Bonsoir les z'amis, et profitez bien de ce nouveau Mardi soir de scandale auditif avec :

Aujourd'hui 12 février, jour de la traînasse. Avec la Saint Valentin qui approche, je comprends bien, vous voudriez tous traîner dans le lit avec monsieur ou madame. Bon, pour ceux qui ont la chance d'en avoir un ou une, c'est pas faux.

Et comme je fais partie des malchanceux, comme tous les ans à la même période, j'ai la haine. Donc ce soir, c'est une spéciale tue-l'amour. Si si, j'insiste.

Cette semaine, je vous propose : Ballz 3D

I've got balls of steel !

Déjà effectivement, avec un titre comme "Ballz", ça part très mal. Jeu de combat sorti en 1994 sur Megadrive, Super NES et 3DO, développé par Accolade.
Pour poser le contexte, citer Wikipedia s'impose :
Ballz a peu marché. Certains attribuent cette situation à un marketing bâclé. Accolade lui a donné peu de publicité, mais même les annonces publiées ont donné peu d'indices quant au type de jeu que Ballz était.
Ballz a été classé troisième sur ScrewAttack dans le «Top 10 des pires jeux de combats», et a également été classé au septième rang dans la liste 2011 du top 10 des jeux qu'on voudrait oublier, par Game Informer.

Et de rajouter que les critiques, évidemment, ont vu dans Ballz une référence sexuelle évidente et de mauvais goût.

Après tout, faut les comprendre. Car dès l'écran titre, on se retrouve agressé par une musique dérangée et dérangeante, ponctuée de petits couinements de jouissance suffisamment explicites comme ça, sur une mélodie sans aucun intérêt autre que celui de nous faire rire.

Et évidemment, mister DJ scratche les voix, ça c'est so 90's !
Allez, elle est offerte avec plaisir celle-là !

 

Pensez-y après-demain, c'est fait pour.

A la semaine prochaine avec la team nanar du Mardi soir !