Life on mars

La série ne me met pas en confiance de suite. Mais c'est ma
faute, je suis allergique au doublage français.

J'ai déjà eu des réactions allergiques importantes qui ont
entrainé qu'au bout de trois minutes l'arrêt de la série.

Pourtant deux choses retiennent mon attention. La première
est tout bêtement le titre de la série. « Life on Mars ». La je ferme
les yeux deux seconde et me laisse imprégner de l'air de la musique qui me
berce et m'emmène à chaque fois dans des contrées éloignées de mon imagination.

 

La deuxième chose est le synopsis : Un policier moderne
se retrouve dans les années 70 et doit résoudre les enquêtes avec les moyens de
l'époque. Un retour vers le futur avec des enquêtes policières.

 Alors on va supposer
des anachronismes faisant rire le téléspectateur et le plaisir de découvrir les
années seventies anglaises (je suis né dans les années 80 et en France, donc
toute une époque et un monde à découvrir).

 

Qui que quoi ou comment ?

 

L a série débute à Manchester. Mine de rien et j'ignore
pourquoi je trouve cela rafraichissant. La grisaille d'Angleterre me change des
New York, Los Angeles. Le passage dans les années 70 se fait assez vite.  Les personnages sont vite présentés. La série ne se donne pas le luxe de
faire attendre le spectateur et intelligemment nous met dans l'action d'une
enquête tout en nous laissant découvrir ce monde.

Hormis le personnage principal, les autres personnages
peuvent sembler un peu limité dan leurs comportement et évolution. Le supérieur
hiérarchique du héros semble très caricatural, néanmoins sur cet épisode, ses
méthode de rustre et son franc parler font sourire et apporte un coté
humoristique.

 

La première impression de cette série est donc assez bonne.
Bémol pour  l'enquête policière qui est
assez cliché. Le héros cherche et en se baladant rencontre un détail qui lui
permet de tout débloquer, pour ceux qui connaissent c'est la même manière que
le Docteur House résolvant un cas médical.

Par contre les dialogues, les personnages, les décors m'ont
donné envie de continuer à regarder. Tout en espérant que les futurs épisodes
ne vont pas tourner en rond et ne pas offrir de solution au spectateur sur le
pourquoi le héros est coincé dans les années 70. Un autre bon point, la BO de
la série juste incroyable qui a elle seul nous transporte dans cette période.

 

Post scriptum de geek. Le passage ou le héros voit une
émission de télé qui s'adresse à lui rappelle furieusement certains passages
d'Alan Wake.