Chacun d’entre nous, amateurs de RPG, possède une façon bien à lui d’aborder un nouveau jeu ! Certains prennent leur temps, d’autres sont pressés de découvrir le dénouement. D’autres encore traquent les monstres les plus puissants. Et aujourd’hui, je vous propose de parler de ma façon d’aborder chaque nouveau RPG qui passe entre mes mains et, tel un vieil habitué du café du coin, j’ai mes petites manies et mes bonnes vieilles habitudes qui me suivent depuis des années. C’est parti !

J’annonce que j’ai choisi de me référer volontairement à des jeux récents dans cet article, pour une meilleure identification du sujet, mais aussi parce qu’ils sont encore frais dans mes souvenirs. Ce n’est donc pas par manque de nostalgie que je ne parle pas de jeux plus anciens. Vous voilà prévenus !

Et surtout, n'hésitez pas à partager vos méthodes si vous en avez, ou des petites manies, de celles que l'on n'oserait pas avouer en temps normal tellement on a l'impression d'être maniaque !

Tout au long de cet article, il sera aussi bien question de J-RPG que de RPG occidentaux, étant fan de l’un comme de l’autre (hé oui, c’est possible !). Je ne puis même pas dire que j’ai une petite préférence pour le J-RPG, vues les heures que je suis capable de passer devant un Mass Effect ou un Dragon Age par exemple. Il faut simplement retenir que même si je citerai plusieurs fois certains jeux, vous pouvez considérer que ma méthode et mes habitudes se retrouvent d’un jeu à l’autre. Et la première manie dont je souhaite vous faire part concerne l’outil le plus utile -vital, devrais-je dire ! pour un jeu de rôle : la sauvegarde !

La sauvegarde

Tout a commencé lorsque je jouais sur mon Pentium 75 Mhz et ses 16 Mo de RAM, alors au collège. Tout simplement une bête, un PC de gamer, un vrai ! Je pouvais faire tourner X-COM Terror from the Deep avec une fluidité sans précédent, et je cite ce jeux parce que c’est à travers celui-ci que j’ai adopté définitivement cette technique qui me suit depuis maintenant…vingt ans !

Et ce serait d’ailleurs le trahir si je ne précisais pas que cette méthode vient d’un ami. Je suppose que je ne dois pas être le seul à l’utiliser, d’ailleurs. Il s’agit du système des trois sauvegardes, parfait pour X-COM, et qui s’adapte à merveille aux jeux de rôle ! Je réserve donc :

– Une sauvegarde pour le Hub s’il y en a un (un vaisseau spatial comme dans Mass Effect, un fort comme dans Dragon Age Inquisition, etc.). S’il n’y a pas de Hub, je réserve cette sauvegarde aux zones de repos que représentent les villes et villages, éventuellement les étapes type feu de camp comme dans Dragon Age Origins.

 Le Hub est généralement une ville qui permet de faire des courses, se reposer et, accessoirement, sympathiser avec des PNJ…ou des vrais joueurs dans le cas des MMO. L’image est d’ailleurs tirée de Final Fantasy XIV : A Realm Reborn, et représente la belle ville de Limsa Lominsa (dont la musique est particulièrement géniale et motivante !)

– Et deux sauvegardes destinées à l’avancement du jeu, aux missions principales, quêtes secondaires, etc. Ce qu’il faut retenir c’est que j’alterne systématiquement entre l’une et l’autre. Ainsi, en cas de problème (coupure de courant, sauvegarde corrompue, etc.), je pourrai toujours recharger une sauvegarde récente, et dans le pire des cas, je pourrai me retourner vers le Hub.

Je procède ainsi pour quasiment tous les RPG, J-RPG, et même n’importe quel type de jeu qui me permet de sauvegarder, en général ! Il peut y avoir une exception :

– Dans certains cas, le chemin vers un donjon peut être tortueux, difficile, long…et le donjon lui-même peut présenter des heures d’exploration. Je prévois alors deux sauvegardes supplémentaires que j’alterne également, et qui seront exclusivement réservées à mon avancement dans le donjon. Ainsi, si je me rends compte que je n’ai pas le niveau ou que je m’en prends plein la poire, et dans l’éventualité extrêmement rare où je ne pourrais plus en sortir, j’aurai toujours la possibilité de recharger ma précédente sauvegarde (la 2 ou la 3), à l’entrée du donjon.

