Les chats, on ne les présente plus, tout le monde connaît, tout le monde a peur, tout le monde sait que c'est à coups de pelle qu'il faut les câliner...

 

ou du moins faut-il l'espérer, car au nombre des obscures menaces menaçantes™ qui planent sur la civilisation humaine innocente, ils sont numéro 1 depuis l'Egypte ancienne - et pas seulement parce qu'ils aiment gratter le crépi de l'appartement, au mépris de toute caution laissée au propriétaire, non... Ils sont partout. PAR-TOUT. Toi qui lis ce message, ne te retourne pas. C'est ta vie qui est en jeu. Un chat est sans doute derrière toi, caché derrière une plante en pot, en train de t'observer (en général) et de calculer en combien de temps il peut t'atteindre et te planter ses griffes dans le fondement jusqu'à ce que mort s'ensuive (en particulier).

 

Furtif, sournois, connecté aux différents plans d'existence qui jouxtent celui que nous appelons benoîtement « la réalité », doté d'innombrables facultés extra-sensorielles, de griffes rétractiles et d'un air kawaii over-abusé destiné à camoufler sa nature maléfique, le chat n'a qu'un seul but : te réduire (oui, TOI - en particulier -, et tous tes semblables - en général -) en esclavage. Il a déjà commencé. Si, si. Non content d'avoir envahi nos foyers en faisant mine de se laisser domestiquer (comprendre : en acceptant magnanimement de se laisser nourrir et dorloter sans demander de contrepartie en échange, genre : « oui, je consens à être le centre de ton existence, ne me remercie pas »), et ceci dans le but quasi-avoué de prendre le contrôle mental des gens qui y vivent (lesquels se mettent alors à leur donner des petits surnoms rigolos, et à les gratter sous le ventre à la moindre impulsion télépathique), ils ont étendu leur emprise sur l'internet entier, de façon à prendre l'ascendant sur les derniers hommes libres et à s'assurer qu'aucune résistance ne leur sera opposée lorsqu'ils se décideront à lancer l'invasion (à lire absolument : cet édifiant article d'utilité publique. Son auteur a hélas disparu sans laisser d'adresse, ni de trace, ni rien d'autre que des petits bouts de peau derrière lui).

 

Priver l'adversaire de sommeil en le réveillant à quatre heures du mat', user ses nerfs jusqu'à la dépression en renversant consciencieusement ses figmas les plus chères, le priver de son sens de l'odorat en laissant des bombes odorifères en des points stratégiques du territoire à conquérir... leurs techniques sont aussi nombreuses qu'impitoyables, et il ne fait pas bon se dresser en travers de leur chemin (si l'on n'est pas armé d'un aspirateur, en tout cas). Et pour cause :

 

 

 

(Sources : Infos du Monde, le Journal de Ceux qui Savent)

 

 

Heureusement, nombreux sont ceux qui tentent de sensibiliser la population au danger qui la guette, comme en témoignent ces spots de prévention réalisés par de grands spécialistes de la question, lesquels ont couru des risques non négligeables pour permettre à la vérité d'éclater. Et nous leur en somme reconnaissants.

 

 

 

All Hail to the CCC !

 

 

Lutter contre les chats est un combat de chaque instant, et si tu as tremblé devant the Walking Dead, dis-toi bien que la version Mawling est autrement plus effrayante... sans compter qu'elle est dans ta cuisine et que si elle te regarde avec tant d'insistance en attendant son Sheba six étoiles (plutôt une étoile et demi, selon Black Label) au bon goût de Homard Thermidor fourré Caviar, c'est parce qu'un jour, c'est toi, qu'il mettra dans sa gamelle - et il le sait.

 

Or qui dit force d'invasion dit aussi « Grand Coordinateur », parce qu'il en faut bien un pour servir de relai entre les troupes au sol et celles restées à bord du vaisseau-mère.

