Dans cette rubrique, je voudrais parler de jeux très personnel, à tel point que j'ai la grande impression que je suis l'unique possesseur du jeu sur cette planète. Le seul et... très seul. Ou presque, en fait, ce sont des expériences que j'ai très souvent partagées avec ma soeur, chose quasiment impossible aujourd'hui. Ils prennent pourtant tous une place importante dans mes premiers pas vidéoludiques. Ici point de classique (ou pas, qui sait) qui vous ont peut-être bercés, comme Tetris ou Mario, non, ce sont des jeux pc, du fond de la caverne des jeux vidéo, des jeux oubliés, qu'on retrouve difficilement sur le web ou encore plus dans des magazines. Je ne sais pas si je vais tenir longtemps, si je vais parler de beaucoup de jeux, bref je me lance dans un chemin sombre, sans torche. Mais, gameblog est une grande communauté de joueurs, tous différents et ayant un regard différent sur notre passion, commune, elle. Ma plus grande joie serait que l'un de vous me dise "eh mais oui, moi je connais aussi !", une petite partie de moi se refermerait alors. Ces jeux qui ont bercés mon enfance sont pourtant soit mauvais, soit anecdotiques, soit même incomplets (entendez une démo) et pourtant je les aime et mes souvenir sont élogieux à leur égard, je crois bien qu'on appelle ça la nostalgie et je leur dois bien cette hommage, c'est grâce à eux que je me suis lancé dans ce grand et passionnant média à corps perdu.

 

 

Autant que je vous le dise, le Roi Lion est un des meilleurs dessin-animé que j'ai vu de la part de Disney. C'est une des casette que j'ai du le plus regardé durant mon enfance. Que ce soit le 1 ou le 2, j'en étais fou. Pour moi il y a une multitude scènes totalement cultes et de personnages attachants. On prenait pas les enfants pour des idiots et l'histoire dépassé de loin le cadre du conte de fée qu'on pouvait voir à cette époque. Tout était incroyable, de la musique (culte elle aussi) à l'animation. Par je ne sais quel miracle, le jeu s'est retrouvé chez moi, sur une disquette, aujourd'hui disparue. Avec Fun Tracks, c'est le jeu qui a le plus marqué ma jeunesse, explication.

Pour faire une présentation rapide, c'est un jeu d'aventure et de plate-forme qui reprend la trame des dessins-animés. On incarne Simba, durant sa jeunesse puis lorsqu'il est adulte. Le gameplay s'en trouve bien évidement changé lors de ces deux phases. Ainsi, le Simba enfant ne peut pas faire grand chose, a par sauter sur les ennemis et pousser une sorte de rugissement / miaulement qui fait peur à quelques insectes. Sur l'écran, le HUD montre une jauge de vie classique, une jauge de rugissement qui doit se remplir après chaque cri du lionceau et les vies. Une fois adulte, le rugissement deviens plus fort et Simba peut donner des coups de griffes, idéal pour le combat qui était jusqu'alors peut efficace. Malheureusement, j'ai pas pu en profiter beaucoup.

 

 

Voici un moment chiant du jeu. C'est le deuxième niveau...

 

Le jeu, je ne l'ai jamais fini, je peux même dire que je ne suis pas allé bien loin. La raison ? C'était dur ! Trop dur pour un enfant de moins de 10 ans. C'est aussi pour ça que le jeu est resté dans ma mémoire, le fait d'y rejouer me rend heureux, alors que je fais pas 3 niveaux, la magie du jeu vidéo est grande. La jouabilité est pourtant bonne avec des animations superbes pour l'époque. Mais c'était définitivement trop dur pour moi. Il fait partie des jeux auxquels j'arrêtais de jouer à cause d'une lassitude de la défaite trop grande mais que je prenais plaisir à retrouver quelques temps après. Tout du jeu me restais. L'ambiance, les niveaux, la musique, j'y revenais avec plaisir et la nostalgie jouait et joue encore à fond. Les phases de gameplay sont pour moi mythiques, avec des passages secrets qui, lorsque je les découvrais, me paraissaient pour le coup vraiment bien cachés (et aussi super dures) et le fait de les redécouvrir encore une fois me conforte dans mon opinion. Aujourd'hui encore, je n'y arrive pas, comme quoi, je dois pas mettre assez de volonté.

 

Là, c'est tendu et en général je ne passais pas ce passage.

 

Les jeux vidéo marquent en général par leur difficulté et c'est le cas pour Le Roi Lion. Le jeu m'a surpassé et jamais je n'ai pu renverser la situation. Tant pis pour moi et de toute façon, j'ai pu découvrir la fin du jeu grâce à notre cher internet. Étrangement je sais pas trop quoi dire sur le jeu, tellement j'ai galéré et que les sessions de jeu ne durait pas bien longtemps. Si vous vous sentez à essayer le jeu, il est dispo gratuitement sur Abondonware. De mon côté j'ai quelques soucis de bug, avec la barre de rugissement qui ne se régénère pas. Mais tant pis, je peux y rejouer et c'est bien ça le principal. Enfin voilà, les jeux de license de film sont souvent mauvais, ici, comme Aladin en son temps, Le Roi Lion bénéficie d'un traitement de faveur de la part des équipes de Disney qui ont fait un travail superbe pour réussir a retranscrire l'ambiance tout en faisant un jeu très correcte. A noter qu'une version Game Boy identique a cette version pc, aussi et surtout sortie sur Super Nintendo et Megadrive a vu le jour et que je ne retrouve nulle part. Alors soit c'est moi qui est rêvé ou alors elle est rare.

 

Ca alors, comme c'est bizarre, je ne me souviens pas du tout de ce passage.

Pour finr, le Roi Lion est japonais, on le sait tous et qu'il s'appelle le Roi Léo, voilà c'est dit. J'ai aimé ce dessin-animé, c'est pas pour rien hein !