (authentique) et colorisé sous Windows Picture Manager.

 

 

Une version "romantique et androgyne", selon ledit Marcus, qui se dit "troublé", mais apprécie quand même (genre).

ça m'apprendra à lire Clamp.

 Bref (si l'on peut dire) : un GRAND GRAND MERCI à toutes celles et ceux qui m'ont consacré quelques lignes, ici ou sur Facebook, en ce glorieux 1er avril 2013, et grâce à qui j'ai passé toute ma journée d'anniversaire bloqué sur le net, à répondre à ces amitiées. Vous brûlerez tous en enfer pour ça, mais ça n'aura rien de personnel. ;)