 

 

Et ce chat-là, ne nous voilons pas la face, tout le monde sur Gameblog sait de qui il s'agit, mais sans oser le clamer à haute voix (de peur qu'Il n'entende, bien entendu. Car il est derrière nous tous, TOUJOURS, PARTOUT ! C'est Rupert Sheldrake qui l'a dit), et sans que quiconque n'ait jamais rien pu prouver à son sujet...

 

JUSQU'A AUJOURD'HUI !

(tintintintintiiiiiinnnn)

 

 Car avec la complicité d'une internaute courageuse, connue sous le pseudonyme de Minmay (nous ne dévoilerons pas sa véritable identité ici par mesure de prudence), nous avons mis en œuvre une stratégie à grande échelle, visant à faire tomber son masque... stratégie que tu as toi-même connue sous le nom de « Noël de Gameblog » et qui, si elle a pu t'apporter quelques satisfactions inattendues, n'avait qu'un unique objectif : montrer ENFIN le vrai visage de ce fieffé félin famélique. Et quel visage, jugez plutôt...

  

 

Kaminos, c'est le chat, quand il est Père Noël Gameblog, il ne t'envoie pas un paquet, non. Ce ne serait pas assez retors, pas assez machiavélique, et ce serait interprété par ses semblables comme un signe de faiblesse (or les chats n'aiment pas les faibles, à part en purée dans leurs gamelles). A l'opposé, il crée un nouveau compte Gameblog (GamerAuPiedRectangulaire, ça te dit quelque chose ?), poste quelques statuts mystérieux pour planter la graine de paranoïa qui aura, à long terme, raison de ta raison... puis t'interpelle par message privé, t'annonce qu'il sait qui tu es et où tu habites (normal), avant de t'informer que tu vas devoir collaborer avec lui (CECI, QUE TU LE VEUILLES OU NON) afin d'empêcher un attentat dans les semaines à venir... à deux pas de chez toi.  Pour ce faire, il prévoit un scénario complet, des codes à décrypter, d'énigmatiques clés USB, de la géolocalisation GPS sur Google Maps, des serveurs SMS à consulter, et il prévoit même au final de te faire remonter le temps. Carrément. La routine, pour lui. Et non, non, non, je n'affabule pas, je n'ai pas abusé des chocolats de Noël (enfin si, effectivement, j'en ai abusé. Mais en l'occurrence, ça n'a rien à voir). Le tout devant m'amener à découvrir sa véritable identité, ainsi que mon cadeau (et, accessoirement, me détourner de ses véritables plans d'invasion, ça va de soi. J'étais trop proche de la vérité, il faut croire)... Ah, si seulement je n'avais pas été si méfiant et si j'avais joué le jeu, au lieu de faire le clown, je n'aurais pas réduits ses efforts à néant ! Un très très très gros regret de ma part, a posteriori, mais le CCC serait fier de moi.

 

 

Kaminos, c'est aussi le chat, quand il est Père Noël Gameblog, il t'offre Final Fantasy Theathrythm, parce qu'il a le vice dans son sang de félidé, et qu'il sait à quel point tu conchies cette pompe à fric Squarénixéenne (pléonasme). Ainsi espère-t-il te briser psychologiquement pour mieux te dominer ensuite.

 

 (Un petit coucou spécial à ma victime de Noël, le célèbre pingouin de Gameblog. Désolé, je réalise ici que j'ai été un bien piètre Père Noël. Mais en l'occurrence, rendons-nous à l'évidence : je pouvais pas test)

 

 

 

 

Et pour enfoncer le clou (dans tes paumes), il ne t'offre pas une version officielle, mais une copie pirate Honk-Kongaise, dont la jaquette pixélisée est supposée te faire perdre l'usage de la vue... au cas improbable où tu échapperais à la descente des forces de police, et à l'incarcération pour recel qui t'attend patiemment cachée derrière sa plante verte.

