Où l'on s'achemine en zig-zag et plutôt cahin que caha (à moins que ce ne soit l'inverse ?) vers les 3 heures du mat', où il va bien falloir songer à sonner l'heure du couvre feu (et trouver un mot de la fin qui la jouera « ouverte »), où Liehd trouve le moyen d'être encore plus lourdingue que dans les parties précédentes (le Guiness Book des Records a été contacté, mais c’est le FBI qui a répondu à la place), où la fatigue donne des petits coups de pieds symboliques dans les tibias métaphoriques de nos quatre interlocuteurs, où les conversations glissent savonneusement dans le champ de l'"intimate" et obligent à sabrer 40 minutes de bande, où Audacity a eu fort à faire pour sauver le soldat "volume sonore" et où certains s'avouent quelques casseroles en DVD.

 

 

Où il est également question du fleuron de l’animation nippone période Club Dorothée (en chanson. Oui. Désolé), de Christophe Gans en tant que cinéaste ( !), de Val Kilmer en tant qu’acteur ( !!), des mœurs de Go Nagai en tant que moeurs de Go Nagai ( !!!), de la sage fadeur des productions françaises et d'aller se coucher.

 

 

That's all Folks. All that had been enregistred, en tout cas.