Cela vous paraît torturé, n’est-ce pas ? Parano, même ? Pourtant, ce sont pour moi des conditions de jeu qui me permettent d’en profiter confortablement et, à ce jour, jamais je ne me suis retrouvé bloqué dans un jeu de rôle parce que je n’avais pas envisagé la possibilité d’être bloqué par mon faible niveau. J’ai déjà discuté avec d’autres joueurs à qui c’est arrivé, et je peux imaginer qu’après vingt heures de jeu, se retrouver bloqué dans un donjon, sans potion, sans possibilité d’en sortir et avec un niveau insuffisant pour affronter les ennemis, quand on n’a fait qu’une seule sauvegarde, cela doit faire mal !

Par ailleurs, il existe certains jeux qui proposent une sauvegarde automatique. L’effort est louable, surtout si le jeu est bien huilé et fasse en sorte que l’on ne se retrouve jamais bloqué et que l’on ait toujours une alternative (comme par exemple, le fait que la mort nous ramène à un point précis au lieu de nous afficher un écran deGame Over). Oui, l’effort est louable mais si je n’ai effectivement pas eu à me plaindre avec Fable 2 sur XBox 360, le pire est arrivé en revanche sur Fable 3 sur le même support. Le jeu étant sorti avec des bugs irréversibles, j’ai été l’une des victimes de la chute infinie, si bien que, avec la sauvegarde automatique quasi-instantanée, je n’ai pas eu le temps de relancer la console que le bug était mémorisé. Dix ou quinze heures de jeu de perdues, et même pas de mon fait ! A cause d’un fichu bug ! Merci, au revoir !

Fable 3, ma plus mauvaise expérience suite à un bug. Des heures de perdues ! Cela ne m’a pas découragé pour autant et j’ai dû le recommencer, même si je lui préfère Fable 2.

La même chose a failli m’arriver avec un MMO, cette fois-ci, Order & Chaos Online (lol si, si ! J'ai joué à ce jeu-là :D) sur mon Ipad. Heureusement, j’avais un flacon de téléportation sur moi. Mais dans le cas des MMO, il me semble qu’en cas de bug qui nous bloque conséquemment, il est possible de faire appel à un maître du jeu (je n’en suis pas sûr, le cas ne s’est jamais présenté pour moi).

En conclusion, si vous ne le faites pas déjà, n’oubliez pas de prévoir au minimum deux sauvegardes. En cas de coup dur, c’est toujours agréable de ne pas repartir à zéro.

L’avatar (s’il en est !)

Le jeu de rôle se divise en deux catégories : la première catégorie regroupe ceux qui nous imposent les personnages jouables, avec leur mentalité, leur visage, et leur look parfois personnalisable. La seconde, ceux qui nous permettent de créer notre avatar et, mieux encore, tel que dans Mass Effect ou Dragon Age, de choisir les répliques et le caractère, afin de pousser la personnalisation jusque dans la narration !

Si j’ai la possibilité de créer mon propre personnage, je m’orienterai toujours vers un personnage féminin. C’est plus agréable à suivre, déjà, et puis, les personnages féminins des romans que j’écris sont bien mis en avant !

Et de toute façon, c’est ainsi !

Un de mes personnages créés dans Dragon Age Inquisition, ici une elfe guerrière...

...et là, une humaine archère !

Néanmoins, des exceptions sont à relever, notamment en ce qui concerne les jeux proposant des romances entre les protagonistes, où je réserverai une partie à un avatar masculin pour pouvoir essayer d’autres romances. Par exemple, si j’ai choisi une Shepard personnalisée pour ma première partie tout au long de la trilogie Mass Effect, et qu’elle a eu une relation suivie avec l’Asari Liara T’Soni, j’ai opté ensuite pour un Shepard personnalisé, qui a craqué pour la charmante quarienne Tali Zorah ! Il en est de même pour Dragon Age Inquisition, où mes deux premières parties étaient consacrées à deux femmes, et ma troisième, que je n’ai commencé que récemment, sera consacrée à un avatar masculin.