 

 

 

 

 

Sauf qu'en fait, ce n'est pas de Theathrythm, qu'il s'agit. C'est juste que quand Kaminos, il veut te piéger, il est capable de remettre le jeu sous blister après avoir glissé sa fausse jaquette dessus. Ça en dit long sur les compétences techniques de nos « amis » félins, et sur leur aptitudes à retourner nos technologies contre nous.

 

En même temps, Virtue's Last Reward c'est plus cohérent, comme cadeau, quand on connaît l'animal.

  

Mais Kaminos, c'est le chat, quand il est Père Noël Gameblog, il ne s'arrête pas là. Ben ouais. Une guerre des nerfs, ça se joue à l'usure. Là où n'importe qui jugerait avoir fait son devoir Pèrenoëlesque (Virtue's Last Reward, quoi ! Le jeu même pas encore sorti en France, qui t'embarque dès les premières secondes et qui ne te lâche pas ensuite, laissant le champ libre aux chats pour leur offensive finale), il te brosse dans le sens de SON poil en ajoutant une pièce rare, dont il sait qu'elle sera chère à ton cœur et qu'elle abattra tes barrières mentales à coup de nostalgie. Kaminos, il aurait connu Proust, il l'aurait lapidé à coup de madeleines 100% pur beurre. Mais pour un adversaire tel que moi, il a sorti l'artillerie lourde : Final Fantasy VI en version PS One, 1er (ex aequo avec Shadow of the Colossus et Vagrant Story) de mon top personnel depuis toujours (ou, en tout cas, depuis sa sortie, ce qui n'est déjà pas si mal)... un des rares jeux auxquels je peux rejouer, encore et encore, avec le même enthousiasme qu'au premier jour.

 

 

 

 

 

 

Mais bien sûr, Chat oblige, une bonne action ne pouvait s'accompagner que d'une mauvaise, et toute gratification obtenue se devait d'ouvrir une brèche dans ma psyché pour mieux la mettre en pièces, puisque l'ironie du sor... matou veut que ce jeu mythique fasse boîtier commun avec la démo de Final Fantasy X, dont chacun sait qu'il est de très loin mon épisode *hum* favori.

 

 

 

 Le grand écart ultime.

 

 

Et parce qu'un chat ne lâche pas sa proie avant de l'avoir lancée trois ou quatre fois en l'air (c'est un rituel vaudou), Kaminos, c'est le chat, quand il est Père Noël Gameblog, il va jusqu'à ajouter à l'envoi une pièce majeure de sa collection, comme ça, sans hésiter. Et pas n'importe laquelle. Une pièce que je lui enviais, et que j'avais réclamée en commentaire de son article dédié, sur le ton de la plaisanterie. Sauf qu'un chat, ça ne plaisante pas. JA-MAIS.

  

 

 

 

Le Tournevis sonique du Doctor Who (je crois).

 

Son but ? Me pousser à affaiblir moi-même mes proches à coup de Marseillaise en boucle. Car étant, comme ses semblables, un expert en profiling, il savait que je ne pourrais pas résister à la tentation d'user de ce genre de dispositifs quatre fois par... minute. Je vais même l'emporter au bureau, tiens, étendant d'autant son champ d'action destructeur. Me voilà transformé en agent double malgré moi. Il est fort, le bestiau. Il est fort.

 

 

De quoi se prosterner pour les siècles des siècles, donc, car ne nous leurrons pas : c'est bien ce que désirent les chats. A savoir : une soumission totale et sans réserves. Et comme on peut le constater ici, ils sont bien préparés. Il ne faudra pas longtemps avant que l'Humanité ne ploie le genou devant eux (si tant est que ce ne soit pas déjà le cas).

 

 

Ha oui, et j'oubliais. Kaminos, c'est le chat, quand il est Père Noël Gameblog et que tu le remercies par MP, il te demande si tu as « bien pigé le truc spécial » de son cadeau. Alors forcément, tu l'inspectes avec plus de méticulosité. Une minute passe, puis deux, puis trois, puis...

