La gueule de bois, c’est l’impression que me laisse cette journée d’hier. Exactement comme cette journée du 7 janvier qui avait déjà consterné par sa brutalité et son obscurantisme.

 


 

Le ton, ici, est souvent léger, et je laisse très peu de place (pour ainsi dire aucune) à commenter l’actualité qu’elle soit économique ou politique car je veux, par mes articles, être, avant tout, divertissant. Mais, pour la (hélas) deuxième fois, il m’est impossible de passer sous silence les derniers évènements.

 

Donald aneanti

 

Je suis anéanti par tant de haine qui a fait qu’en une belle soirée de novembre, des personnes qui pensaient passer un bon moment devant un verre à une terrasse ou assister à un concert, ont été plongé dans l’horreur, la terreur et pour certaines arrachées à la vie et à l’amour des leurs.

 


 

La haine et l’obscurantisme a, une fois de plus, frappé et je pense à ces victimes et à leurs familles. L’homme quand il oublie l’humanité ne mérite plus ce qualificatif.