Mass Effect et sa tendance Love Boat. Moi, ça me plaît ^^

Vous pouvez trouver cela mièvre, mais j’aime bien les histoires d’amour, et comme elles sont des options possibles dans pas mal de jeux de rôle, je ne m’en prive pas, ce qui peut parfois ajouter une petite note tragique, ce qui est surtout le cas pour Mass Effect.

Si le personnage principal est imposé, mais que l’on me laisse la possibilité de constituer mon équipe, j’aime tout de même que celle-ci soit mixte. Par conséquent, Final Fantasy XV me fait un peu peur à ce sujet, sachant que j’accorde autant d’importance au chara-design qu’au charisme des personnages. Et suivre le périple d’un groupe de potes ne m’enchanterait guère sur le long terme s’il n’y avait pas de présence féminine. N’y voyez pas là un discours féministe, surtout, d’autant que le virage pris par Square Enix est radical, vu que l’épisode XIII avait pour héroïne la froide mais non moins charmante Lightning.

Dans le même registre de personnages imposés, Tales of Xillia propose, lui, le choix du personnage au début du jeu : Jude Mathis ou Milla Maxwell. Pour cet exemple précis, il convient de noter que sur les trois fois où je l’ai terminé, j’ai choisi Milla deux fois, dont une pour ma seconde partie, qui aura été la plus longue.

La Première impression

Pour savoir apprécier un jeu de rôle dès la première prise en main, je dois compter une à deux heures non-stop, histoire que, même si le scénario ne se met pas en place, que je commence à ressentir de près ou de loin les enjeux, que j’établisse un premier contact avec le système de combat, les personnages et les possibilités et surtout, histoire d’évacuer l’inévitable prologue auquel nous sommes généralement confronté, surtout dans les RPG à l’occidentale, comme dans Elder Scrolls : Skyrim où l’on commence le jeu en étant prisonnier, jusqu’à ce qu’un évènement vienne tout basculer. De la même série, Oblivion opère également de la même manière. En y réfléchissant bien, beaucoup de jeux commencent ainsi, le prologue nous servant de tutoriel et de premier contact, mais qui du coup, nous bride les libertés que l’on espère avoir dans le jeu. C’est pourquoi, je préfère dès le départ faire une première grosse session !

La « Première partie »

Personnellement, ma première partie est destinée à uniquement apprécier l’histoire, la narration, les liens entre les personnages, et à ressentir diverses émotions liées à la progression du scénario. D’un autre côté, on peut aussi voir cette première partie comme un test, afin de voir si je vais le recommencer. Cela ne m’empêchera pas cependant de me plonger dans quelques quêtes secondaires, chose que je peux faire sans compter bien sûr, mais ma priorité au cours de cette partie n’est pas de remplir toutes les quêtes secondaires. Celles-ci ne doivent cependant pas être négligées car, outre les récompenses intéressantes qu’elles peuvent apporter, elles sont un complément non négligeable à l’immersion dans le titre.

En général, je sais rapidement si je vais accrocher au jeu ou pas, sachant que le chara-design aide beaucoup, mais il me faut tout de même ce petit plus qui me scotchera jusqu’au générique, comme ça a été le cas pour Tales of Xillia.

La difficulté choisie par défaut pour cette première partie, en général, est la difficulté normale ! Le but n’est pas de me fixer un challenge dès le début, et pour certains jeux (je pense notamment à The Witcher 2), j’ai même dû commencer en mode facile, tellement je galérais avec le système de combat, pour lequel il m’a fallu un peu plus de temps et de compréhension pour en profiter pleinement. Par conséquent, une fois le système maîtrisé, au mieux je switch en normal si le jeu me le permets, histoire qu’il y ait tout de même un minimum de challenge, et que j’aie l’impression de mériter certaines victoires.

Deux obstacles à cette pratique : le premier est l’obtention d’un trophée lié au mode de difficulté. Même si je ne collectionne pas spécialement les trophées, j’essaie tout de même d’assurer le minimum, auquel cas, je suis obligé de passer plus de temps sur le leveling.

Second obstacle, certains jeux ne permettent pas de switcher la difficulté en pleine partie. En général, je m’assure que ce soit possible ou non avant de basculer en facile, sinon, comme pour le problème des trophées, je me fais violence et je passe par beaucoup de leveling et d’entraînement.