 

Tu constates que quelqu'un a gribouillé au marqueur sur la jaquette du Final Fantasy VI. Mais au point où tu en es, tu te dis que ce n'est pas grave. Ça reste un très bon jeu quand même, et il n'y a rien ici dont un peu de dissolvant ne puisse pas venir à bout. Mais n'empêche. Quel sans-gêne, ce « Hironobu Sakaguchi ». Oser défigurer une jaquette mythique comme ça. Sérieux.

 

Sérieux.

 

Hironobu

 

Sakaguchi.

 

 

Je vais peut-être pleurer un peu, là. Excusez-moi.

 

 

Quand je reviendrais, ce sera pour vous confirmer qu'on est fichu, les mecs. Que toute résistance est inutile. Que les chats méritent de dominer le monde, vu le mal qu'ils se donnent pour y parvenir. Et pour remercier Kaminos, infiniment. Et proposer qu'on rebaptise le « Noël de Gameblog » : la « Claque de Gameblog avec des Griffes au Bout ». Ce sera plus adapté.

 

En tant que Père Noël moi-même, je me sens tout petit.

 

 

 *

 

 

Comme si ça ne suffisait pas, cette année (encore !), j'ai été particulièrement gâté par ma chère et tendre P.Y.T., et par mes non moins chers (mais un peu moins tendres quand même, fort heureusement pour leur casier judiciaire) parents. Oh, et par mon cher² et tendre² moi-même, aussi, ça va de soi. 

 

Et je le prouve :

 

 

 

* De quoi ne pas avoir froid l'hiver (et de quoi mâchouiller en toute sérénité. Car oui, j'assume, je suis un serial mâchouilleur) :

 

 

 

 

Un Snood modèle unique, fabrication artisanale sur mesure - Snood n'étant pas, comme je l'ai cru de prime abord, le nom d'une créature fantasmagorique issue du bestiaire de Beetlejuice, mais un col amovible. Ici, frappé du L de mon homologue bouffeur de bonbons  (quelle coïncidence ! Moi aussi, je bouffe des bonbons, des fois ! Je suis donc un génie, CQFD).

 

 

* De quoi lire avec des images parce que c'est moins fatigant :

 

 

 

 Une carte de vœu maison. Pour vous, ce dessin ne signifie peut-être pas grand-chose. Cependant ceux qui savent savent. C'est dans leur profil de poste.

 

 

 

 

 

 

 

Surprise totale, et non des moindres. J'ignorais complètement l'existence de cet album, mais sur le fond comme la forme, c'est un must have. Je veux dire... un script perdu de Jim Henson, Monsieur Ça et Ça, magnifiquement mis en images par un auteur de talent. Surréaliste et fascinant.

 

 

 * De quoi câliner tout doux parce que la tendresse c'est le Bien, bordel !

  

 

 

Une peluche à ventouse Doraemon, fleuron de la culture asiatique.

Un chat, comme par hasard.

Et robot, de surcroît.

Dans le futur, les chats se sont alliés à Skynet, mais son restés Kawaii.

 

  

 

* De quoi s'en mettre plein les oreilles pour bosser sans broncher :

  

 

 

L'epic soundtrack de l'épisode « Noël 2011 » de mon alter ego Doctor Who. Ça chante l'opera et il y a des requins volants. Que demande le peuple ?

 

L'album de Frankenweenie. Ça rocke et il y a un chien zombie en noir et blanc. Après toutes ces histoires de chats, c'est salutaire.

 

 

 

* De quoi voir et revoir et rerevoir avec ou sans la Normandie :

 

 

 

 

 

Shutter Island en BluRay, parce que c'est tout à fait le genre d'intrigues tordues (paraît-il) qui sied aux tordus de ma trempe (un film qui plairait aux chats, m'a-t-on laissé entendre).

