De temps en temps, une histoire de jeu rétro piochée dans ma mémoire de gamer presque quarantenaire. Pas de grande leçon, pas d'historique détaillés. Juste des petits souvenirs marquants, du « j'ai connu ça », des moments... retrosnobs.

Aujourd'hui :  Moonstone : An Hard Day's knight

Ce n'est pas rare que les vieux gamers se rencontrent dans des réunions secrètes pour se remémorer à quel point Moonstone était un bon jeu, fun et complet. On pouvait jouer à quatre et il fallait retrouver des pierres de lune avant les autres, en faisant progresser son chevalier à travers des combats techniques et gores.

La vidéo vous donnera une bonne idée du gameplay si vous ne le connaissez pas. Mes combats préférés étaient ceux contre les espèces de sangliers qui traversent l'écran. En se tenant face à la bête qui charge et en donnant un coup au bon moment, on l'arrêtait net. C'était épic. Sauf quand on se faisait éventrer, bien sûr. 

Mais ce n'est pas souvent que l'on aborde un aspect important du jeu : la fin. Attention aux spoilers, pour ceux qui n'ont jamais terminé Moonstone (et il est vrai que ce n'était pas facile). Une fois les pierres réunies, on allait au cercle druidique, et là le gagnant était en quelque sorte « sacrifié » et il devenait une nouvelle constellation dans le ciel.

J'ai toujours trouvé que c'était une très chouette fin...