Il y a tout de même de ces trophées qui font plaisir quand on les obtient !

Je tiens néanmoins à tempérer sur la difficulté, car je n’ai eu recours au mode facile que très rarement. Les jeux de rôle proposent rarement une difficulté surhumaine dès le mode normal, histoire de ne pas faire fuir le commun des mortels ! Mais comme cela m’est arrivé sur The Witcher 2, n’étant pas spécialement habitué à la manette de la XBox 360 et ayant eu plus de mal que d’habitude avec le système de combat, j’ai tenu à apporter cette précision.

New Game + (ou pas !)

Vous vous en doutez, si j’ai eu un bon feeling pour le jeu, je le recommencerai une seconde fois. Je me concentre alors sur les quêtes secondaires, en réhaussant éventuellement la difficulté du titre, et en général, c’est au cours de cette partie que je sors le guide stratégique ou que j’avance avec la solution sur Internet, histoire d’aller plus vite si je galère, ou histoire de ne pas passer à côté d’une quête.

Certains jeux proposent d’ailleurs ce que l’on appelle un New Game +, c’est-à-dire la possibilité de recommencer une partie avec des avantages intéressants (le niveau, les armes, de l’argent, etc.). Tous les jeux ne le proposent malheureusement pas, mais la série des Tales of est réputée pour offrir un très bon New Game +, avec un système de points gagnés tout au long de la précédente partie, qui nous permettra d’acheter des bonus comme la récupération des niveaux, de l’équipement ou de l’argent, la possibilité d’ajouter un coefficient au gain d’XP, etc.

 

C’est donc un véritable bonheur de recommencer le jeu dans de bonnes conditions, et cela évite de repasser par des débuts parfois laborieux.

L’absence de New Game + ne m’empêche pas de recommencer le jeu s’il y a le feeling.

La gestion du « patrimoine »

Qui dit RPG dit forcément équipement, objets et argent ! Là encore, j’ai mes petites habitudes. Consacrant mes premières heures de jeu à une progression relativement calme, dédiée au leveling, histoire de partir sur de bonnes bases, ce qui me permet de gagner de l’argent. S’il n’y a personne dans l’équipe pourvu de la capacité soin, je privilégie l’achat de potions et me force à fixer un seuil à toujours avoir sur moi (10, 15 voire 20 potions si l’inventaire le permet) jusqu’à la prochaine étape. Ensuite, bien entendu, je privilégie, comme tout le monde, l’achat d’équipements toujours plus importants, si je ne les ai pas gagnés au cours d’une bataille ou dans un coffre à trésor.

Bref, une gestion assez commune me direz-vous, mais là où dans un J-RPG classique, je me contenterai toujours de prendre le meilleur équipement, sachant que ce dernier n’apparaît pas directement sur le personnage, qui conserve donc son style vestimentaire d’origine, je ferai beaucoup plus attention à l’apparence de mon avatar créé dans un RPG me le permettant, histoire d’avoir un héros classe ! En sus de l’apparence même de l’équipement, pas mal de jeux proposent de personnaliser la couleur, ce qui est également un plus intéressant, surtout pour les MMO d’ailleurs, puisque l’on a tous les atouts pour avoir un style unique.

Pour en finir sur la gestion, je toucherais juste un mot sur le gain d’argent, qui dépend d’un jeu à l’autre. Si dans certains jeux, on peut facilement atteindre des sommes astronomiques mais qu’à côté de cela, on n’a plus besoin d’acheter quoique ce soit, on sera frustré. Et au contraire, il y a des jeux qui nous proposent des centaines de produits différents mais dans lesquels on en bave pour se faire du fric, même si on passe notre temps à jouer les mercenaires en effectuant toutes les quêtes secondaires !

Ce sont des détails car en général, cela ne gâche pas non plus le plaisir du jeu, mais disons qu’en fonction de cela, ma gestion du contenu peut sensiblement varier.

Difficulté

Vous commencez sans doute à saisir ma manière de jouer : ma première partie sera jouée en mode normal. La partie suivante, selon les circonstances, pourra être abordée en difficile, surtout dans les jeux qui me permettent de créer mes personnages, car si en mode facile ou normal, je vais essentiellement créer un guerrier épéiste, je me sens beaucoup plus à l’aise avec un DPS (archer, de préférence !) en difficile et cela, quel que soit le jeu ! Et pour un peu que l’IA de l’équipe ne soit pas trop mal foutue et ne passe pas son temps à piocher dans les potions au cours d’un combat fatidique, l’attaque à distance fait mal, vous permet de voir venir l’ennemi et justement, d’avoir une vue globale de la bataille et éventuellement d’établir des stratégies.

