Où il est question de la suite du début et un peu du milieu mais toujours pas de la fin ni de sa finalité, où il est 23h30 passé ce qui se sent bien après deux quasi-nuits blanches d'affilée, où l'adrénaline monte, où les esprits s'échauffent, où certaines voix montent dans l'aigu dans des proportions anormales, où Liehd met à mal la patience de ses estimés interlocuteurs en repoussant toujours plus loin les limites de la mauvaise foi et où il s'échine à vouloir expliquer, grosso m*rdo, la différence entre un bon et un mauvais chasseur en contexte scénaristique, avec la clarté d'un gars qui à "mec bourré" en guise de langue maternelle. On y parle également de Matrix (pas en bien), de Stargate SG1 (pas en bien) et de Doctor Who (pas en pas bien).

Le tout sans coupures, sans montage, sans censure, sans mise en forme, sans tambour, sans trompette et sans l'orchestre philarmonique de Prague non plus parce qu'il avait piscine.

 

 

(A suivre)