Deuxième partie du vidéotest consacré à Star Wars: Knights Of The Old Republic de Bioware se déroulant sur la planète emblématique de la saga: Tatooine. Heureux d'être parvenu au bout de ce vidéotest, je ne vous le cache pas.
A la fin de la vidéo, j'ai oublié de parler de ce qui suivit après ce Star Wars Kotor. Une suite fut crée hâtivement moins de deux ans après la sortie du premier opus. Baptisée Star wars Kotor II: Sith Lords, ce second volet ne fut pas développé par Bioware (alors occupé sur Jade Empire et ayant peut être déjà débuté la production de Mass Effect). Réputée inférieure à son illustre prédécesseur notamment pour une ambiance moins convaincante, cette suite ne m'a jamais particulièrement intéressé jusqu'ici, je n'en dirais donc pas davantage.
Plusieurs rumeurs firent ensuite écho d'un Star Wars Kotor III que beaucoup espéraient digne de la qualité graphique d'un Mass Effect. Bioware a plutôt fait le pari audacieux et risqué de s'attaquer au monde impitoyable du MMORPG gouverné par le non moins impitoyable World Of Warcraft avec un jeu baptisé Star Wars The Old Republic, écrit comme étant la suite des deux précédents jeux et présenté ni plus ni moins comme le projet financier le plus important de l'éditeur Electronics Arts (c'est peu de le dire). Ce MMORPG compte développer l'interaction du joueur qui a fait la marque de fabrique de Bioware (et le charme de ce Star Wars Kotor) mais dans une expérience massivement multijoueur, ce qui bouleversait le caractère passif attribué aux MMO.
Le joueur aura ainsi droit à huit classes, représentant huit scénarios et pouvant évoluer de manières différentes selon les choix et actions des joueurs, le tout bénéficiant (c'est une première!) d'un doublage intégral et d'un système de mise en scène cinématographique des dialogues repris de Mass Effect. Si les autres aspects du jeu ont l'air plus sommaires (notamment les combats peu convaincants jusqu'à présent) cette narration poussée dans un MMORPG suffira peut être à faire la différence, elle m'a en tout cas déjà conduit à m'intéresser fortement au développement du jeu qu'il n'est pas impossible que j'achète, moi qui suis pourtant assez allergique au genre malgré les pressions perpétuelles que j'ai pu subir pour rejoindre l'armée des WoWtistes (notamment deux personnes qui se reconnaitront si elles lisent un jour ce message). Affaire à suivre donc.