Dans un J-RPG, en revanche, notamment lorsqu’il ne nous permet pas de créer notre personnage, je m’adapterai au mode de combat du héros, quel que soit le mode de difficulté, et même si j’ai la possibilité de jouer avec d’autres membres de l’équipe (comme dans les Tales of, notamment !). Je m’implique à un point dans l’histoire que je préfère maîtriser le héros de A à Z plutôt que de jouer équilibrer avec chacun des membres de l’équipe (seule exception, une fois encore : Tales of Xillia).

Tout cela pour dire que dans les RPG avec personnalisation de l’avatar, je joue guerrier en facile et normal, puis archer en difficile, et que dans les RPG avec personnages imposés, je privilégie le héros ou l’héroïne au détriment des autres, quel que soit son style de combat et quelle que soit la difficulté.

Quid du MMORPG ?

Pour le peu de MMO auxquels j’ai joué, je retiendrai notamment A Realm Reborn, excellent en tous points ! L’avatar est toujours féminin bien sûr, et en général, bien qu’il n’y ait pas de choix de difficulté, je joue systématiquement DPS (archer de préférence, comme pour DAI), et ce sera assurément le cas pour  The Elder Scrolls Online. Les rares fois où j’ai joué Tank m’ont amplement suffit, merci, au revoir !

 Mon archère à ses débuts dans Final Fantasy XIV : A Realm Reborn (notez l’esthétisme tenté ^^)…

...Et niveau 50, désormais archère spécialiste barde !

Trophées

A la base, je ne cours pas après les trophées. Il existe une seule exception, dois-je vraiment vous la donner ? D’accord : Tales of Xillia, sur lequel ça ne m’a jamais dérangé de passer des heures à chasser le trophée, ayant complètement adhéré à son univers, son ambiance et ses personnages, ainsi qu’à son exceptionnel système de combat dynamique !

Il faut tout de même savoir que les RPG sont des jeux à la durée de vie plus que conséquente, rien que pour leur trame principale. Ainsi, si l’on veut réellement compléter le jeu à 100%, avec les quêtes secondaires, annexes, les collectes et autres boss cachés, et qu’en plus de cela, on décide d’obtenir tous les trophées, on en a pour un long, très long moment !

Par conséquent, comme je l’ai indiqué, je n’en suis pas un fervent amateur, même si parfois, je peux me laisser piéger au jeu de la chasse, surtout si le jeu ne propose pas de trophées nécessitant l’utilisation du multijoueur (j’avais presque 100% pour Uncharted 2 et bam, suite à une mise à jour, ils avaient ajouté les trophées multi, je crois que c’est à ce moment-là que je me suis découragé !). J’essaie d’ailleurs d’obtenir mes derniers trophées sur Dragon Age Inquisition, qui requièrent de jouer en mode Cauchemar (à côté duquel le mode difficile, c’est mignon !), et même si cela peut paraître frustrant, la difficulté est telle que je ne sais pas si j’aurai le temps d’arriver au bout…avant la sortie d’un certain The Witcher 3 !

Ainsi prend fin cet article destiné à vous faire partager ma façon de jouer. J’ai sans doute oublié des choses, je n’ai par exemple pas abordé des points comme ma façon de me battre, si je joue bourrin ou stratégique, mais vous avez en gros les bases qui fondent mon approche d’un jeu de rôle, et que j’adapte en fonction de ce qu’il propose. Ne voyez pas cela comme un tuto, ni même des conseils (encore que pour les sauvegardes, je pense qu’il faut être vigilant), mais juste une façon de jouer et des petites habitudes que je risque très prochainement d’appliquer à…vous devinez ? ^^

Bien entendu, rien ne vous y oblige mais si vous souhaitez partager avec moi votre façon de jouer, n’hésitez pas !

Vous pouvez également retrouver cet article sur mon blog.

Bien à vous,

Hyperion_Seiken