 

La saison 1 de la version américaine de Being Human, parce que je suis un grand fan de la version UK, que je suis en manque depuis que j'ai bouclé la saison 4 et que j'étais curieux de découvrir le remake, dont on dit qu'il finit par prendre une direction différente. De quoi piquer ma curiosité.

 

Le film Strong World de One Piece, juste "parce que". Oda, quoi. La raison est suffisante. S'il faut n'en avoir qu'un, c'est celui-là - ainsi que l'Ile du Baron Omatsuri, of course. Chats mis à part, on n'est pas des animaux.

 

 

 

* De quoi s'équiper pour les équipées sauvages en salon :

  

 

 

 

Une manette universelle (on fera comme si, hein, pour que l'honneur soit sauf), histoire de pouvoir enfin jouer aux jeux Steam dans de bonnes conditions. ça tombe bien, j'ai plein d'achats en vue de ce côté.

  

 

 

 

  

Un nécessaire 3DS One Piece, histoire de personnaliser un peu la bête et de réveiller le pirate qui sommeille (profondément) en moi. Ceci, sans s'inquiéter de la moindre inadéquation entre le set et l'âge que je suis supposé avoir.

 

 

 

 En plus, on sent que ce sont des passionnés qui ont mis ça sur le marché, et pas d'obscurs quidams déterminés à exploiter crassement le filon. Vivement la version Naruto et son porte-clé Mugiwara !

 

 

* De quoi se prendre une crampe aux doigts et finir dans le prochain article de Claire Gallois :

 

 

 

  

Final Fantasy VI et Virtue's Last Reward, donc, offerts par Monseigneur sa Sainteté Kaminos Premier de la Seconde Vague d'Invasion Sol-Sol. Mais aussi, pour compléter : un second Virtue's Last Reward, afin de prouver mon allégeance à ce même Kaminos et, ainsi, servir au mieux sa noble cause. Avec, en prime, Final Fantasy Theathrythm (rires) : typiquement tout ce que je déteste chez Square Enix. Un jeu mercantile, sans âme, paresseux... qui est, aussi, hélas, une véritable drogue dure. Une fois qu'on commence, on ne s'arrête plus. Square Enix, plus que jamais, JE TE HAIS !

 

 

 

 

 

 

Une carte de téléchargement 3DS, aussitôt investie dans Crimson Shroud (Level 5 + Yasumi Matsuno <3), Liberation Maiden (Level 5 + Suda 51 <3)  et des... DLC Theathrythm (oui, je sais. Je touche le fond. Mais au point où j'en suis... 1 euros le morceau, une arnaque... surtout qu'il y en a déjà 52 de disponibles. Ha non mais Square Enix, respect, quand même. Dans ta catégorie, tu es très fort. A croire que tu es dirigée par des chats. Se pourrait-il que ?).

 

 

Oh, et il paraît qu'il y a encore deux cadeaux qui doivent arriver... Genre.

 

J'ai dû être super-sage cette année, je vois que ça.

Ou alors c'est le cadeau de bienvenue que reçoivent tous ceux qui vendent leur âme aux chats ? ça expliquerait bien des choses.

 

 

Un IMMENSE merci à tous mes illustres bienfaiteurs, donc. Un sans faute magistral qui me promet des heures de félicité célesto-cosmique.

 

Et à tous les Gamebloggers de bonne volonté :

 

JOYEUX NOEL ! HO ! HO ! HO !

 

 

*

 

 

Pour la peine, en cadeau, trois bonus CNC de circonstance :

 

Ceci est un single officiel.

Si.

 

 

Ceci est un travail d'amateur.

Si.

 

 

Ceci est le plus beau chant de Noël que j'ai jamais entendu de ma vie.

 

 

 

Parce que qu'est-ce qu'un Dalek, finalement, si ce n'est l'esprit de Noël vu à travers les yeux d'un Chat ?  

 

A méditer.